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La santé et la sécurité au travail constituent pour les entreprises, une dimension essentielle de leur responsabilité sociale. Ce sujet, qui concerne directement les 24 millions de salariés du privé et du public n’intéresse pas les grands médias. Cependant, il va prendre un peu de relief avec l’élaboration du nouveau Plan Santé au Travail (PST). A cette occasion, je mets en avant trois bonnes raisons d’investir dans une politique ambitieuse d’amélioration des conditions de travail.
La loi du 10 juillet 2014 visant à lutter contre la concurrence sociale déloyale est destinée à renforcer les contrôles et sanctions contre les entreprises qui ont recours de manière abusive à des travailleurs détachés.
Vous avez déconnecté pendant vos vacances ? Pas de panique, nous vous proposons un petit rattrapage. Retrouvez les articles publiés par anact.fr cet été.
Les conditions de travail la nuit sont plus pénibles que pour les autres salariés, avec un impact sur leur santé. Le nombre de femmes travaillant la nuit a doublé entre 1991 et 2012.
Entre 2005 et 2013, pour les salariés de France métropolitaine, les changements organisationnels ont repris et les contraintes de rythme de travail se sont accrues, après la relative stabilisation enregistrée entre 1998 et 2005. Cette intensification a été plus marquée dans la fonction publique que dans le secteur privé. L’usage de l’informatique dans le travail poursuit sa progression à un rythme rapide. D’ailleurs, le contrôle ou suivi informatisé du travail est la contrainte de rythme qui s’est le plus diffusée.
Le rapport sur le compte pénibilité, dévoilé par Michel de Virville le 9 juin 2014, doit entrer en vigueur le 1er janvier 2015. Comment la pénibilité des salariés est évaluée? Quelles vont être les nouvelles obligations des entreprises? Résumé des points essentiels.
Cette année, plus d’un employeur sur deux a mené une action préventive en faveur de la santé des salariés. Un geste primordial.
Dans le cadre de la nouvelle réforme des retraites, un compte personnel de prévention de la pénibilité sera créé dès 2015 pour tous les salariés du secteur privé exposé à un ou plusieurs facteurs de pénibilité. Le gouvernement a conservé la définition de la pénibilité tenue par les partenaires sociaux en 2008, basée sur une liste de 10 facteurs (travail de nuit, bruit, température extrême, etc.).
La DARES a publié en février une étude portant sur l’évolution des accidents du travail entre 2005 et 2010. Au cours de ces cinq années, on constate une baisse du nombre d’accidents du travail.
Les entreprises dotées de plusieurs établissements peuvent, par voie d’accord collectif, mettre en place un CHSCT central. La Cour de cassation a jugé que lorsqu’une expertise était conduite par ce CHSCT central, cette action s’imposait, sous certaines conditions, aux instances locales.
Nouveaux outils, nouveaux agencements d'agence, nouveau système d'information... Depuis quelques années, le Crédit Agricole est en mutation permanente. C'est pour mieux concevoir ces projets et anticiper leurs impacts sur les métiers et sur les conditions de travail que les Caisses régionales utilisent le Diagphoto, qui fait partie d’une méthode d’analyse du travail conçue sous l’égide de l’Anact.
L’exacerbation de la primauté du financier sur l’humain a conduit à une crise économique sans précédent depuis 1929 mais aussi à une crise de l’entreprise : pour la première fois, celle-ci n’apparaît plus comme un lieu de solidarité et de projet collectif. La responsabilité de « reprendre la main et remettre de l’humain » incombe aux DRH. Ils peuvent s’appuyer pour cela sur un puissant levier : la qualité de vie au travail.
Afin de pouvoir émettre un avis sur le projet qui lui est soumis, le comité central d'entreprise (CCE) peut exiger que les avis des CHSCT concernés par le projet en question lui soient transmis.
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Pour que le harcèlement moral sur le lieu de travail soit reconnu, il faut qu'il y ait non seulement agissements répétés du harceleur, mais aussi atteinte à sa dignité, à sa santé ou à son avenir. Travailler dans des locaux vétustes, ne pas être rémunéré de ses heures supplémentaires ou manquer d'équipement ne suffit donc pas. La preuve par trois, dans la jurisprudence récente.
L’absentéisme en France a augmenté de 18 % en 2012, ce qui représente une moyenne de 16,6 jours d’absence par salarié et un coût direct de 6,98 milliards d'euros pour les entreprises du secteur privé. C'est un des principaux éléments mis en évidence par le dernier baromètre Alma CG disponible sur le site www.almacg.fr.
73 % des salariés aimeraient télétravailler, mais souvent, ils se heurtent à un refus de leur hiérarchie. Nouvelle forme d'organisation encore peu promue, le télétravail reste le plus souvent informel. Une loi l'encadre pourtant depuis 2012, offrant un cadre juridique sécurisant tant pour les salariés que les employeurs.’
Réponse de l'INRS à une question posée par un médecin du travail. Quelles sont les principales actions de prévention des risques liés aux fortes chaleurs estivales ?
Contraintes physiques ou sur les rythmes de travail, évolutions technologiques... en pleine polémique sur la pénibilité, une étude du ministère de l'Emploi montre une dégradation des conditions de travail des salariés en France sur les sept dernières années.
En trois ans, neuf ouvriers sont morts sur les chantiers des stades de la Coupe du monde. Un tribut humain révélateur des conditions de travail au Brésil. En 2013, le pays a dénombré 700 000 accidents, 15 000 blessés et 2 700 décès liés à une activité professionnelle.
Stress, restructurations, mouvements répétitifs, charges lourdes... pour 62% des Français, les conditions de travail se sont dégradées selon l'Eurobaromètre sur les conditions de travail.
Spécialiste des relations entre l’âge, le travail et la santé, Serge Volkoff estime que les conditions de travail des éboueurs restent difficiles, en dépit de quelques progrès.
Le premier baromètre national qui évalue la qualité de vie au travail au sein des acteurs de l’économie sociale et solidaire (ESS) est nuancé. Si, dans l’ensemble, les salariés et les dirigeants du secteur sont satisfaits, ils n’échappent pas à la pression et au stress.
OUI, l’accord national interprofessionnel (ANI) sur la qualité de vie au travail (QVT) du 19 juin 2013 est un levier efficace et pragmatique en matière de RSE (Responsabilité sociale des entreprises). Certes, si la QVT n’est qu’un corridor humanitaire tracé au beau milieu de l’horreur économique, elle n’a que faire de la RSE. A son tour, si la RSE se limite à un exercice de communication étrangère au cœur de métier de l’entreprise, à ses métiers, aux hommes et aux femmes qui y travaillent, elle n’a que peu à partager avec la QVT.
Le refus par le salarié d'une modification de ses conditions de travail ne constitue pas, à lui seul, une faute grave. Par conséquent, l'employeur ne peut rompre le contrat de travail à durée déterminée par anticipation pour ce seul motif.
L’espace de travail contribue à la motivation et donc à la productivité. Les conditions de travail sont d’ailleurs réglementées par le législateur et personne ne peut y déroger ni les contourner.
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La santé et la sécurité au travail constituent pour les entreprises, une dimension essentielle de leur responsabilité sociale. Ce sujet, qui concerne directement les 24 millions de salariés du privé et du public n’intéresse pas les grands médias. Cependant, il va prendre un peu de relief avec l’élaboration du nouveau Plan Santé au Travail (PST)