Après l'Entreprise 2.0 Summit à Paris et malgré quelques succès, on fait le constat d'un essoufflement du modèle chez ceux qui ne continuent pas d'y mettre une énergie importante. Et si les coupables étaient les processus?
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Récemment GreenSI a trouvé dans la très sérieuse Harvard Business Review un article très pertinent de Raffi Duymedjian : ""Bricolage en entreprise, la fin d’un tabou". Un manifeste qui questionne si l'homme dans sa quête de rationalité et de déterminisme, n'est pas allez un peu loin dans la rationalisation des processus de l'entreprise. Et si de vouloir tout régir avec des processus et un ordre établi n'était finalement qu'une obsession de notre condition humaine?
N'est-ce pas l'écho de ces flops qu'on ne sait pas toujours expliquer :
L'entreprise 2.0 va au delà du RSE et ne s'appuiera pas que sur des processus formalisés. Ils trouvent eux-même leur limite et se doivent d'évoluer.
C'est une nouvelle forme d'organisation, plus ouverte, plus agile, moins déterministe car reposant moins sur des processus structurés et plus sur de la collaboration social. Le RSE, qui est la nouveauté et la priorité de ces dernières années, y joue un rôle, mais il n'est pas seul. Les processus vont continuer d'exister.
Mais pour ne pas rester un phénomène éphémère, le RSE va donc devoir résoudre sa propre équation et aller plus loin dans son adoption: s'intégrer avec les processus opérationnels.