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Les Etats doivent encore renforcer leurs plans en faveur des énergies renouvelables, et ils le peuvent, pour atteindre d'ici 2030 l'objectif mondial de triplement nécessaire pour endiguer le réchauffement de la planète, souligne mardi l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Dans cet entretien au Monde de l’Énergie, Antoine Meffre, fondateur et PDG d’Eco-Tech Ceram, revient sur la décarbonation du secteur de l’industrie en France.
Les panneaux solaires s’imposent comme une technologie prometteuse pour répondre à nos besoins énergétiques croissants et contribuer à la transition écologique. Mais comment ces modules parviennent-ils à convertir la lumière du soleil en électricité ? Réponse.
La ville de Pons, en Charente-Maritime, a renforcé en 2021 son réseau de chaleur biomasse par une centrale solaire thermique. La collectivité améliore ainsi son mix énergies renouvelables en passant de 75% à 90% de chaleur d’origine renouvelable.
11 directions interdépartementales des Routes (DIR), accompagnées par le Cerema (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) et la Direction générale du trésor, ont en effet identifié sur leurs réseaux les aires de repos et échangeurs routiers ayant un potentiel de couverture par des panneaux photovoltaïques. Selon les informations qui nous ont été fournies, 140 parkings sur des aires de repos représentant 38,7 hectares ont été identifiés. A cela s’ajoutent une centaine d’échangeurs pour 162,4 hectares, un chiffre amené à évoluer car le processus de sélection n’est pas tout à fait achevé. « Au total, la puissance estimée de ce potentiel solarisable est de 240 MWc représentant plus de 7,5 % des projets raccordés au réseau électrique français en 2023 », indique Kévin Guichard, directeur de projet de Fin Infra.
Un décret paru au Journal officiel annonce la création d'un "Observatoire des énergies renouvelables et de la biodiversité" chargé de mesurer l'impact des parcs éoliens et solaires sur la flore, la faune et les paysages.
Publics concernés : communes, établissements publics, public, experts, chercheurs, exploitants d'installations utilisant une source d'énergie renouvelable terrestre. Objet : création d'un observatoire des énergies renouvelables et de la biodiversité.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, les parcs de stationnement connaissent une transformation profonde, faisant de ces espaces des opportunités de production d’énergie « verte » et d’engagement dans une démarche de transition énergétique.
Autrefois très régionalisées, les énergies renouvelables conquièrent aujourd'hui de nouveaux territoires. L'Occitanie, la Nouvelle-Aquitaine ou Provence-Alpes-Côte d'Azur ne sont plus les seules régions à déployer en masse des centrales photovoltaïques. Idem du côté des Hauts-de-France et du Grand Est pour l'éolien terrestre. D'après le bilan annuel des raccordements renouvelables, publié le 8 mars par le gestionnaire du réseau électrique Enedis, de nouvelles régions se tournent vers les énergies renouvelables.
Le promoteur-investisseur Telamon vient d’ouvrir une campagne de crowdfunding invitant les particuliers à participer au financement d’une ferme photovoltaïque. Elle prendra place sur les toits d’une vaste plateforme logistique située à côté du Havre.
Au-delà du décompte des textes publiés, les rapporteurs, qui ont auditionné une trentaine d’acteurs et reçu une quinzaine de contributions écrites, ont choisi de centrer leurs travaux sur plusieurs sujets jugés "stratégiques". Le premier est celui de la planification des énergies renouvelables terrestres et tout particulièrement de la définition des zones d'accélération des énergies renouvelables (Zaer) par les élus locaux. L'État a mis à leur disposition les informations nécessaires sous la forme d'un portail cartographique réalisé par l'IGN et le Cerema mais "le travail des élus locaux reste laborieux", estime Henri Alfandari, qui pointe "un manque de coordination entre les différents échelons".
La startup bordelaise Seaturns, dirigée par Vincent Tournerie, se démarque dans le domaine des énergies renouvelables avec son concept novateur de production d'électricité à partir de l'énergie des vagues. Un concept testé en conditions réelles en partenariat avec l'Ifremer avant un potentiel déploiement à l'échelle industrielle en 2025.
La nouvelle version du portail Cerema/IGN visant à aider les élus locaux à déterminer les zones d’accélération des énergies renouvelables de leurs territoires est désormais disponible. Outre un enrichissement des données, cette nouvelle mouture offre aux élus un compte personnalisé. Elle devrait également faciliter les échanges avec le référent préfectoral. De son côté, le gouvernement continue de promouvoir l’éolien, terrestre ou marin.
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Une série de fiches conseil est proposée pour guider professionnels, élus et particuliers sur les bonnes pratiques en matière de performance thermique des bâtiments et d’installation de panneaux photovoltaïques en espace protégé.
Le projet de loi de simplification présenté récemment en conseil des ministres, devrait servir à corriger l’anomalie législative qui pénalise lourdement
Du vent dans les éoliennes et du courant pour les barrages. La filière d’électricité verte de l’Europe a fonctionné à plein régime en 2023, et la météo extrême n’y est pas pour rien. Dans un rapport publié ce lundi 22 avril, l’observatoire européen du climat Copernicus souligne que les énergies renouvelables ont compté pour 43 % de la production en électricité de l’Europe en 2023. Un record, et surtout un bon de géant par rapport aux 36 % de l’année précédente.
La première centrale de géothermie marine française a vu le jour en 2015 au cœur du Grand Port Maritime de Marseille. Baptisée Thassalia, la centrale est reliée à un réseau urbain de distribution d’énergies renouvelables permettant de fournir en chaud et en froid renouvelables près de 500.000 m² de bâtiments du quartier Euroméditerranéen, labelisé Ecocité en 2009.
BUILDERS École d’Ingénieurs, HAROPA PORT et l’Université Caen Normandie ont copiloté le programme GREEN RIVER, déployant un concept de plateforme flottante pour produire l'énergie décarbonée dans les ports. C'est à Honfleur le 10 avril dernier qu'un premier prototype de ce genre a été inauguré.
La loi du 10 mars 2023 relative à l'accélération de la production d'énergies renouvelables (ENR) l'avait prévu. Le décret créant l'Observatoire des ENR et de la biodiversité est paru au Journal officiel du 7 avril, avec près d'un mois de retard par rapport à l'échéance limite inscrite dans la loi.
Qualit’EnR, organisme de qualification leader des énergies renouvelables du bâtiment, publie aujourd’hui les résultats de la 13e édition du baromètre «Les Français & les EnR face aux enjeux de la rénovation énergétique», en partenariat avec l’institut OpinionWay.
Alors que la moitié des véhicules hydrogène immatriculés dans l’Hexagone circulent en Île-de-France, la région poursuit le déploiement de stations de production et de distribution. La cartographie publiée par l’Institut Paris Région est riche d’enseignements, notamment pour les collectivités.
Un ultime arrêté très technique, paru ce 6 mars, est venu détailler les modalités de calcul - selon des critères déjà fixés par décret - permettant de s’exonérer de l’obligation d’intégrer à certains parcs de stationnement des systèmes de gestion des eaux pluviales et procédés d’ombrières photovoltaïques ou végétalisées.
Quatre-vingt-douze lauréats (1) ont été désignés dans le cadre de la cinquième session de l'appel d'offres pour des installations photovoltaïques au sol, dont les résultats ont été publiés le 4 mars. Ils représentent une puissance cumulée de 912 mégawatts crête (MWc) pour une puissance appelée de 925 MWc. Le prix moyen proposé par les lauréats est de 81,90 €/MWh, soit un prix inférieur de 0,6 % à celui de la période précédente.
Le développement des énergies renouvelables en Europe doit désormais passer par la délimitation de « zones d'accélération » (ou ZAENR). Pour rappel, celles-ci constituent les zones d'accueil des nouveaux projets d'énergies renouvelables telles que privilégiées par les collectivités locales. Elles sont issues de la loi de mars 2023 pour l'accélération des énergies renouvelables (AER ou Aper), en anticipation de la transposition de la nouvelle directive européenne sur les énergies renouvelables (RED III) d'octobre 2023.
Les comités de projet prévus par la loi d'accélération de la production d'énergies renouvelables doivent constituer un espace de dialogue avec les représentants locaux sur les principaux projets d’énergies renouvelables en dehors des futures zones d’accélération. Un décret, paru le 24 décembre, en fixe le fonctionnement tout en restant assez flou sur la prise en compte de ces échanges.
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