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Dans un billet précédent, j’ai expliqué que l’innovation fait l’objet de nombreuses approximations. La première confusion consiste à l’assimiler à la créativité. Ce sont pourtant deux processus très différents. Être créatif, c’est avoir des idées. Être innovant, c’est mettre ces idées en œuvre. Alors que la créativité relève de la réflexion, l’innovation relève de l’action. Si vous avez eu des milliers d’idées dans votre vie, vous êtes incontestablement créatif. Cependant, si vous n’en avez appliqué aucune, vous n’êtes pas un innovateur. Réciproquement, si vous n’avez jamais eu qu’une idée, votre créativité est assurément limitée, mais si vous avez mis cette idée en œuvre, vous avez innové.
La quantité d’informations gérée par les outils 2.0 devient de plus en plus importante rendant les organisations dépendantes de la logique et du langage informatique. Deux problématiques sont alors soulevées lors de conduite de projet. L’ordinateur est une machine logique qui ne peut prendre en compte des informations perçues. Or les changements de notre environnement et des modes de consommation ou d’utilisation des clients ne suivent pas des modèles mathématiques définis mais reflètent les modifications de ceux-ci. Aussi, l’être humain se fie de moins en moins à ses intuitions (relatives à la perception) pour se concentrer exclusivement sur des faits traités par l’informatique. Ainsi, les renseignements tronqués ont tendance à nous couper de la réalité. Ce phénomène est remarquable lors de la conduite de projet où toutes les décisions, où toutes les idées sont échangées autour d’une table de conférence. Cependant, le langage utilisé par chaque collaborateur peut être différent et peut impacter la communication de l’équipe de façon négative. Les projets innovants ont besoin d’une communication rapide entre les collaborateurs ainsi que d’une génération rapide d’idées.
Travailler autrement et innover. GDF SUEZ vous propose de découvrir les nouvelles méthodes de créativité et d’expérimentation collaborative. Synthèse de l’esprit open source et du «do it yourself», le Fab Lab est un lieu d’échange et d’innovation, né de l’envie de démocratiser les nouvelles technologies. A Paris, la Cité des Sciences et de l’Industrie à la Villette nous fait découvrir une nouvelle façon de créer et d’innover.
D’une manière générale, le design thinking est considéré comme un processus de résolution de problèmes. Ce mémoire a pour principal objectif de lui donner un cadre de référence en explorant autant sa dimension Process que ses dimensions People et Place. Dans cette optique, le design thinking peut être perçu comme une culture centrée sur l’être humain favorisant l’émergence d’innovation de produits sensés. Par ailleurs, son impact sera étudié au travers de deux études de cas dans lesquelles cette culture a permis de construire un service et un produit radicalement innovant
10 conseils pour devenir plus curieux, plus ouvert d'esprit et surtout, plus créatif ! A lire et à partager sans hésiter ;)
Je crois dans le potentiel du collectif ! Je crois qu’ensemble nous pouvons réaliser de grandes choses. Ok, ok, je sais que cela peut sonner comme une affiche de Sarkozy à la présidentielle ou comme un discours de miss France au micro de Jean-Pierre Foucault, mais pourtant c’est vrai. Je vous sens septique, alors laissez moi vous raconter 2 petites histoires ...
Le temps est, paraît-il, au salarié créatif et innovant, souple et agile. Mais l’heure, elle, est au contrôle, à la surveillance, à l’alignement et à l’exigence tribale. C’est l’un des paradoxes auxquels les évolutions majeures que nous sommes en train de vivre nous confrontent, rupture technologique en tête… tant l’on néglige l’évolution humaine, professionnelle, managériale, organisationnelle, citoyenne, qui à la fois en découle et la sous-tend. L’invention de l’imprimerie ne nous a jamais indiqué ce qu’il fallait écrire… Or, c’est pourtant bien de ce que nous allons « écrire » aujourd’hui, avec des technologies ouvrant un extraordinaire champ des possibles, que notre avenir dépend, au moins en partie.
Y’a-t-il des relations, des connexions, entre les pratiques des très grandes entreprises et celles des makers ? Pour Marie-Noéline Viguié (@marienoeline) directrice de Nod-a (@nodatweet), un cabinet de design qui conçoit des dispositifs créatifs collectifs, et qui fait se rencontrer bidouilleurs et entreprises, les grandes entreprises expriment un intérêt réel pour la culture maker, pour “cet amour du faire”.
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L’harmocratie n’est pas une méthode managériale comme peut l’être le LEAN Management mais bien une philosophie de gouvernance permettant l’émergence d’un SUMUS de l’organisation, d’une intelligence organique nourrie de l’intelligence collective et collaborative, d’un potentiel de créativité inépuisable.
Une caractéristique des entreprises actuelles est leur aversion du risque se traduisant notamment dans une affectation des budgets R&D dans l’amélioration de leurs gammes existantes plutôt que dans l’innovation de nouveaux produits. Pourtant, parallèlement à ce raisonnement, nous constatons que les organisations dont la réussite est remarquable ont toutes le même profil : start-ups proposant des solutions innovantes. Le succès d’aujourd’hui, et encore plus celui de demain, est donc intimement lié à une prise de risque initiale et à la capacité à innover et à proposer des produits différents. Être proactif plutôt que réactif sera le nouveau credo de nos industries.
La créativité se nourrit de nos expériences, difficiles ou agréables, de nos pensées, de nos temps actifs comme oisifs, d’une réflexion solitaire ou de partages… Nous avons tous un potentiel de créativité, « il faut savoir s’inspirer de tout et laisser sa chance aux idées » Béatrice Duboisset, organisatrice du 1er TEDx Women à Paris en décembre dernier.
Via Nathalie Carpentier
Jamais dans le passé les notions de "créativité", de "recherche" et d’"innovation" n’ont été si pleinement considérées comme un sujet critique. Cette importance est justifiée par la place de plus en plus centrale de la recherche dans la chaine de valeur des entreprises.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, intéressons-nous d’abord à la définition du brainstorming. Le brainstorming, ou séance d’idéation, est un procédé permettant d’imaginer des solutions créatives à des problèmes. Elle a été conçue en 1940 par Alex Osborn, le vice-président d’une agence de pub américaine (BBDO). Cette méthode fonctionne en premier lieu en se concentrant sur un problème à résoudre: trouver une idée de produit, un slogan accrocheur, de nouvelles opportunités de business… Lors de cette phase initiale, les participants doivent lancer autant d’idées que possible même si toutes ne semblent pas logiques sur le moment.
CERVEAU - La créativité opère de manière mystérieuse et souvent paradoxale. La pensée créative est une caractéristique stable qui définit certaines personnalités, mais elle peut aussi changer en fonction du contexte. On a souvent l’impression que l’inspiration et les idées naissent de nulle part et qu’elles disparaissent au moment où on a le plus besoin d’elles. La pensée créative nécessite une cognition complexe qui est néanmoins complètement différente du processus de réflexion.
Le monde dans lequel évoluent aujourd’hui le secteur public et celui privé devient de plus en plus complexe et interconnecté. Les organisations vivent une réelle transformation sans précédent. Elles cherchent à innover pour mieux se réinventer et survivre et se tournent vers une méthode simple et éprouvée le Design Thinking.
A mon retour de vacances j’ai appris que nous allions tous changer de bureaux, çà n’a l’air de rien mais pour tout bon collaborateur passant presque 8h dans un bureau, c’est un événement qui mérite que l’on s’y attarde un peu. J’avais déjà en tête d’écrire un article sur les espaces de travail en entreprise et je dois bien avouer que ce déménagement n’a fait que me conforter sur l’intérêt de faire une bafouille sur ce sujet.
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L'innovation n'est pas la créativité
AK.