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Dans son palmarès mondial sur les champions du luxe, Deloitte confirme la place de leader de la France.

<p>Une étude de Deloitte rappelle que les grandes multinationales du secteur ne sont pas en

Richemont, c’est le deuxième groupe de luxe au monde, juste
derrière LVMH et (un peu) devant Kering. Un groupe Suisse relativement
récent : il fut

Actualité luxe : Quatre ans après s’être fixé des objectifs pour mettre en place un business model plus durable, le groupe de luxe français dresse le bilan, constatant qu’il doit élargir son champ d’action.  (#688931)

With first access to Kering’s 2016 sustainability report, BoF speaks to chief sustainability officer Marie-Claire Daveu to unpick the data and what it reveals about luxury supply chains.

Les marques de luxe sont souvent montrées du doigt en termes de développement durable. Pourtant certaines d'entre elles réalisent d'importants efforts. Analyse

L’arrivée d’un nouveau créateur chez Gucci et le repositionnement de Puma permettent aux deux grandes marques du groupe de renouer avec la crois...

ContactLab et Exane BNP Paribas ont mesuré le niveau du marketing multicanal et de la digitalisation de 30 marques internationales de mode et de luxe. Résultats : des progrès significatifs (+9%).

Actualité luxe : Le groupe de luxe conforte sa légitimité sur le thème du développement durable en intégrant pour la première fois le classement « Global 100 » du magazine Corporate Knights des entreprises les plus exemplaires au monde en matière d’environnement. (#619312)

La croissance du marché mondial du luxe ralentit nettement en 2015, en raison notamment d'une volatilité « sans précédent sur le marché des devises », selon une étude réalisée par le cabinet Bain & Company et la Fondation Altagamma.

Kering a vu ses ventes atteindre 2,89 milliards d'euros sur le trimestre. A taux de change constants, la croissance du groupe (Gucci, Puma, Saint Laurent...) a ralenti à 3,1 %, après 7,7 % au deuxième trimestre.  

Signe d’une évolution spectaculaire et des changements de mode de consommation, tous les grands groupes de luxe semblent s’orienter...

Exposées à la dégradation de la situation économique en Chine, les maisons phare de l’industrie du luxe – LVMH, Kering ou Richemont – cherchent à séduire la clientèle locale en dynamisant leurs marques les plus jeunes.

On achète tou(te)s, et de plus en plus souvent, nos vêtements en ligne. Devenues banales, ces nouvelles habitudes sont pourtant en train de totalement bouleverser le système de la mode. Enquête sur une révolution en marche.

Le groupe de luxe n'est pas en retard dans le digital mais n'est pas non plus en avance face à une concurrence qui a compris tout l'intérêt d'investir massivement dans les nouvelles technologies. 

Les principaux acteurs du secteur ont vu leur valeur en Bourse chuter de 16 % dans les quinze jours qui ont suivi les dévaluations du yuan.

Dévaluation du Yuan, politique anticorruption du gouvernement chinois... Les entreprises françaises du luxe font face à un défi inédit: le ralentissement économique chinois.

Une fois n'est pas coutume, les marques françaises surplombent, cette année encore, le palmarès mondial des premiers acteurs de l'industrie du luxe établi par le cabinet de conseil et d’audit Deloitte dans la deuxième édition de l'étude Global Powers of Luxury Goods, publiée le 10 juin.

Le président du groupe suisse, Johann Rupert, a invité lundi ses deux concurrents français, LVMH et Kering, à investir dans le portail de vente Yoox Net-a-Porter Group. (#538897)

Louis Vuitton and Chanel were the only big luxury brands to increase in value last year as the industry grappled with slowing sales in China and Russia, research company Millward Brown said Wednesday in the 2015 BrandZ study. Vuitton gained 6 percent to $27.4 billion, placing LVMH Moet Hennessy Louis Vuitton SE’s biggest brand atop the luxury ranking for the 10th straight year. Chanel’s value rose 15 percent to $9 billion, propelling it to fourth in the list behind second-place Hermes and Kering

Alibaba découvre les inconvénients d’être sous les projecteurs. Le géant chinois du commerce en ligne a vivement réagi, ce lundi, après que...

Le PDG de Kering, François-Henri Pinault, a promis « des signes d'amélioration très sensibles au deuxième semestre sur l'activité de Gucci », qui a vu ses ventes lourdement chuter au premier trimestre. (#481563)

par Pascale DenisPARIS (Reuters) - Longtemps rétif, le secteur du luxe tente de rattraper son retard dans le commerce en ligne, canal devenu crucial pour capter davantage de croissance et appréhender une clientèle de plus en plus jeune, volatile et connectée.Pris de vitesse par la rapidité avec laquelle évoluent les nouveaux consommateurs du luxe, notamment asiatiques, les groupes comme LVMH, propriétaire de Louis Vuitton ou Céline, Dior, Kering (Gucci) ou Hermès n'ont d'autre choix que de s'engager de façon plus volontariste dans le digital, au prix d'importants changements dans leur culture d'entreprise