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Dans le contexte actuel si particulier où le Covid-19 est un accélérateur d’innovation, la data devient un acteur essentiel de la gestion de crise, que cela soit au niveau gouvernemental ou à l’échelle des GAFA comme des grands groupes industriels.
Des précautions s'imposent aux entreprises afin de protéger l'innovation, et par extension, valoriser l'entreprise. Focus sur les procédures, le coût et les aides.
J’aime les entreprises. Certes, il est de bon ton de les affubler de tous les maux, notamment à cause d’une culture française très déformée par le marxisme et le communisme (la fameuse aliénation par le travail).
La capacité d'innover est devenue une composante essentielle de la survie d'une entreprise. Mais combien de fois les choix en matière de stratégie d'innovation reposent plus sur l'Agitation et l'effervescence de quelques séances de brainstorm médiatisées, qui in fine n'aboutissent pas à grand-chose en terme de résultat, plutôt qu'au développement structuré d'une véritable Agilité organisationnelle à innover ?
Par définition il ne peut pas y avoir de méthode reproductible d'innovation et pourtant tout le monde cherche à se rassurer de cette façon.
Sans marche en avant, point de croissance. Pour résister à la concurrence et assurer leur pérennité, les entreprises ne jurent plus que par l’innovation… Celle-ci s’organise et se pilote avec, aux commandes, des managers aussi ouverts que créatifs. Quels sont les grands principes de cette discipline et pourquoi est-elle autant d’actualité ?
Au cours des 10 dernières années, la mondialisation, le développement des moyens de communication, les consolidations au sein de groupes de plus en plus larges ont conduit à une complexification importante des entreprises. Ces mutations ont profondément modifié leurs façons de fonctionner : elles ont notamment engendré davantage de processus et de consignes, des structures matricielles toujours plus compliquées, des rôles et responsabilités plus diffus… Ces bouleversements étouffent aujourd’hui l’esprit d’entrepreneur, essentiel à l’innovation dans les entreprises.
L’innovation fait l’objet de quatre idées reçues majeures. Comme je l’ai montré dans mes billets précédents, il ne faut la confondre ni avec la créativité, ni avec l’invention. La troisième confusion postule que l’innovation est nécessairement radicale, et donc intrinsèquement risquée et coûteuse. Cette idée est particulièrement répandue en France, terre de révolutions réelles ou fantasmées, qui n’admire que les innovations définitives, capables de faire table rase du passé, si possible avec panache. Le château de Versailles, la Tour Eiffel et le Concorde trônent au panthéon de notre fierté nationale. Connait-on un autre pays capable de construire une tour de trois cent mètres uniquement pour démontrer que c’est techniquement possible (et accessoirement pour éclairer symboliquement le monde de ses lumières) ? Dans ces conditions, l’innovation n’est que rupture et elle est réservée aux audacieux, voire aux téméraires.
Dans un billet précédent, j’ai expliqué que l’innovation fait l’objet de nombreuses approximations. La première confusion consiste à l’assimiler à la créativité. Ce sont pourtant deux processus très différents. Être créatif, c’est avoir des idées. Être innovant, c’est mettre ces idées en œuvre. Alors que la créativité relève de la réflexion, l’innovation relève de l’action. Si vous avez eu des milliers d’idées dans votre vie, vous êtes incontestablement créatif. Cependant, si vous n’en avez appliqué aucune, vous n’êtes pas un innovateur. Réciproquement, si vous n’avez jamais eu qu’une idée, votre créativité est assurément limitée, mais si vous avez mis cette idée en œuvre, vous avez innové.
Culture de l'innovation. Ces quelques mots nous font immédiatement penser à 3M, Apple, Pixar ou Google. Vous savez, ce type d’entreprise ou l’innovation paraît complètement intégrée à leur fonctionnement quotidien comme par "magie".
Vous avez certainement déjà vu ces images : une tortue marine enfouit ses 150 œufs sur une plage puis rampe péniblement vers la mer. Huit semaines plus tard, les œufs éclosent et les bébés tortues se précipitent vers l’eau. Rares sont ceux qui y parviennent : la plupart sont dévorés par des prédateurs (frégates, corbeaux, crabes, rats), attirés par l’aubaine d’un festin. À bien des égards, ce redoutable processus de sélection est comparable à celui qui frappe les idées nouvelles dans les entreprises : beaucoup éclosent, mais seules quelques-unes deviennent des innovations.
Les achats, qui représentent parfois jusqu’à 80% du chiffre d’affaires d’une entreprise, sont aujourd’hui reconnus comme une fonction stratégique en raison de leur potentiel de création de valeur. Les succès industriels et commerciaux, en effet, reposent de plus en plus sur la co-innovation et le co-développement entre clients et fournisseurs. Très peu d’entreprises sont capables de continuer à innover seules. Pour améliorer la qualité technique, mais aussi sociale ou environnementale de leurs produits, elles doivent pouvoir compter sur des relations collaboratives avec les fournisseurs.
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » affirmait Rabelais au XVIe siècle. Pouvait-il imaginer que, cinq siècles plus tard, cette question serait à la pointe de l’actualité ? Le faisait-il pour tempérer les propos de son quasi contemporain Descartes qui, lui, allait lancer le siècle dans la modernité en proposant de « nous rendre comme maître et possesseur de la Nature » ?
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Pour innover avec efficacité, le Daf doit collaborer avec le directeur Recherche et Développement. Une collaboration pas toujours simple qui était au coeur d'une conférence organisée par Ayming, la DFCG et l'Executive MBA Paris-Dauphine jeudi 22 mars 2018.
Comment se financer ses innovations grâce au levier de la propriété intellectuelle ?
La Suisse, la Suède et le Royaume-Uni forment une nouvelle fois le trio de tête du classement du dernier Indice mondial de l’innovation « Global Innovation Index 2016 », qui recense les nations les plus innovantes du globe.
Pour la sixième année consécutive, l’indice de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) place la Suisse au premier rang des nations du monde les plus innovantes. Cette année, la Suède est deuxième, et le Royaume-Uni troisième.
Au cours du XXe siècle, les États et les grands organismes publics tels que la NASA ou le CEA ont joué un rôle majeur dans la chaîne de l'innovation. Internet lui-même est né grâce à des programmes publics, tout comme le GPS et de nombreuses autres technologies. Si l'État reste au centre du jeu dans la recherche scientifique, en matière d'innovation technologique son rôle est à réinventer.
Tout manager cherche à aborder les problèmes de manière méthodique. De même, tout professeur, durant sa carrière professionnelle, applique, en élaborant son cours, les mêmes critères que ceux par lesquels il jugeait, étant étudiant, les enseignements qu’il suivait. Clarté, structure, précision, objectivité constituaient une liste magique au crible de laquelle étaient passés chaque mot, chaque plan, chaque illustration, qu’ils aient pour origine la voix du maître ou les supports de cours – polycopiés et autre « slides ».
Si vous pensez que l’innovation est indissociable de la technologie, vous vous en faites une idée fausse. La quatrième de ma série, puisque j’ai déjà démontré dans mes billets précédents que l’innovation ne doit pas être confondue avec la créativité, l’invention ou encore la rupture.
Le modèle classique de l’organisation de l’innovation est mis au défi aujourd’hui. De nombreuses entreprises expérimentent de nouveaux modèles d’innovation ouverte ou cherchent à mettre en place des modèles hybrides d’innovation fermée et ouverte, pour reprendre la terminologie de Joshua Lerner.
Gare aux idées reçues sur l’innovation ! Dans mon billet précédent, j’expliquais qu’il ne faut pas la confondre avec la créativité. Mais il ne faut pas l’assimiler non plus à l’inventivité. On confond ainsi la découverte et sa diffusion. Si l’invention consiste à mettre au point quelque chose qui n’existait pas auparavant, l’innovation concerne la diffusion de cette invention auprès du public. Tant qu’un produit nouveau est un prototype cantonné aux laboratoires de recherche, c’est une invention. Le jour où cette invention devient accessible – le plus souvent grâce à une commercialisation – cela devient une innovation. Là encore, ce qui intéresse l’entreprise, c’est bien l’innovation et non l’invention.
Une minute pour parler innovation avec Michel BARAVALLE. Rendez-vous dans votre CCI pour participer à 2014 année de l’innovation
Le mode de management des entreprises est un levier important de leur performance. Il agit directement sur l’efficacité de l’organisation, sur la performance des collaborateurs, sur la capacité d’adaptation et d’innovation, sur l’attractivité vis-à-vis des talents dans une économie ouverte et mondialisée.
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Dans ce contexte, il est essentiel de mettre en place les bons outils pour éviter que la data, à l’instar de la finance, échappe à tout contrôle. Il est tout aussi essentiel de faire confiance (et appel) aux prestataires spécialistes de la data et/ou aux DPO (les Délégués à la Protection des Données) qui ont un rôle pivot dans le sourcing des données, l’usage des données et la protection des données à caractère personnel.