Dans un monde rythmé par la surabondance croissante d’informations, le terrain de jeu de la compétitivité a connu de profondes mutations. Il n’est plus d’entreprise se reposant sur un avantage compétitif présumé. Et la capacité à vendre durablement un bien ou un service est entamée par une concurrence intensifiée et imprévisible.
« Là où croit le péril, croit aussi ce qui sauve » nous enseigne le penseur allemand Friedrich Hölderlin. Ceux en charge d’insuffler les grandes orientations stratégiques organisent la collecte, la valorisation et la protection de l’information jugée stratégique. L’objectif est, au pire, de maintenir la compétitivité, au mieux, d’être à l’origine de modèles disruptifs garantissant une place de choix.