Vous trouverez dans ce thème des actualités, en France et dans le monde, pour appréhender l'intelligence économique/stratégique et culturelle. Il sera abordé les outils de veille. Une partie sera consacrée aux principes de l'innovation mais tout ce qui concerne l'innovation managériale est transférée dans un autre thème.
Si les entreprises rechignent souvent à changer, elles sont plus susceptibles de le faire dans certaines conditions …susceptibles
Stéphane NEREAU's insight:
En bref, les entreprises attendent souvent de ne plus pouvoir atteindre leurs objectifs de performance pour changer. Il est alors trop tard. Mieux vaut donc prendre les devants … mais pour cela il faut avoir développé une « culture du changement ».
En bref, les entreprises attendent souvent de ne plus pouvoir atteindre leurs objectifs de performance pour changer. Il est alors trop tard. Mieux vaut donc prendre les devants …
Avec son slogan "J'aime ma boîte", la Fête des entreprises, qui s'est tenue hier, fait du lieu de travail un endroit branché et jeune. Mais peut-on vraiment aimer sa société ?
Stéphane NEREAU's insight:
En créant, en 2003, la Fête des Entreprises, Sophie de Menthon et son mouvement Ethic (Entreprises de Taille Humaine Indépendantes et de Croissance) a fait œuvre de salubrité publique. En effet, nous avons bien besoin de cette initiative en France où l’entreprise est souvent accusée de tous les maux, à commencer par le chômage, en passant par la recherche effrénée du profit, jusqu’aux risques psychosociaux, voire aux suicides des salariés. Bref, l’entreprise serait un lieu où il ne fait pas bon vivre.
Quelle forme prendra l'entreprise à l'horizon 2030? À cette question, toutes les voix autorisées convergent pour donner, sinon une réponse, du moins, une tonalité: face à une instabilité qui sera devenue la règle et non plus l'exception, confrontée à l'écosystème entièrement nouveau apporté par les technologies numériques, l'entreprise devra évoluer en profondeur pour rester performante, durable et résiliente. Selon quels axes?
Stéphane NEREAU's insight:
Comment caractériser le monde économique de demain ? En se contentant d’extrapoler, on pourrait insister sur trois aspects. Ce sera un monde ouvert, où l’accessibilité croissante des technologies permettra à de nouveaux acteurs d’investir des secteurs jadis protégés ; par conséquent une forme d’instabilité s’imposera. Selon les pays et les secteurs, l’évolution sera très variée dans sa rapidité et dans son intensité. Mais la vague numérique continuera à déferler sur le monde, et avec elle des innovations radicales redéfinissant en profondeur les marchés, les modes de production et le rôle des différentes parties prenantes.
Le projet de loi relatif à la simplification de la vie des entreprises a été adopté le 22 juillet par l'Assemblée nationale. Comme c'est souvent le cas pour les lois dites de simplification, ce texte, qui sera discuté au Sénat à l'automne, est une addition de dispositions des plus hétéroclites. Seule une partie d'entre elles concernent les collectivités, domaine de l'urbanisme en tête. Mais aussi la commande publique ou les conventions de mandat. Repérage.
Malgré une accumulation de cash, les firmes n’investissent pas plus.
Stéphane NEREAU's insight:
Si les investissements sont la croissance et les emplois de demain, les gouvernements et les investisseurs peuvent se faire du mouron. Selon une enquête réalisée par Standard and Poor’s auprès des 2.000 plus gros entreprises dans le monde, les dépenses d’investissement ont baissé l’an dernier de 1 % en termes rééls, à 3.327 millliards de dollars et devraient encore diminuer de 0,5% cette année. Surtout, l’agence anticipe encore un repli en 2015(– 3 %) et 2016 (– 2 %). Après des années de croissance des investissements, «les 2.000 premières entreprises du monde par les dépenses d’investissement jouent la sécurité et accumulent les liquidités ».
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, de nombreuses entreprises n’ont pas de stratégie, y compris les plus grands groupes internationaux. Comment expliquer ce phénomène qui peut paraître surprenant ?
Stéphane NEREAU's insight:
En conclusion, avoir une stratégie accroît les chances de connaître le succès, mais également de connaître l’échec. Ne pas avoir de stratégie est le moyen le plus sûr d’aboutir à un résultat médiocre, mais cela permet d’éviter les catastrophes. De manière implicite, c’est le « choix » que font de nombreux dirigeants.
Voici le top 10 des entreprises où il fait bon travailler en 2014 en France dressé comme chaque année par l'institut Great Place to Work.
Stéphane NEREAU's insight:
Comme chaque année, un palmarès des entreprises où il fait bon travailler est dressé par l’institut Great Place to Work. Voici les résultats pour la France, selon deux catégories différentes (plus ou moins de 500 salariés) :
Si Carrefour peut être comparé à Auchan, H&M à Zara, ou encore la Macif à la Matmut, ces entreprises sont pourtant différentes et uniques par leur culture, et ce principe s’applique à toutes les organisations quel que soit leur secteur d’activité ou leur taille. Qu’appelle-t-on culture d’entreprise ? En quoi est-elle si importante ? Eléments de réponse.
Stéphane NEREAU's insight:
Intérêt de la culture d’entreprise
La culture d’entreprise est primordiale pour permettre à l’organisation de se différencier.
En termes d’image d’une part, elle présente des atouts que ce soit en interne ou à l’externe auprès des consommateurs. Elle est en effet source de cohésion et de motivation des collaborateurs et elle limite les conflits. Auprès des clients, elle véhicule une image positive et elle peut développer un sentiment de proximité avec l’entreprise voire devenir un critère de choix.
En termes de compétitivité d’autre part, en favorisant l’appartenance, la culture augmente les performances des salariés. Elle est aussi un moyen d’attirer des candidats à l’embauche motivés. Elle est d’ailleurs souvent prise en compte dans la sélection des futurs collaborateurs.
1 – Avoir un bureau grand comme une salle de bal 2 – Suivre un plan flou pour être sûr de le rater 3 – Vouloir être aimé plutôt que respecté 4 – Chercher à faire plaisir à tout le monde 5 – Vouloir imiter quelqu’un qui nous en impose 6 – Confondre dépenses stratégiques et frais divers de gestion 7 – Craindre de se projeter dans une situation de réussite 8 – Croire qu’il y a une relation entre temps de travail et résultat 9 – Croire que vendre c’est convaincre un acheteur potentiel 10 – Déléguer les tâches les moins valorisantes 11 – Dire oui juste pour se monter conciliant 12 – Estimer perdre son temps à collectionner un réseau 13 – Etre égocentrique et savoir mieux que les autres 14 – Devenir irremplaçable, ce qui empêche toute promotion 15 – Etre réactif plutôt que proactif 16 – Faire plus confiance à un expert qu’à soi-même 17 – Garder un collaborateur incompétent 18 – Ignorer tout des clients et rien de son produit 19 – Montrer à ses clients que l’on a besoin d’eux 20 – Fuir le risque ce qui sclérose et vieillit
21 – Refuser de prendre son temps pour le gagner 22 – Ne pas se montrer gagnant par modestie ou superstition
Stéphane NEREAU's insight:
23 – Négliger de collectionner les contacts utiles 24 – Omettre le sentiment dans les relations d’affaires 25 – Oublier le nom et le prénom des autres 26 – Ignorer que les gens cherchent plus reconnaissance qu’argent 27 – Penser l’avenir avec rigidité pour mieux le fracturer 28 - Planifier ses vacances et errer dans sa vie active 29 – Qualifier de travail ce que l’on veut faire faire aux autres 30 -Refuser de licencier de peur de démotiver 31 – S’attendre au pire plutôt qu’au meilleur 32 – S’entourer de collaborateurs que l’on peut dominer 33 – Se concentrer sur les procédures et le reporting 34- Se lamenter au lieu de chercher des solutions 35 – Se prendre au sérieux et porter le monde 36 – Se vendre à tout prix plutôt que d’écouter l’acheteur 37 – Snober ses concurrents 38- Subir le changement plutôt que de le provoquer 39 – Tomber sans se demander pourquoi et retomber 40 – Travailler à se faire mal, mal travailler c’est pire 41 – Travailler pour un patron et pour de l’argent 42 – Vendre son produit au lieu de satisfaire un client 43 – Vivre dans une communauté et ne rien lui apporter 44 – Vouloir avoir raison contre le marché
Freud, McLuhan et Bourdieu ressuscités ! Ce n'est pas le moindre des paradoxes que l'Internet et les réseaux sociaux donnent une nouvelle jeunesse à ces vieux Mohicans du langage. Se joindraient-ils aux choeurs qui chantent les progrès de la liberté attachés à ces nouveaux outils ? Ce qui est questionnable pour l'ensemble de la société l'est encore plus dans le monde du travail où la parole n'est pas plus libre qu'avant. « Alors que jamais l'information n'a été aussi abondante dans les entreprises, jamais la communication n'y a autant fait défaut », tranchait même l'Association française de communication interne (Afci), lors d'un colloque récent. Dans combien d'entre elles est-on capable de dire les choses, surtout quand elles dérangent l'ordre établi et même en y mettant les formes ?
Stéphane NEREAU's insight:
L'individu ne peut lutter seul contre le système. La responsabilité incombe au premier chef aux dirigeants et aux managers. Du chemin reste à faire. Selon une enquête Meanings-Harris Interactive de 2012, moins d'un salarié sur deux en France juge dignes de confiance la parole du président, du directeur général, du directeur de la communication et du directeur des ressources humaines. Le taux d'adhésion monte en flèche si les dirigeants s'engagent vraiment, fréquemment et sur des sujets proches des préoccupations de leurs équipes. Certaines entreprises l'ont bien compris, qui ont créé une direction du dialogue et appliquent des politiques ad hoc pour l'animer. Parlez, parlez et soyez authentique, il en restera toujours quelque chose…
Bien que nous soyons dans un pays de droit écrit, de nombreux accords ou engagements sont oraux, basés sur la confiance réciproque. Alors que le non respect d’un contrat écrit est prévu et géré par la loi, le manquement à ses obligations dans le cadre un accord « verbal » peut avoir des conséquences parfois plus grave qu’une amende.
Stéphane NEREAU's insight:
Alors, si vous êtes confronté(e) à la situation où vous devez vous engager, n’hésitez pas à remettre votre décision à un peu plus tard, le temps pour vous de peser le pour et le contre et être certain(e) que vous serez en mesure de tenir vos promesses.
Chaque année, les risques d’inondation touchent plus de 13 000 communes françaises, dont 300 grandes agglomérations. Causes majeures des catastrophes naturelles, les inondations coûtent chères et représentent plus de la moitié des coûts d’indemnisations des sinistres par les assureurs, dont 50% concernent des entreprises. Face à cette situation lourde de conséquences pour son activité, le chef d’entreprise se doit d’être informé sur ce risque.
Stéphane NEREAU's insight:
Concernant l’indemnisation, vous serez automatiquement couvert par la garantie catastrophes naturelles dans le cadre de l’assurance de biens souscrite pour votre entreprise, dans la limite des garanties souscrites. Ainsi, seront pris en charge les dégâts matériels directs ou les frais de nettoyage et de désinfection par exemple, auxquels il conviendra cependant d’appliquer une franchise de 10% du montant des dommages (ou un minimum de 1 140 euros), sauf clause différente au contrat. Concernant la prise en charge des conséquences indirectes éventuelles comme la perte d’exploitation, il sera nécessaire de souscrire une garantie supplémentaire, en vous renseignant auprès de votre assureur. Celle-ci peut entre autre couvrir vos charges fixes permanentes (loyers, rémunération du personnel, impôts et taxes…) et la perte de votre chiffre d’affaires.
La quasi-totalité des entreprises (98 %) attache davantage d’importance qu’il y a deux ans à la gestion du risque, mais en même temps 54 % d’entre elles déplorent un manque de candidats présentant le profil requis. C’est l’un des principaux enjeux qui ressort d’une étude menée par le cabinet Accenture.
Stéphane NEREAU's insight:
Mais l’étude met aussi en évidence l’existence d’un sous-groupe d’entreprises (8 %), surnommées les “champions du risque” qui se distinguent par leurs capacités de gestion du risque extrêmement pointues et par leurs résultats financiers supérieurs à la moyenne de leur secteur d’activité. Elles ne sont que 36 % (contre 51 % du reste de l’échantillon) à avoir des difficultés à retenir ou recruter les compétences recherchées.
Après avoir passé en revue la description de la méthode agile, ses bénéfices et le collaboratif, nous publions ici les chiffres et des témoignages d’acteurs dans d’autres secteurs du tourisme mais qui sont autant d’exemples pour une transposition opportune pour notre industrie.
AXA Entreprises, qui accompagne 1 PME française sur 3, a interrogé, avec l’institut IPSOS, 500 chefs d’entreprises (de 10 à 500 salariés), dans le cadre de son premier baromètre consacré aux préoccupations des patrons de TPE/PME. Les sondés ont été invités à s’exprimer sur leur quotidien, leur état d’esprit, leurs attentes et les sujets qui les mobilisent.
Stéphane NEREAU's insight:
L’accroissement et la diversification des risques. Risque d’image, de crise médiatique, de cyber criminalité, de sinistres, de conflits social, risque environnemental... La cartographie des risques ne cesse de s’étoffer, constituant une source de préoccupations de la part des chefs d’entreprise. « La place croissante d’Internet et des réseaux sociaux a amplifié les risques d’image et de réputation. Tout comme elle a engendré un accroissement de la cyber criminalité, rappelle Antoinette Prost. 6 chefs d’entreprises sur 10 disent craindre le risque d’image et de réputation. Et près de la moitié d’entre eux se disent également préoccupés par le risque de crise médiatique ou les cyber risques ».
Comment redresser une entreprise promise à la fermeture : 3 semaines pour auditer, 3 heures pour faire valider le plan d’actions en 3 points et 3 mois pour la redresser. Voici le témoignage d'un expert dans ce domaine.
En matière de redressement d’entreprise, il est important de commencer par effectuer un bon audit, de préconiser des mesures avec un plan d’actions précis et de le faire valider par le PDG. Voici le témoignage d’un expert dans ce domaine qui a redressé en tant que manager de transition une entreprise qui était promise à la fermeture : 3 semaines pour auditer, 3 heures pour faire valider le plan d’actions en 3 points et 3 mois pour la redresser.
Télétravailler, c'est renouer avec l'esprit d'entreprise, l'esprit d'aventure. La mise en oeuvre du télétravail représente un véritable projet social qui nous introduits de plain-pied dans le troisième millénaire, placé sous le signe du changement permanent et du partage.
Stéphane NEREAU's insight:
Le travail d'aujourd'hui et le travail de demain évoluent et évolueront sous l'influence des seules technologiques mais aussi sous l'influence d'innovations politiques, organisationnelles, sociales structurées.
Au risque de briser le rêve de celles et ceux qui visent l’harmonie au travail, cette histoire est en fait un vrai cauchemar. Les collaborateurs jouent la carte du « tout va bien », les chefs de projets se soumettent sans broncher, Jean Louis accumule des colères inhibées à l’encontre du technicien expérimenté et ne voit pas que son manager le manipule en employant « mon cher » au sein d’une question interronégative suivie d’un conditionnel.
Stéphane NEREAU's insight:
Les managers devraient encourager la concurrence des idées plutôt que de les étouffer pour ne « pas faire d’histoires. » Le conflit est bien la marque des entreprises agiles plutôt que celle des organisations violentes, lesquelles préfèrent largement, à ses éclats, le silence inhibant, oppressant et explosif du consensus.
Méthode de production par l'amélioration continue et l'élimination des gaspillages (muda en japonais), notamment sur la gestion des flux comme la production excessive, les tâches, le transport et manutentions inutiles. Un outil gestionnaire dont l’origine remonte sous l’ère Toyota qui avait initié cette gestion de production depuis la fabrication des moteurs jusqu'à la fin de la ligne d'assemblage. Un moyen mis en œuvre afin de livrer les véhicules de qualité en juste-à-temps. Mode de production d'origine japonaise, une culture dans laquelle la notion de groupe et de respect de l'individu est très importante. Adoptée ensuite aux États-Unis – pays qui lui a donné le nom que nous lui connaissons à présent -, le Lean s'est plus orientée vers une démarche d’optimisation des flux en impliquant le personnel afin de "faire mieux" collectivement.
Stéphane NEREAU's insight:
Quels sont les pièges à éviter ?
Les principaux écueils à éviter.
Empiler des démarches « millefeuilles » sans lien avec les systèmes existants.
Sous-estimer les enjeux humains dont les conditions de travail, charges physiques et psychologiques, etc.
Mettre en œuvre la démarche sans prendre le temps d’impliquer les parties prenantes et de faire participer le personnel.
Se concentrer sur les gains économiques en oubliant de servir le client.
Optimiser localement, mais désorganiser globalement.
Ou pourquoi il est nécessaire pour une entreprise d’avoir une vision ? Pour se conformer à sa vision, quelle stratégie, en termes de portefeuille d'activités, un groupe doit-il avoir ?
Stéphane NEREAU's insight:
Toute la difficulté réside donc à initier un cercle vertueux pour transformer, développer et synthétiser la Vision d'entreprise et les idées qu'elles portent en critères plus subjectifs, de les amender et de compléter les idées. A l'équipe de stratégie d'être le moteur de cette réflexion. J'ai fait de la stratégie pendant un peu plus de 20 ans, en cabinet et en entreprise, et je n'ai rencontré malheureusement que peu d'entreprises qui avaient réfléchi à leur Vision. Toutes ces entreprises ont su se transformer et se développer. La conséquence directe pour leurs actionnaires a été une surperformance de la création de valeur et pour leurs employés, une amélioration de leurs conditions par un environnement plus dynamique, plus sûr, plus motivant et plus rémunérateur.
Pour toutes les autres, la question fondamentale est de savoir comment initier le processus et le dialogue stratégique au sein de l’entreprise et de le faire perdurer.
Comme le souligne le célèbre adage "Gérer, c'est prévoir". Voilà pourquoi toute entreprise se doit de pratiquer la prévision de trésorerie, en particulier en ces temps de crise économique et financière où sa fragilité s'est accrue.
Stéphane NEREAU's insight:
La gestion prévisionnelle de trésorerie c'est bâtir un budget de trésorerie prévisionnel, analyser les écarts entre le prévisionnel et le réalisé, sensibiliser les autres fonctions au sein de l'entreprise à l'importance des prévisions de cash.
Ainsi l'entreprise sera en mesure d'anticiper les variations prévues, de gérer et non plus subir les variations imprévues, en définitive de piloter par la prévision (hypothèses de trésorerie) et ainsi de prendre, quasi instantanément, les meilleures décisions qui s'imposent à elle.
Fin décembre, Opinion Way a réalisé une étude pour la société Brother qui démontre que les PME de moins de 50 salariés sont intéressées par le télétravail. Elle sont prêtes à utiliser la webconférence pour réduire leurs coûts de fonctionnement et optimiser leur productivité. Retour sur cette enquête, à télécharger en bas de l’article.
L’étude OpinionWay (réalisée auprès d’un échantillon de 1010 entreprises de 0 à 49 salariés) souligne le fait que 52% des entreprises font de la réduction et l’optimisation des coûts de fonctionnement une priorité pour développer la rentabilité de leur activité. Ce taux grimpe à 80% pour les TPME (10 à 49 salariés), extrêmement concernées par le contexte économique difficile ; elles appréhendent l’avenir et recherchent des solutions pour maintenir leur compétitivité.
Stéphane NEREAU's insight:
La webconférence, une solution optimale pour la productivité des TPME et plus particulièrement le secteur du service
La webconférence répond amplement aux besoins et aux attentes de ces entreprises. Plutôt une bonne nouvelle ppour Brother qui édite une solution de webconférence, Omnijoin. En effet, 35% d’entres elles affirment que l’avantage majeur de cette solution est, bien entendu, la réduction des coûts de déplacement mais également le gain de productivité.
A travers les différents secteurs d’activités interrogés, celui des services se démarque particulièrement dans le sondage : la webconférence est utilisée par 20% des entreprises issues de ce secteur. En effet, 38% des collaborateurs du domaine des services sont amenés à se déplacer fréquemment et sont ainsi les plus enclins à utiliser une solution de webconférence. Ajouté à cela, l’enquête révèle que 83% des entreprises du secteur des services montrent un réel attrait pour cette solution.
C'est ce qui ressort d'une enquête menée auprès de chefs d'entreprise dans le Morbihan. À quelques encablures des élections municipales, le président de la chambre de commerce du Morbihan se fait leur porte-parole.
Stéphane NEREAU's insight:
Pour ce faire, une étude a été réalisée auprès de 800 dirigeants et cadres. Une base de travail pour Jean-François Le Tallec. Elle indique que 80% estiment que leurs élus méconnaissent les besoins des entreprises. Pour ces élections, ils veulent attirer l'attention des candidats sur la maîtrise de l'urbanisme, la fiscalité locale qu'ils souhaitent allégée, les formalités qu'ils veulent simplifiées, l'accès des marchés publics aux petites entreprises, l'accessibilité du territoire (aéroport, TGV...) et l'accélération du désenclavement numérique.
Avis aux entrepreneurs innovants, Incubator 2000 vous suit partout !
Découvrez le dernier épisode de la campagne atypique Savoie Technolac, lancée depuis le mois de janvier.
Avec beaucoup d'humour, l'incubateur propose aux entrepreneurs dans le domaines des énergies renouvelables, de les accompagner dans leur création d'entreprise ! #BUZZ
Contrairement à l'idée qui a encore cours dans de nombreuses entreprises, le manager ne doit pas être créatif. Evolv, une société californienne de big data qui travaille à l'amélioration des performances des entreprises, a publié, dimanche 1er décembre, son dernier rapport trimestriel, où il apparaît que les managers les plus créatifs sont aussi ceux qui connaissent le turn-over le plus important dans les rangs de leurs employés. Plus ces derniers sont notés par leurs supérieurs sur une échelle d'innovation et de créativité, moins ils passent de temps dans l'entreprise.
Stéphane NEREAU's insight:
Selon le rapport d'Evolv, les principales qualités d'un bon manager sont la pédagogie, le leadership et l'adaptabilité: au lieu d'établir des stratégies et des plans pour les temps à venir, il est plus rentable, en terme de conservation des salariés, de s'adapter aux changements au jour le jour. Toujours selon ce rapport, les managers les plus organisés, et donc leur subordonnés, ne sont pas aussi performants que les plus communicatifs.
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En bref, les entreprises attendent souvent de ne plus pouvoir atteindre leurs objectifs de performance pour changer. Il est alors trop tard. Mieux vaut donc prendre les devants …