Les «gourous» du managemernt gagnent des fortunes en apprenant aux organisations comment faire face au changement. Certains disent "Pour changer de l'organisation, il faut csoi-même changer en profondeur." En vente des livres en quantité et des systèmes d'implémentation coûteux. Certains vous convaint que "Votre plate-forme est en feu!". Mais au bout du compte, tout se résume à ceci :
Dans notre économie mondialisée et interconnectée, les organisations font continuellement face au changement de:
- Les conditions de marché,
- Les demandes des clients,
- La Concurrence,
- Les coûts de production,
- Les Technologies
À nous, professionnels, de crédibiliser notre activité en mettant en avant nos compétences et notre expérience de terrain : les décideurs, qui sont encore peu sensibles, à ce stade, au nom du prestataire, ne s’y tromperont pas. Leurs attentes, d’ailleurs, sont bien précises. Pour 83 % d’entre eux, un changement réussi doit s’apprécier à l’aune d’un bénéfice économique. À cette amélioration de performance, s’ajoute le bénéfice humain : 86 % des managers comptent sur le changement pour motiver davantage les collaborateurs.
À nous, encore, d’affiner et de cibler notre offre sans perdre de vue ces deux objectifs principaux. Car les dirigeants se méfient des méthodes "type", auxquelles ils préfèrent toujours des solutions sur-mesure: le bon prestataire sera celui qui saura accompagner une stratégie dont ils ont porteurs. À nous, par conséquent, d’être à l’écoute de nos clients, dont la plupart attendent que nous les accompagnions pour mettre en oeuvre leur vision, sans empiéter sur son élaboration.
La vision du changement doit être clarifiée, simplifiée, dédramatisée. Son accompagnement, en revanche, est un métier et ne saurait être ni galvaudé ni minoré. Pour que le changement soit une opportunité pour tous.