Consultation des salariés pour l'aménagement du siège d'Issy-Les-Moulineaux, observatoire interne de la santé au travail, incitation au télétravail... Microsoft mise sur le dialogue et la collaboration.
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(...) Aucun problème pour travailler chez soi. On n’est pas contraint au présentéisme, mais à atteindre un objectif, de l’atteindre de la meilleure façon possible. Donc, pourquoi venir systématiquement au bureau perdre deux heures en voiture si vous avez besoin de vous concentrer le matin sur un dossier et que le plus simple est de rester chez soi ? Pourquoi se contraindre à venir au bureau à 8 h 30 le matin pour ne pas collaborer avec d’autres personnes alors que je peux le faire de chez moi, tout en m’occupant de mes enfants, ou parce que je dois recevoir une livraison ou le plombier ? C’est l’idée qui est sortie de tous ces ateliers, en écoutant les salariés. En ajoutant à cela des benchmarks à droite et à gauche. Les attentes des salariés, ce n’est pas une absence d’envie de travailler mais un désir de pouvoir réconcilier tout cela avec leurs obligations en matière d’objectif dans les meilleures conditions. Donc, ils ont développé une forme de flexibilité admise qui n’est pas simplement un mot. Parce qu’il est beaucoup plus facile de la concevoir que de la mettre en oeuvre. Une flexibilité qui consiste à dire, toujours en accord avec le management, en étroite coordination avec celui-ci : « Écoute demain, je ne peux pas venir, je préfère rester chez moi, j’ai des obligations, est-ce que ça pose un problème ? » Le manager a priori ne doit pas dire non, sauf s’il y a une véritable raison. C’est toujours un équilibre à trouver. Cela peut être une ou deux fois par semaine, mais il faut que ça reste compatible avec le fonctionnement collaboratif de l’équipe. (...)