Y’a-t-il des relations, des connexions, entre les pratiques des très grandes entreprises et celles des makers ? Pour Marie-Noéline Viguié (@marienoeline) directrice de Nod-a (@nodatweet), un cabinet de design qui conçoit des dispositifs créatifs collectifs, et qui fait se rencontrer bidouilleurs et entreprises, les grandes entreprises expriment un intérêt réel pour la culture maker, pour “cet amour du faire”.
Les makers partagent et les réseaux sociaux sont devenus leurs espaces de production… Et là, même en interne, l’industrie a encore beaucoup à apprendre, estime la consultante. Le manager ne doit plus contrôler et diriger, mais doit animer. L’industrie n’innovera pas si elle continue à manager les hommes de la même manière. Les makers, ces bricoleurs du quotidien, nous montrent comment résister à l’absurdité du quotidien… Ils nous montrent ce que nous devons tous faire ! Créer des “zones de joie” dans le travail pour être mieux à même de faire notre psychanalyse collective de notre rapport au travail.