La question mérite d’être posée tant la pression marketing sur une telle thématique n’a jamais été aussi forte. L’interrogation a d’ailleurs été au centre de l’une des enquêtes de Robert Half Technologies.
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Quand Robert Half interroge 100 DSI, d’autres valeurs arrivent en pôle-position : L’optimisation des coûts est en tête avec 49 %. En clair les Big data aideraient avant tout cette profession à rationaliser les coûts de fonctionnement. Comment ? En identifiant les éléments qui fonctionnent efficacement et ceux qui ne sont pas bien exploités. Le service client à améliorer arrive en deuxième position pour 45 % des suffrage. Mais l’enquête ne dit pas si pour le DSI le client est l’utilisateur interne ou alors le chaland. Quoi qu’il en soit, sa connaissance et la maîtrise de ses besoins sont facilités par les Big data. Enrichissement de produits et/ou services, des business models, prise de décision automatisée, meilleur aperçu des process opérationnels, compréhension de l’analyse marché et augmentation du chiffre d’affaires arrivent respectivement, ensuite. En d’autres termes, pour les DSI, ce n’est pas en mettant en place des technologies de Big data que l’on peut espérer obtenir un grand bond en avant immédiat des résultats économiques. D’ailleurs, pour elle une telle fonction a davantage un impact sur l’IT (38 %), que sur le marketing (7 %).