Donner aux collaborateurs davantage de marge de manœuvre dans leur façon de travailler et de s’organiser est une tendance qui devrait s’imposer. Car tout le monde y gagne.
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Si l’objectif affiché est d’offrir une meilleure qualité de vie au salarié – moins de transport, plus de calme qu’en open space –, les entreprises ont vite compris l’avantage qu’elles pouvaient elles aussi en tirer. "Les collaborateurs sont plus motivés, plus efficaces, et c’est un bon outil pour les fidéliser", résume Eric Couté, en charge du télétravail chez Renault, où 1.450 salariés ont opté pour cette formule un à quatre jours par semaine – soit 9% des métiers de l’ingénierie et du tertiaire (la population concernée par l’accord). Selon certaines études, la productivité d’un télétravailleur serait supérieure d’environ 25%. "Le principal risque n’est pas que le salarié "bulle" sur son canapé, mais qu’il travaille trop, souligne Michel Barabel, professeur de management à l’université Paris-Est. La priorité pour les managers est de s’assurer que le collaborateur arrive à décrocher de son poste."