Le travail en collaboration avec les startups permet de faire émerger l’innovation, notamment dans l’acceptation de la possibilité de l’échec.
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La culture de l'échec est justement le point fort des startups, la raison de leur qualité d'innovation. Ces entreprises se créent par échecs successifs et n'hésitent pas à opérer des changements profonds dans leur fonctionnement pour répondre au marché. Le problème culturel quant à l'échec est cependant présent en amont, dans les universités et les écoles qui ne nous apprennent pas forcément que l'échec n'est pas complètement négatif, que le fait de se tromper est une étape presque obligée. Il est irrationnel de vouloir faire croire aux étudiants que l'on peut être le meilleur en tout, l'omniscient n'existe ni dans le monde économique ni dans le monde réel. Dans les grandes entreprises, par exemple, cette crainte de l'échec s'incarne dans l'incapacité à admettre qu'un projet ne soit pas bon. Plutôt que d'en changer, on va dans certains cas le renforcer pour essayer de le forcer à aboutir. Il est difficile pour une grande entreprise d'admettre qu'un projet ne puisse fonctionner, justement parce que c'est un constat d'échec, alors que c'est la force des startups.