C'est un constat devenu banal : avec la mort des idéologies et la montée en puissance du " libéralisme sauvage " sur fond de mondialisation, le rôle des Etats (démocratiques en tout cas) dans le débat d'idées n'a cessé de décliner pendant ces dernières décennies et le politique a laissé place aux " marketeurs " et aux communicants.
Leurs dirigeants devraient exiger du conseil qu'il les aide à reconnecter les vrais gens, clients comme salariés, à leurs entreprises. Parce qu'il va falloir accepter que ce n'est plus aux personnes de s'adapter aux entreprises, elles-mêmes soumises à une pseudo-globalisation, mais que les entreprises qui vont gagner sont celles qui sauront prendre en compte ce qui fait la vie des gens.