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Lorsqu’on occupe la lourde responsabilité du dirigeant, il arrive que l’on ruine le bien-être de ses salariés sans même s’en rendre compte. Être heureux au travail est pourtant un facteur essentiel à votre activité. En plus de favoriser la productivité, il facilite le recrutement de talents, les nouvelles générations se souciant davantage de leur bien-être. Voici donc dix choses à ne pas faire si vous ne voulez pas risquer de rendre vos salariés malheureux.
Le fait n’est pas nouveau : le bien-être des employés est un levier de performance énorme pour toute organisation. Les facteurs de motivation des collaborateurs font donc l’objet d’études régulières et poussées, tandis que de nombreuses marques considèrent la culture d’entreprise comme un actif à part entière. En toute logique, les RH se recentrent de plus en plus sur des stratégies de recrutement et de fidélisation des talents.
Guettant aussi bien les cadres que les ouvriers, le mal-être au travail aurait coûté près de 13 500 euros par salarié aux entreprises, soit une perte d’environ 200 milliards d’euros rien que sur l’année 2013. Pour optimiser le bien-être de leurs salariés, quelques entreprises ont trouvé la parade.
Les entreprises qui travaillent à l’amélioration du bien-être au travail de leurs salariés ont une meilleure performance sociale et économique.
Souplesse des horaires, nouvelle organisation, possibilité de partir hors saison, … Durant l’été, les salariés aimeraient profiter d’une plus grande liberté, d’après un sondage Indeed sur le travail en juillet-août.
“Pas un débat sur la santé au travail sans que les termes de bien-être au travail, de qualité de vie au travail ou de risques psychosociaux ne soient employés. Mais que recouvrent exactement ces notions ? D'où sont-elles issues ? À quels objectifs de prévention des risques répondent-elles ? Cet article examine les spécificités, les différences et les complémentarités de ces approches.
Via Harmony, François GARREAU
Le souffle novateur porté par les années 70 n’a pas laissé en marge le monde du travail qui s’est trouvé bouleversé par la notion de bien-être au bureau. Une qualité de vie professionnelle qui a non seulement un impact sur les salariés, mais également sur les performances de l’entreprise.
Selon l’adage, “Pas de nouvelles, bonnes nouvelles”. Qu’en est-il dans les équipes à distance ? En quoi le silence à distance a-t-il une influence sur la Qualité de Vie au Travail (QVT) ?
Si la prévention des risques psychosociaux est une affaire sérieuse, l'amélioration du bien-être au travail doit être une quête joyeuse. Voici pourquoi, et comment.
Dans une interview, Beatriz Arantes, psychologue et chercheuse chez Steelcase, une entreprise spécialisée dans le mobilier de bureau et l’aménagement des espaces de travail, nous avait expliqué en quoi l’expérience émotionnelle était la clé du bien-être au travail. Le résultat d’une étude approfondie réalisée avec une équipe composée d’un ergonome et d’un designer qui montre comment l’émotion joue sur notre efficacité et notre sentiment de bonheur au travail. Beatriz nous détaille ses recherches en passant en revue les 6 facteurs émotionnels qui déterminent le bien-être au travail : la pleine conscience, l’authenticité, l’appartenance, le sens, l’optimisme et l’énergie.
Le 27 et le 28 mai, la première édition de ce salon ouvre ses portes au Palais des Congrès, à Paris, Porte Maillot (XVIIème). Durant deux jours, VitaeLia proposera conférences, ateliers et rencontres sur le thème du bien-être au travail.
bienSelon un sondage Ifop dévoilé le 20 mai dernier, 38% des salariés de l’hexagone ne sont plus motivés. Un constat résultant à la fois de facteurs sociaux et économiques. Dans ce contexte, les services aux collaborateurs apparaissent comme le moyen le plus sûr de changer la donne et d’offrir de nouvelles perspectives, humaines et économiques.
Personne ne peut plus ignorer aujourd’hui les conséquences dramatiques de l’augmentation croissante et continue de la souffrance au travail ces dernières décennies. Plus grave est le fait que malgré les différentes campagnes proposées par les instances publiques, les statistiques continuent de grimper depuis 2003 dates de l’étude SUMER.
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Le 22 novembre dernier, le Collège des Directeurs du Développement Durable (C3D) organisait une conférence sur le thème de la qualité de vie au travail dans le cadre de l’événement Revolution@work. Que retenir de cette conférence ? Jean-Michel Mépuis, Président d’Hozhoni Conseil et membre du C3D, nous répond.
Guettant aussi bien les cadres que les ouvriers, le mal-être au travail aurait coûté près de 13 500 euros par salarié aux entreprises, soit une perte d’environ 200 milliards d’euros rien que sur l’année 2013. Pour optimiser le bien-être de leurs salariés, quelques entreprises ont trouvé la parade.
Nous constatons une vrai prise de conscience de la part des entreprises pour le bien-être en entreprise , le bien-être des employés, qui a un impact non négligeable sur la motivation, le plaisir de travailler et ainsi, la performance en entreprise. Les entreprises ont donc tout à y gagner à investir dans ce secteur du bien-être en entreprise.
A l'heure du numérique, expérience client et qualité de vie au travail des collaborateurs sont intimement liés. Retour d'expériences.
Tandis que l’amélioration de leur santé au travail est une priorité pour 60% des salariés européens, les employeurs européens semblent prêts à répondre à ces préoccupations. La réduction du stress et la sensibilisation à la santé sur le lieu de travail, par exemple, figurent parmi les priorités stratégiques des trois quarts des employeurs européens ayant participé à notre enquête mondiale Staying@Work2, sur les attitudes des employeurs à l’égard des avantages sociaux.
Les débats autour de l'avenir du travail sont révélateurs des interrogations que suscite la transformation des entreprises. Pourtant, c'est un euphémisme de dire que notre vie professionnelle connaît une évolution majeure qui ne fait sans doute que commencer. Télétravail, multiplication des activités, mouvement des hobbypreneurs, espaces de co-working, les exemples sont déjà légion.
Cet organisme conventionné du Régime Social des Indépendants (RSI) vient de lancer une enquête sur la santé et le bien-être des professionnels indépendants au travail.
« Prévention de l’absentéisme : plaçons l’humain au centre des démarches pour accroître le bien-être au travail »
Les Français sont fidèles à leur réputation de grincheux et se montrent très critiques sur leur environnement de travail, selon une enquête sur le bien-être au travail réalisée Ipsos et Steelcase. Plus de 10.000 personnes, travaillant dans des entreprises de plus de 100 salariés, ont été interrogées dans 14 pays (France, Pays-Bas, Belgique, Allemagne, Grande-Bretagne, États-Unis, Russie, Pologne, Turquie, Inde, Chine, Mexique, Canada et Espagne) pour mesurer la satisfaction et le bien-être au travail. Et il n’y a pas photo : nous sommes vraiment les champions du monde de la critique systématique. Cocorico !
Réaliser 10 000 pas par jour, pratiquer une activité physique quotidienne pendant au moins 30 minutes, mesurer la distance parcourue en running avec son application… Le sport est à la mode et l’entreprise ne déroge pas à cette règle. Zoom sur cette prise de conscience récente.
La mauvaise qualité de l'organisation du travail coûterait aux entreprises 13.500 euros par an et par salarié. Le baromètre 2013 d'Apicil et Mozart Consulting montre que les services constituent le secteur qui a le plus de progrès à accomplir.
Fondateur de l’institut français d’action sur le stress, Eric Albert est consultant. Il publie aux Editions Albin Michel, Partager le pouvoir, c’est possible. Selon lui, les plus conservateurs ne sont pas ceux que l’on croit. Face à l’incertitude, les dirigeants se cabrent sur leurs habitudes, tandis qu’un changement de modèle est devenu indispensable. Il faut en finir avec l’infantilisation généralisée ! Chiche ?
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Les nouvelles générations s’attachent de plus en plus à la question du bien-être en entreprise. À défaut de pouvoir assurer le bonheur de chacun de vos salariés, vous pouvez, du moins, y contribuer sur leur lieu de travail grâce à de simples gestes. Pensez-y !