« Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. » nous disait Queuille (pas la nouvelle façon d’écrire le verbe cueillir à la première personne au présent de l’indicatif, désormais acceptée par les correcteurs du baccalauréat 2014, mais l’homme politique français (1884-1970) plusieurs fois Ministre sous la 3ème République). Et je m’étais engagé à ne plus jamais parler de la Génération Y. Il est peut-être temps pour moi de songer à une carrière politique. Car c’est bien de la Génération Y, oui, oui, de la #GenY dont je vais re-parler ici. Mais peut-être aussi est-ce la toute dernière fois que j’en parlerai car c’est pour vous faire part d’une très bonne nouvelle : les derniers rejetons de la génération Y sont majeurs !
Pour conclure avec ce tube de l'année 1975, je ne sais pas si la #GenY n’existe pas (quoique) mais elle fait désormais partie du passé. Deux faits majeurs semblent l’attester. La « Génération Y » a fait son entrée dans le dictionnaire (Le Petit Robert 2013) aux côtés de « lol » (plus très en vogue), ou « gloups » (rarement utilisé, je trouve). Et surtout, un site internet dédié à cette génération depuis près de 10 ans nous confessait, dans son édito de juillet dernier, se consacrer dorénavant à de nouveaux sujets d’études…