Les journées de canicule ne font pas que causer des coups de chaleur aux travailleurs, elles ont une foule d’effets indésirables, surtout chez les individus les plus pauvres. Avec le réchauffement climatique, le monde du travail devra s’adapter pour prévenir les accidents de travail et freiner les inégalités.
Lorsque la température se situe entre 29 et 32 degrés Celsius, les chercheurs ont constaté que le risque global d’accidents de travail, quelle qu’en soit la cause officielle, était de 5 à 7 % plus élevé que les jours où les températures se situaient autour de 16 degrés. Lorsque la température dépasse les 37 degrés, le risque global de blessures augmente de 10 à 15 %.