Madame X… a été embauchée par Monsieur Y… exploitant la « PHARMACIE Z » en qualité d’animatrice parapharmacie-esthétique-magasinière.
Madame X… a été licenciée pour faute grave aux motifs de n’avoir pas respecté les ordres de ses supérieurs hiérarchiques qui lui ont enjoint de ne pas écouter de la musique avec son téléphone portable pendant les heures de travail.
La Cour d’appel de Colmar a considéré que si ces faits sont établis, ils ne constituent cependant ni une faute grave ni une cause suffisamment sérieuse de licenciement.
Cour d’appel de Colmar, 12 février 2013 n° 13/0230, 11/05134