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Google Brain, la division de Google dédiée à l'intelligence artificielle, avance à grand pas sur un programme capable de rédiger des pages à la manière de l'encyclopédie collaborative Wikipédia sans l'aide d'un humain.
Via Lanne Marie-Christine
La digitalisation des entreprises est le grand thème fédérateur des études et des séminaires pour les DSI. Loin de l'effet de mode, il fait ressortir leurs difficultés à répondre aux besoins de l'entreprise et à résister aux pressions internes.
S'il est sans doute encore un peu tôt pour vérifier que la Russie et la Chine pourraient venir concurrencer et pourquoi pas, à termes, dominer les USA dans le cyberespace, force est cependant d'observer deux faits différents mais complémentaires : la Russie dispose, dans ce domaine, de ressources techniques et humaines plus que respectables. La Chine, elle, se dote en plus de capacités technologiques et d'innovations qu'il conviendrait d'évaluer avec le plus grand respect.
En début d’année, Google a fait les gros titres des journaux en rachetant Nest Labs, une start-up spécialisée dans la maison connectée, pour 3,2 milliards de dollars en numéraire. Bien que ses produits intelligents aient soulevé beaucoup d’enthousiasme, certains analystes ont trouvé fort généreuse l’offre faite à cette petite entreprise, évaluée il y a à peine un an à 800 millions de dollars. Mais plus encore, ils se sont demandé pourquoi Google, compte tenu de son succès, son talent et sa réputation, avait décidé de se lancer dans l’internet des objets (IdO) par le biais d’une opération de croissance externe ?
La marque de téléphone mobile Nokia expérimente une nouvelle technique de recharge de ses smartphones Lumia : capter les ondes sonores de tous les jours pour alimenter la batterie.
Je comprends de moins en moins les informaticiens pessimistes : nous vivons une époque formidable et tout reste à faire pour améliorer les usages de l’informatique dans les entreprises. Nous sommes à mi-parcours d’une révolution que j’ai appelée la R2I, la Révolution Industrielle Informatique. Dès 2012, j’avais écrit une série de six billets sur le sujet. Il faudra deux septennats pour que cette R2I arrive à son terme, et ils seront très différents. Dans cette première partie, je ferai le point sur de ce qui c’est passé entre 2007 et 2014. Pendant ce septennat, tous les composants essentiels d’une informatique moderne sont nés et ont atteint un niveau de maturité élevé. Dans la deuxième partie, j’anticiperai ce qui pourrait se passer entre 2014 et 2021.
L’Open data, littéralement « données ouvertes » vise à rendre des données numériques accessibles et utilisables par tous. Ce mouvement s’impose petit à petit du côté du service public français. Dernier exemple en date : l’annonce par le gouvernement le 16 juillet dernier de la transcription sous ordonnance de la directive européenne du 26 juin 2013 qui obligera bibliothèques, archives et musées à libérer leurs fonds documentaires dans un an au plus tard. Côté entreprises, l’heure de l’« open » est au questionnement, quelques succès médiatisés d’Open API font des envieux…
Dans cette cinquième partie, je m’attaque aux deux dernières « ex bonnes pratiques » relatives au management des Systèmes d’information, la démarche Maîtrise d’Ouvrage, Maîtrise d’Œuvre et les schémas directeurs.
Dans la première partie de cette série de billets, j’ai présenté les 10 « ex bonnes pratiques » à abandonner en 2014. Dans la deuxième partie, j’ai proposé trois NBP, « Nouvelles Bonnes Pratiques » concernant les postes de travail....
Voici donc mon 9ième Rapport du CES, cru 2014, et à l’heure prévue !
Je suis toujours à la fois sidéré, épaté et aussi parfois interloqué par la diversité des innovations dans les loisirs numériques. On trouve un mélange improbable de trucs complètements dingues et de technologies fondamentales. LE CES est un passionnant tonneau des Danaïdes, un concours Lépine, une foire gigantesque à l’image de cette industrie foisonnante.
Les transferts de technologie et l'innovation ouverte n'ont pas la cote selon notre dernier sondage flash.
Mettre en place des équipes composées d'humains et d'appareils robotisés permettrait de maximiser lecture et analyse des données.
Face aux exigences technologiques croissantes des utilisateurs, les Directeurs des Systèmes d’Information (DSI) sont amenés à revoir les priorités IT de l'entreprise et faire de l’innovation la clé de la différenciation. La pression des métiers inciteles responsables informatiques à opérer des changements risqués mais générateurs de profits.
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Dans sa chronique mensuelle, le journaliste du « Monde » Antoine Reverchon explique que la plupart des objets et systèmes techniques mis en œuvre sont des choses anciennes.
Les secteurs de l’énergie et du transport, de la banque et de l’assurance permettent à la France de disposer de grands groupes engagés dans la compétition mondiale. EDF, GDF SUEZ, TOTAL, AFKLM, SNCF, BNP Paribas ou encore AXA, pour ne citer qu’eux, se livrent, dans leur secteur, à une concurrence intense entre géants à coup d’investissements massifs, de lobbying, de fusions/acquisitions ou encore de programmes de performance opérationnelle. Les règles du jeu sont bien connues, mais la transformation numérique est en train de changer la donne.
Deux rapports, et le constat est le même : les entreprises françaises sont en retard dans la course vers la transformat
L'Open CIO Summit offre un cadre privilégié aux DSI pour débattre des grandes questions d'actualité dans l'open source. Son édition 2014 se tiendra le 29 octobre à Paris.
Dans la première partie de cette analyse, j’ai présenté le premier septennat de la R2I, Révolution Industrielle Informatique, qui a vu l’émergence d’un grand nombre de technologies innovantes dans les infrastructures et les usages informatiques. Dans cette deuxième partie, je vous propose d’imaginer comment les entreprises innovantes vont accélérer le déploiement de toutes ces solutions opérationnelles, qui ne demandent qu’une chose aux entreprises : « S’il vous plait, mettez-nous en œuvre ! »
L’industrie mobile est un secteur dynamique et évolutif, un élément essentiel de la vie quotidienne pour une grande partie de la population mondiale. Selon les dernières analyses de la GSMA, près de la moitié de la population du globe utilise aujourd’hui les communications mobiles. On comptabilise plus de 3,2 milliards d'utilisateurs mobiles et compte tenu de la forte croissance, on s'attend à ce que 700 millions d'abonnés viennent s’ajouter à ce chiffre d'ici 2017, avec un dépassement du seuil des 4 milliards d'utilisateurs anticipé pour 2018. Chacun d’entre nous fait désormais partie intégrante de la nouvelle économie mobile, qui s’articule autour des applications, du « big data » et de l’innovation industrielle.
Le cabinet Deloitte identifie 5 tendances de rupture et 5 accélérateurs d’innovations qui sont en train de modifier de manière très significative l’environnement des entreprises et de la société en général.
Dans cette quatrième partie, j’aborde les NBP, alternatives aux « ex bonnes pratiques » relatives aux applications : - 5 - Solutions intégrées
- 6 - Unicité des solutions
- 7 - Le tout ERP
- 8 - Applications Client / Serveur
La diplomatie et le compromis ne peuvent pas l'emporter pour la pertinence du DSI. L'entité informatique doit adopter l'innovation et une approche centrée sur les utilisateurs vis-à-vis de la technologie si elle veut survivre.
BlackBerry tient à rassurer l'administration fédérale américaine avec un futur centre d'innovation dédié à la sécurité, qui sera basé à Washington D.C.
La neuvième édition du Global Innovation 1000 du cabinet Booz & Company vient d’être publiée. Outre le classement des 1000 plus grandes firmes innovantes au niveau mondial, qui est très riche en enseignement, cette édition s’est attardée sur la place du numérique et sa contribution dans le processus d’innovation.
Avec ses besoins sans cesse croissants, le cloud est avant tout un défi technologique de taille pour les ingénieurs informatiques. Les datacenters en coulisse doivent en effet être en mesure d'évoluer perpétuellement pour supporter la charge de travail toujours en hausse.
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Après les articles de presse, l'intelligence artificielle s'attaque aux articles encyclopédiques. En 2016, Le Washington Post avait fait appel à un robot pour la couverture de certaines épreuves des Jeux Olympiques de Rio. Baptisé Heliograf, il continue d'être utilisé dans le cadre d'articles à la structure souvent identique, comme l'annonce de résultats sportifs ou d'élections. Fin janvier, Google Brain, la division de Google consacrée à intelligence artificielle, a annoncé avoir bien avancé sur un programme capable de rédiger des articles Wikipédia sans l'aide d'un humain.