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La plupart des entrepreneurs se penchent trop sur leur travail, et oublient de surveiller leur état de santé. Pourtant, lorsqu’un dirigeant tombe malade, c’est l’entreprise tout entière qui souffre avec lui.
Mener une politique de Ressources Humaines Responsables et engagées en faveur de la Qualité de vie au Travail peut booster la performance sociale et économique d’une structure et améliorer la relation client.
Les débats autour de l'avenir du travail sont révélateurs des interrogations que suscite la transformation des entreprises. Pourtant, c'est un euphémisme de dire que notre vie professionnelle connaît une évolution majeure qui ne fait sans doute que commencer. Télétravail, multiplication des activités, mouvement des hobbypreneurs, espaces de co-working, les exemples sont déjà légion.
La santé et la sécurité au travail constituent pour les entreprises, une dimension essentielle de leur responsabilité sociale. Ce sujet, qui concerne directement les 24 millions de salariés du privé et du public n’intéresse pas les grands médias. Cependant, il va prendre un peu de relief avec l’élaboration du nouveau Plan Santé au Travail (PST). A cette occasion, je mets en avant trois bonnes raisons d’investir dans une politique ambitieuse d’amélioration des conditions de travail.
Chaque entreprise est différente par ses métiers, sa culture, ses projets, ses objectifs et plus encore son capital humain. Néanmoins, toutes peuvent partager une ambition commune : veiller au bien-être de leurs collaborateurs.
Réaliser 10 000 pas par jour, pratiquer une activité physique quotidienne pendant au moins 30 minutes, mesurer la distance parcourue en running avec son application… Le sport est à la mode et l’entreprise ne déroge pas à cette règle. Zoom sur cette prise de conscience récente.
Le projet « Qualité de Vie au Travail » (QVT), lancé en 2012 par Mondial Assistance, est basé sur le bien-être, le bien-vivre et le bien-faire dans l’entreprise. Il se déploiera par étapes successives jusqu’en 2015.
Personne ne peut plus ignorer aujourd’hui les conséquences dramatiques de l’augmentation croissante et continue de la souffrance au travail ces dernières décennies. Plus grave est le fait que malgré les différentes campagnes proposées par les instances publiques, les statistiques continuent de grimper depuis 2003 dates de l’étude SUMER.
Une version actualisée du dossier qualité de vie au travail (QVT) est maintenant disponible. Elle prend acte de la signature de l’accord national interprofessionnel (ANI) en juin 2013. Ce dossier « Conduire une démarche qualité de vie au travail : un ANI pour innover » a pour objectif d’outiller principalement les PME qui s'apprètent à expérimenter.
Via Sinad Management
Les experts en santé au travail associent les risques psychosociaux (RPS) à un isolement social excessif des collaborateurs à leurs postes de travail. Soucieuses de renforcer la cohésion au sein de leurs services et lutter contre les RPS, beaucoup d'entreprises prennent des mesures dont l'efficacité peut être discutée.
OUI, l’accord national interprofessionnel (ANI) sur la qualité de vie au travail (QVT) du 19 juin 2013 est un levier efficace et pragmatique en matière de RSE (Responsabilité sociale des entreprises). Certes, si la QVT n’est qu’un corridor humanitaire tracé au beau milieu de l’horreur économique, elle n’a que faire de la RSE. A son tour, si la RSE se limite à un exercice de communication étrangère au cœur de métier de l’entreprise, à ses métiers, aux hommes et aux femmes qui y travaillent, elle n’a que peu à partager avec la QVT.
L’exacerbation de la primauté du financier sur l’humain a conduit à une crise économique sans précédent depuis 1929 mais aussi à une crise de l’entreprise : pour la première fois, celle-ci n’apparaît plus comme un lieu de solidarité et de projet collectif. La responsabilité de « reprendre la main et remettre de l’humain » incombe aux DRH. Ils peuvent s’appuyer pour cela sur un puissant levier : la qualité de vie au travail.
L’Accord National Interprofessionnel du 19 juin 2013 vers une politique d’amélioration de la Qualité de Vie au Travail et de l’Egalité Professionnelle est désormais validé depuis les premières annonces de signatures de syndicats le 8 juillet dernier. Je vous propose quelques idées clés sur cet ANI.
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“Pas un débat sur la santé au travail sans que les termes de bien-être au travail, de qualité de vie au travail ou de risques psychosociaux ne soient employés. Mais que recouvrent exactement ces notions ? D'où sont-elles issues ? À quels objectifs de prévention des risques répondent-elles ? Cet article examine les spécificités, les différences et les complémentarités de ces approches.
Via Harmony, François GARREAU
La santé et la qualité de vie au travail sont des attentes des salariés …et un facteur d’attractivité et de performance pour l’entreprise car des salariés en bonne santé et bien dans leur travail apportent une plus grande compétitivité. Un certain nombre d’entreprises développent cette préoccupation, pour améliorer la qualité des produits ou services, réduire l’usure professionnelle, préparer les réorganisations… D’autres pas du tout. Dans les deux cas, avoir des critères et des indicateurs est une aide à la définition des objectifs et des mesures à prendre pour une politique de SQVT, sa négociation, sa diffusion et son dialogue, sa mise en œuvre, son suivi, son bilan. Voir plus ici
Un peu moins de deux ans après l’ANI sur la qualité de vie au travail, les accords d’entreprises signés ne sont pas forcément un signe d’activisme sur le sujet. Des espaces de parole se font néanmoins jour sur le sujet.
Pour améliorer l’état de santé du salarié et éviter ainsi ses absences,l'opérateur Chèque Santé lance le 1er titre prépayé dédié aux prestations de santé. Financé par l’entreprise, le CE ou la collectivité, il est destiné aux salariés, agents ou bénéficiaires de ressources sociales.
La période des congés d’été tout juste entrée dans le passé, toute l’équipe éditoriale de laqvt.fr souhaite qu’elle vous ait été profitable pour une rentrée sous le signe de la Qualité de Vie au Travail (QVT) pour vous et vos proches. Nous vous proposons trois conseils pour concrétiser les bonnes résolutions de cette rentrée en matière de QVT.
Les risques psychosociaux au travail peuvent affecter la santé physique et mentale des salariés. Afin d'étudier cette question, une enquête Santé et itinéraire professionnel, publiée en avril 2014, permet de dresser une typologie des salariés selon les facteurs de risques auxquels ils sont ou non exposés.
De nombreuses enquêtes sur la qualité de vie au travail (QVT), le stress au travail, les RPS etc. mettent en lumière l'importance de la reconnaissance attendue par les individus au travail. La dernière en date, le baromètre santé et bien-être au travail 2013 de Malakoff Médéric montre que c'est l'attente numéro 1 : 36 % des personnes interrogées expriment des attentes sur le sujet
Améliorer la qualité de vie au travail en investissant sur des outils matériels est une tendance forte pour développer l'attractivité de l'entreprise et améliorer sa performance. Pour en tirer tous les bénéfices, le manager doit faire évoluer ses pratiques et ses postures.
Quelques mois après la feuille de route issue de la conférence sociale, avec ses objectifs en santé au travail, où en est-on ? Si la réflexion sur la gouvernance fait discrètement son chemin, tout comme l'évaluation des CHSCT, le plan santé au travail et la mise en œuvre de l'accord sur la qualité de vie, sont nettement moins avancés.
L'Anact vient de signer son contrat d'objectifs et de performance. Elle devra se recentrer sur les conditions de travail et se réorganiser pour gagner en lisibilité, notamment concernant son réseau des 26 associations régionales.
Groupes de paroles pour les salariés, formations sur les gestes et les postures, consultations d'osthéopathie, médiateur externe... Depuis 2006, l’hôpital de Fourvière spécialisé en gérontologie se sensibilise aux questions de bien-être et de qualité de vie au travail.
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