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Alors que la cérémonie d’ouverture des JO se déroulera avec la participation d’une trentaine de bateaux électriques, la transition énergétique de la flotte fluviale de l’axe Seine est en train de monter en régime grâce au rétrofit et à l’électrification des quais
Au côté des élus locaux et des professionnels qui chiffraient déjà leurs réductions d’émissions de CO2 à la suite des actions déjà engagées, l’on pouvait entendre et rencontrer des responsables de Transport & Environment, The Shift Project, le Cerema, l’Avere Ouest, Enedis, EDF, la SNCF, etc.
Face au changement climatique, la transition vers des modes de transport plus durables est devenue une priorité incontournable. A cet effet, l’émergence des mobilités décarbonées et l’intermodalité se présentent comme des opportunités pour répondre à ce défi.
Face au défi du changement climatique, tous les secteurs de l’économie sont concernés par la question de la sobriété énergétique. La mobilité n’est pas en reste : l’usage des transports représente aujourd’hui 30 % des émissions de GES de la France.
La décarbonation de la mobilité représente encore 32% des émissions de gaz à effet de serre. Dans la lutte contre le changement climatique, le Cerema propose cinq leviers d'action, décrits par la Présidente du conseil d'administration Marie-Claude Jarrot : - efficacité énergétique des véhicules
- réduction de l'intensité carbone des énergies
- promotion des transports collectifs et modes actifs
- encouragement du covoiturage
- modération de la demande de transport
Quelle est l’empreinte carbone de votre vélo électrique ? Bien moins polluant qu’une voiture, bien plus qu’un vélo classique ? La latitude pour positionner le curseur de l’empreinte écologique du vélo à assistance électrique est large. Et si on posait quelques chiffres pour y voir plus clair ? C’est ce qu'ont souhaité faire les experts de Welow, société spécialisée dans la mesure d’impact environnemental pour les entreprises.
« Décarboner les mobilités quotidiennes : enjeux et leviers pour l’action territoriale » : tel est l’intitulé d’un cahier récemment publié par le Cerema
Patterns CO2 a été créé et développé en 2022 par Hove, une entité de Keolis spécialisée dans le développement de produits numériques et la valorisation de la data dans le secteur de la mobilité. Une solution utilisée notamment par la Métropole du Grand Nancy.
La start-up Farwing Energy développe un concept de navire-énergie qui se déplace grâce au vent et produit de l'électricité grâce à des hydrogénérateurs installés sous la coque du bateau. Cette énergie est ensuite stockée à bord, avant d'être valorisée à terre. Entretien avec le directeur technique navire de cette entreprise.
L’OPSTE poursuit le cycle d’échanges sur les défis de la décarbonation des transports ouvert par les bulletins #6 et #7 et accorde son attention plus particulièrement aux efforts des États pour faire baisser les émissions de GES du secteur routier
Enfin. Le décret relatif à l'interdiction des lignes aériennes sur les trajets assurés par le train en moins de deux heures trente minutes est paru au Journal officiel du lundi 22 mai. Issue de l'article 145 de la loi Climat et résilience d'août 2021, cette mesure aura cheminé à très petite vitesse.
Le gouvernement a annoncé ce 26 avril le lancement d'un "plan d'action national en faveur du rétrofit", ce dispositif qui consiste à transformer les véhicules thermiques en véhicules électriques à batterie, à combustible hydrogène ou en véhicules hybrides rechargeables. Pour l'essentiel, les mesures contenues dans le plan sont déjà effectives mais encore peu connues
La Semaine de l'innovation du transport et de la logistique (SITL), qui s'est tenue du 28 au 30 mars dernier, constituait l'occasion rêvée pour le Gouvernement de témoigner de son intérêt pour la décarbonation de ce secteur, responsable de 30 % des émissions de CO2 liées au trafic routier. Mardi 28 mars, les ministres de la Transition énergétique, de l'Industrie et des Transports, se sont donc fait un plaisir d'enchaîner les annonces de soutiens financiers en faveur de cette démarche.
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Le train est le mode de transport le moins polluant, et avec 49 000 km de voies ferrées sur le territoire français, ce n’est pas le choix qui manque. Mais qui dit moins polluant ne dit pas parfaitement vert, et les trajets en train ont leur propre empreinte carbone. Quel est le bilan carbone du train ? Comment calculer les émissions de CO2 d’un trajet en train ? Big média fait le tour de la question.
Le transport maritime représente environ 3 % des émissions de CO2 mondiales. Or les flux devraient être multipliés par deux d'ici à 2050. Une des solutions serait de développer des flottes de voiliers-cargos.
Après l'eXtrême Défi Mobilité consacré au développement des véhicules « intermédiaires », l'Agence de la transition écologique (Ademe) a profité de l'ouverture du Salon international du transport et de la logistique, mardi 19 mars, pour lancer l'eXtrême Défi Logistique sur le même modèle : mobiliser le collectif pour résoudre ensemble les questions. Cette fois, l'objectif est de contribuer à réduire l'impact carbone du dernier kilomètre via le déploiement de solutions de mutualisation, d'optimisation et de report modal à l'échelle de chaque territoire. L'opération devrait ainsi permettre de réduire de 20 % les émissions de GES et de polluants, les coûts opérationnels, la congestion les échecs de livraison.
Lauréat d’un programme CEE, soutenu par l’Ademe et le ministère de la Transition écologique, GoodWatt permet aux collectivités territoriales et aux entreprises de réduire l’empreinte carbone des déplacements domicile-travail de leurs collaborateurs. 70 tonnes de CO2 ont déjà été économisées. Explications.
Le transport fluvial, longtemps négligé dans les grandes villes, revient petit à petit sur le devant de la scène en France et ailleurs. Avec une empreinte environnementale plus légère que le transport routier, il permettrait de réduire la congestion tout en nécessitant des coûts d'infrastructure maîtrisés.
Dans un effort concerté pour combattre les changements climatiques, l'Union européenne avance de nouvelles propositions pour réduire significativement les émissions de carbone des poids lourds et des autobus.
Le transport de voyageurs est fortement émetteur de gaz à effet de serre. Favoriser l’accessibilité aux services de transport pour plus d’équité, assurer le confort à travers un service compétitif et sensibiliser les voyageurs pour encourager l’évolution des usages sont autant de pistes pour accélérer la décarbonation des déplacements des personnes.
Le transport routier est confronté à deux défis majeurs. D’une part, 23% des émissions de gaz à effet de serre du secteur proviennent des véhicules lourds. D’autre part, le renouvellement des flottes de véhicules et la transition vers les véhicules lourds électriques nécessitent des investissements importants de la part des transporteurs et des constructeurs.
Deux entreprises françaises spécialisées dans la mobilité lourde à base de dihydrogène (H2) s'associent autour du rétrofit. Le 5 septembre, le fabricant de bus à hydrogène, Safra, et le développeur de stations d'avitaillement, Hyliko, ont annoncé avoir signé un protocole d'accord dans cette optique. « Hyliko et Safra visent à se doter d'une capacité de production industrielle de quelques dizaines d'unités par an à partir de 2024 et de l'accroître jusqu'à quelques centaines de véhicules par an, en ligne avec la croissance de la demande pour ces véhicules », affirment les deux nouveaux partenaires. À noter que ces derniers sont également membres de la coalition Rétrofit H2, lancée par des acteurs du secteur en janvier dernier.
Dans le cadre du pacte d’engagement des acteurs des infrastructures de mobilité, la Direction des Mobilités Routières de la DGITM vient de diffuser, à destination des maîtres d'ouvrages et gestionnaires du réseau routier national non concédé, une circulaire qui présente des recommandations pour recourir à différents procédés de décarbonation des travaux de chaussée. Elle met également en place un dispositif de suivi pour mesurer les progrès accomplis.
Voies navigables de France, acteurs du territoire et de la croisière fluviale se sont réunis, ce mercredi 26 avril, pour lancer le programme d’installation de bornes d’alimentation en électricité décarbonée pour paquebots fluviaux à Lyon.
Ce jeudi 13 avril, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, Roland Lescure, ministre délégué chargé de l'Industrie, et Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports, ont annoncé l'ouverture pour l'année 2023 de l'appel à projets « Écosystèmes des véhicules lourds électriques ». Lancé pour la première fois en 2022 afin d'accélérer la décarbonation du secteur du transport routier, il apporte un soutien à l'acquisition et à la location longue durée de camions et autocars électriques, ainsi qu'à l'installation de bornes de recharge. L'enveloppe s'élève à 60 millions d'euros (M€), dont 55 M€ exclusivement pour le transport routier de marchandises, et 5 M€ pour les autocars.
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