Dans le cadre de son développement, une entreprise (française), n’aura que de choix à un moment ou à un autre, de s’envoler vers l’international. L’international, devenu un gros mot en France, tant les excuses – justifiant notre mauvaise volonté et les chiffres calamiteux de la balance extérieure – vont bon train. Je ne suis pas (du tout) adepte du « french bashing », mais quand lors d’une conférence sur l’intelligence économique, j’eus entendu un représentant d’une entité publique, justifier notre déficit d’influence extra-nationale, par le fait que l’étranger « c’est loin » et qu’on n’y parle pas français, j’ai pensé bon d’écrire ces quelques lignes et de donner quelques pistes croisées pour notre compétitivité.
Via Morgan BANCEL
Entreprises françaises, ne nous étonnons plus de nos échecs internationaux, mais réagissons avec les armes appropriées. L’intelligence économique est un mode de gouvernance éprouvé et approuvé. La certification ISO est l’un de ces outils les plus fidèles. C’est un point central de réussite et de succès. Il en va de nos performances économiques générales de les intégrer dans nos stratégies structurelles et conjoncturelles. Et de plus, l’ISO est un langage international compris de tous, harmonisant nos valeurs sur la terre entière et réglant les problèmes de langues étrangères…