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« Ce n’est pas parce qu’on les voit tous les jours que nos collaborateurs savent ce que l’on pense d’eux ». Et pourtant, nombre de managers sont persuadés du contraire ! En effet, la réalisation d’un feedback, qu’il soit positif ou de développement, est l’un des comportements managériaux observé le moins fréquemment par l’entourage professionnel. Focus sur les conditions de sa réussite par une experte.
Dans un climat social et économique qui se tend, les managers doivent, plus que jamais, prendre en compte le facteur humain dans leurs équipes. En 2015, voici les qualités qu’il va falloir travailler.
Voici la suite du triptyque consacré aux trois piliers du management. La dernière fois nous avions vu que savoir dire bonjour était la base de la base du management… et pour autant pas si évident que ça à pratiquer par la majorité. J’en profite d’ailleurs, chers lecteurs, pour vous remercier de vos nombreux mails encourageants et vos larges partages sur la toile via les réseaux sociaux. Aujourd’hui, je vais m’atteler à une formule qui suit de près le “bonjour” initial et qui se résume par “comment ça va ?”
« Je suis toujours là pour aider les membres de mon équipe, la preuve, je leur dis régulièrement que ma porte est toujours ouverte s’ils ont besoin de moi ».
La majorité des managers considère que l’écoute est la qualité centrale pour gérer les conflits. Découvrez l’infographie !
S’il est un mot qui sonne à toutes les pages d’un catalogue de formation et dans toutes les bouches des porteurs de projet de formation c’est celui d’outil. À l’issue d’une formation, le sésame est de repartir avec sa boîte à outils. Un outil est défini comme un instrument de travail. Et quand ce travail consiste à manager des personnes, le manager lui-même est son meilleur instrument de travail.
La raison a largement influencé le management moderne. Le management moderne voulait tout expliquer, tout rationaliser, tout standardiser, tout homogénéiser, tout centraliser : les comportements, les techniques, les processus, les normes…etc. Mais, dorénavant, la raison arrive à saturation chez nos collaborateurs et la passion, les pulsions et les émotions pointent le bout de leur nez pour le meilleur comme pour le pire ! Le tout raisonnable ennuie ou agace. La demande de sensation est à la hausse. Aujourd’hui, on est plus« fan de », que » froidement pour « ou » froidement contre « . On a « plus envie de » que « besoin de »…On préfère « avoir le sentiment que », plutôt que « d’avoir l’argument pour». Bref, le collaborateur moderne raisonnable et obéissant se mue de plus en plus fréquemment en acteur postmoderne sensible et engagé. Ce nouvel acteur postmoderne préfère vibrer et résonner au gré de ses passions et de ses pulsions plutôt que de raisonner au gré des situations ! C’est un constat et une réalité qui implique une mutation de l’art managérial. La mission essentielle du manager postmoderne ne sera plus de commander, d’ordonner ou de contrôler pour atteindre des objectifs de plus en plus spéculatifs et aléatoires, mais de stimuler, d’améliorer, de favoriser et de faciliter une progression vers une destination à travers :
A seulement 30 ans, Aude, gestionnaire des ressources humaines dans une grande société, a fait un burn-out sévère suivi d’une tentative de suicide. Comment cette employée passionnée, dévouée et ambitieuse, a-t-elle pu en arriver là ? Récit d’une descente aux enfers et d’une lente reconstruction.
Les communautés de managers se développent dans l'entreprise. Comment pourrait- il en être autrement lorsqu'on constate le développement des réseaux sociaux. Nous vous proposons d'analyser ce phénomène qui s'impose comme un enjeu RH pour nos entreprises.
Entre 2007 et 2011, le taux de démotivation des cadres a augmenté de 22% (de 33% à 40%) et celui des cadres supérieurs a doublé (de 19% à 37%)[1]. Fait nouveau, le taux d'absentéisme de l'encadrement a grimpé de 60% sur l'année 2012[2]. Qui s'en soucie ?
Combien de temps encore nos vieux schémas d’organisation pyramidale vont-ils pouvoir résister ?
Zappos, entreprise américaine de vente en ligne de vêtements en ligne, a annoncé récemment sa volonté d’aplatir complètement sa pyramide. Zappos entre dans un nouveau modèle d’organisation ... holacratique. Ecrasée, la ligne hiérarchique ! Managers, chaud devant !
Depuis quelques années déjà, les managers d’hier sont malmenés. Souvent élevés, eux même, au modèle "petit chef contrôleur", ceux qui fondent leur pouvoir sur la confiscation du travail de leur équipe, voient aujourd’hui le gouffre se rapprocher sous leurs pieds. Depuis quelques temps déjà, le mode projet était venu brouiller les reportings, bousculer les rapports d’authorité et questionner l’identité du chef. Mais alors là… l’holacratie ! Personne dans les étages de direction ne pensait en arriver là un jour ….
Parenthèse Etymologie : Holon, en grec, se dit de quelque chose qui est à la fois un tout et une partie.
Pour que les salariés adhèrent mieux à la transformation des entreprises, les pratiques de l'encadrement évoluent dans le secteur financier.
Utiliser l'apport des neurosciences, susciter l'innovation de son équipe et savoir en tirer partie, expérimenter des solutions avec des bouts de ficelles, être bienveillant et visionnaire. De belles résolutions pour la nouvelle année ? Plus que cela: les nouveaux courants de pensées que doivent connaître les managers.
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Ils s'envoient des ballons comme des patates chaudes, font les clowns et rient aux éclats. De leur rôle de manager il ne reste plus que leur costume ou leur tailleur. L'autorité, le sérieux, se sont évaporés. Pendant une heure ces adultes ont retrouvés leur âme d'enfant. Nous sommes à un atelier de rigologie organisé par CSP Formation à l'occasion de la Rencontre Annuelle des Managers, une semaine pendant laquelle les participants suivent des formations professionnelles.
Les entreprises se préparent à rompre avec l'actuel modèle de management pour s'adapter à un monde en mutation.
Le fléau de la déresponsabilisation touche tout le monde, et probablement davantage les managers que leurs équipes. Managers, et si le temps était venu de briser vos chaînes ?
Managers, libérez l'intelligence collective !
Les entreprises se préparent à rompre avec l'actuel modèle de management pour s'adapter à un monde en mutation.
Au risque de briser le rêve de celles et ceux qui visent l’harmonie au travail, cette histoire est en fait un vrai cauchemar. Les collaborateurs jouent la carte du « tout va bien », les chefs de projets se soumettent sans broncher, Jean Louis accumule des colères inhibées à l’encontre du technicien expérimenté et ne voit pas que son manager le manipule en employant « mon cher » au sein d’une question interronégative suivie d’un conditionnel.
Pour mieux comprendre à quoi ressemblera l'entreprise de demain, Arnava a interrogé ces managers sur les évolutions de leurs métiers, les difficultés qu'ils rencontrent, et les axes d'évolution. Voici les 5 questions posées : 1. Quelles évolutions ont le plus impacté vos pratiques managériales ? 2. Quelles difficultés ou quels enjeux particuliers les managers de votre entreprise rencontrent-ils dans l'animation de leurs équipes de nouvelles générations ? 3. Parmi les prochaines évolutions identifiées, quelles sont celles qui vous semblent déterminantes pour un nouveau mode de leadership ? 4. Avez-vous des projets internes ou une réflexion en cours concernant la question du leadership ? 5. Dans votre entreprise, si vous aviez carte blanche pour déployer et piloter le projet de mise en place du "Nouveau Leadership pour les 10 prochaines années"
Intégrer avec succès des managers atypiques, c’est possible et … nécessaire pour faire face aux défis actuels des entreprises ! Cette conviction a guidé la réalisation d’une étude* inédite.
Les dirigeants démotivent leurs collaborateurs en pratiquant un jargon qui oublie les vrais enjeux de l'entreprise.
Vous avez des relations conflictuelles avec un de vos employés ? Voici quelques conseils pour gérer au mieux la situation.
Les « middle managers » (un terme que l’on pourrait traduire par « cadre moyen » …) sont parfois dénigrés. Pourtant, une étude récente montre qu’ils ont une influence décisive sur la performance des entreprises.
Le XXe siècle a été témoin d’un effort de productivité sans précédent. Le passage progressif de l’artisanat à l’industrie a généré d’immenses progrès dans l’ensemble de la sphère industrielle. Il s’est agi non seulement des nouvelles technologies mais également de tous les dispositifs organisationnels nouveaux, méthodes de travail, fonctionnement d’équipe, management etc. Corrélativement le coût des produits manufacturés a baissé en valeur relative car les progrès de l’automatisation, la pression sur les coûts de main-d’œuvre, les délocalisations ont permis d’obtenir des réductions de coûts importantes.
Les dirigeants et les managers sont confrontés à un « nouveau monde » dans lequel le changement est permanent et la complexité croît (mondialisation, digitalisation, porosité totale des sphères privées et professionnelles, complexité des organisations, …). Dans ce nouveau monde, ils doivent continuer à générer des gains de productivité, innover et délivrer la performance attendue sous une pression toujours plus forte et avec des ressources limitées. Autrement dit « faire plus avec moins ».
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