Le président de la CGPME, Jean-François Roubaud soutient le pacte de responsabilité. En revanche, il s’inquiète de mesures qui complexifient la vie des PME, comme le compte pénibilité ou la durée minimale du travail temporaire.
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S’il est d’accord sur la philosophie du pacte, sur d’autres sujets il sera compliqué d’en faire un défenseur de l’action gouvernementale. Deux projets de loi sont particulièrement contestés : la durée minimale du temps partiel à 24 heures et le compte individuel de pénibilité. Sur ce dernier point, Geneviève Roy,la vice-présidente de la CGPME s’est inquiété de certains effets pervers : "une fois que l’on est dans la compensation de la pénibilité du travail, ne risque-t-on pas de voir les entreprises arrêter leurs efforts de prévention ?" Et de pointer le retour par ce biais d’un possible système de préretraites pour les salariés exposés à la pénibilité. La première rencontre avec Michel de Virville, chargé d’une mission sur la pénibilité n’a pas vraiment rassuré le représentant des PME. Un prochain rendez-vous aura lieu le 27 mars.