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Les jeunes sont plus vulnérables que leurs aînés aux accidents du travail, souligne Stéphanie Boini, responsable d'études à l'Institut national de recherche et de sécurité (INRS) en France, à l'occasion de la journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail samedi.
L'Institut national de recherche et de sécurité (INRS) a enrichi de 144 références le catalogue de substances chimiques de son outil Mixie qui en contenait 118. De nouvelles classes d'effets toxiques ont aussi été ajoutées au 32 existantes pour mieux identifier les perturbateurs endocriniens ou les sensibilisants notamment.
L’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) rappelle qu’ « au-delà de 30°C pour une activité sédentaire, et 28°C pour un travail nécessitant une activité physique, la chaleur peut constituer un risque pour les salariés. »
L’Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) a fait réaliser par l’institut Viavoice une enquête sur les petites entreprises (moins de 50 salariés, représentant aujourd’hui 98 % des entreprises relevant du régime général de la Sécurité Sociale) et les risques professionnels.
En 2010, une étude internationale sur le « Calcul du rendement de la prévention pour les Entreprises au plan international : coûts et avantages des investissements dans la sécurité et la santé au travail » a été lancée sous l’égide de l’Association Internationale de la Sécurité Sociale (AISS), en partenariat avec l’Assurance sociale allemande des accidents de travail et maladies professionnelles (DGUV) et la Caisse d’assurance contre les accidents professionnels dans les secteurs de l’énergie, du textile, de l’électricité et des produits des médias (BG ETEM). Article d'origine : ici
De nombreux salariés passent une grande partie de la journée au volant de leur véhicule dans le cadre des missions qu'ils effectuent pour leur entreprise. Ils sont, du fait de leur activité, exposés au risque routier. Pour les sensibiliser sur ce risque, l’INRS propose quatre animations vidéo, et une série d’affiches.
Conscients des enjeux relatifs à la prévention des risques professionnels, et en particulier à ceux liés à l’exposition aux fibres d’amiante, la DGT, l’OPPBTP et l’INRS signent une convention de partenariat permettant la réalisation du projet nommé « CARTO Amiante ».
Cet appareil conçu par l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) diagnostique et quantifie la fatigue auditive avant qu’une perte de l’audition s’installe.
Comme chaque année le Bureau International du Travail organise le 28 avril la Journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail, qui a pour thème en 2014 « l’utilisation des produits chimiques au travail : quelle politique de prévention ? ». A cette occasion, l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) organise une rencontre-débats.
En complément des mesures de protection collectives, l’usage de protecteurs individuels contre le bruit (PICB) est un moyen largement répandu dans les entreprises pour réduire les risques liés au bruit. Or, la protection réelle offerte par ces équipements est souvent surestimée. L’INRS propose aujourd’hui une méthode et des outils pour estimer le niveau sonore réellement perçu par les salariés portant des protecteurs antibruit.
Le formaldéhyde, appelé aussi aldéhyde formique, a des utilisations très variées. Il peut être également émis par une activité ou un procédé et donner lieu ainsi à des expositions dans de nombreux secteurs d’activités. Or, c’est une substance dangereuse pour la santé. Produisant des effets irritants voire corrosifs, elle peut être à l’origine d’allergies cutanées ou respiratoires. Cette substance devrait être classée comme cancérogène avéré par l’Union européenne à partir de 2015.
Selon une étude de l'Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), la prévention des risques professionnels est pour beaucoup dans la baisse enregistrée en 2012 pour les accidents du travail nécessitant un arrêt.
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L'Institut national de recherche et de sécurité (INRS) a réalisé une étude épidémiologique auprès d'élèves et d'apprentis de moins de 25 ans, durant 5 ans et dans 7 régions de France. Résultat : les jeunes formés en santé et sécurité au travail pendant leur scolarité ont deux fois moins d'accidents du travail que les autres.
L’INRS révèle (1) dans une étude de la Dares (ministère du travail) qu’à profession identique, les salariés ayant eu des carrières précaires – caractérisées par un déclassement, des périodes de chômage de longue durée ou des changements d’emploi assez fréquents – sont plus exposés aux risques psychosociaux que ceux qui ont bénéficié de carrières stables.
En s'appuyant dans un premier temps sur une analyse des évolutions majeures de la production et de l'organisation du travail sur la période 1990-2015, l'INRS a réalisé un véritable exercice de prospective sur les activités productives en France des 25 prochaines années. Avec pour finalité d'identifier et d'anticiper les risques auxquels le travailleur de demain pourrait être confronté. Cet article est le premier d'une série de trois articles.
Fin avril, l'Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) a publié deux nouvelles fiches d'aide au repérage (FAR) des produits cancérogènes. Elles concernent l'imagerie médicale et la réparation de carrosseries. Quatre-vingt-neuf fiches sont désormais disponibles, dont vingt-neuf ont été actualisées.
Alors que l'Assurance maladie a rendu public des résultats, en baisse, du nombre d'accidents du travail et de maladies professionnelles au cours de l'année 2013, une évaluation de l'INRS révèle que le nombre de cancers professionnels est en réalité 3 fois supérieur à ceux reconnus par la sécurité sociale.
Repérer les nanomatériaux manufacturés manipulés en entreprise fait partie des missions des préventeurs de terrain. C'est pourquoi l'Institut national de recherche et de sécurité (INRS) a publié fin juillet un guide d'accompagnement pour "identifier des opérations potentiellement exposantes aux nanomatériaux". En effet, les nano peuvent être présents dans des matériaux et produits présentant des propriétés innovantes sous forme de poudre, suspension liquide, gel et également dans des matériaux pulvérulents.
Cette brochure s'adresse à tous les préventeurs de terrain qui sont amenés à identifier des opérations potentiellement exposantes aux nanomatériaux en entreprise. Cette aide au repérage des nanomatériaux manufacturés manipulés en entreprise et à la prise en compte des risques associés vise plus précisément à renseigner les nanomatériaux qui sont fabriqués ou utilisés dans une dizaine de secteurs d'activité. Article d'origine : ici
Interview de Didier Baptiste, directeur scientifique de l'Institut national de recherche en santé et sécurité au travail (INRS), en charge de la politique de recherche de l'institut qui regroupe 600 personnes dont 300 chercheurs et techniciens à Nancy.
Comme en témoignent le lancement de la campagne de l'Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail et la parution du nouveau film d'animation « Napo dans... Le stress au travail » (DV 401), les risques psychosociaux constituent aujourd'hui une problématique majeure en santé au travail. L'évaluation des risques constitue un incontournable de la démarche de prévention. Elle conditionne pour partie son succès. Si cette étape s'avère cruciale, elle se révèle parfois compliquée à mettre en œuvre notamment lorsque le climat de l'entreprise est déjà dégradé. Les explications de Sandrine Guyot, pilote de la thématique « risques psychosociaux » à l'INRS.
L’INRS publie une nouvelle brochure intitulée « Conception des déchèteries. Intégration de la santé et de la sécurité du travail » (de référence ED 6143). Elle traite des connaissances générales sur le domaine et des mesures à prévoir le plus en amont possible, dès la conception même des lieux et équipements de travail d’une déchèterie. Elle est destinée aux maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre, aux collectivités territoriales, aux exploitants de déchèteries
Le 25 mars à Bonn (Allemagne), EUROGIP et l'INRS pour la France, la KAN pour l'Allemagne ont signé une déclaration commune pour réaffirmer, dans un contexte de plus en plus tourné à l'international, des positions qu'ils partagent sur des sujets d'actualité en normalisation relative à la santé-sécurité au travail et confirmer leur “excellente coopération”.
La base de données « solvants » développée par l’INRS rassemble toutes les informations nécessaires à la prévention des risques liés à l’utilisation des solvants organiques. Elle vient de connaître une refonte importante. Les modalités de recherche ont notamment été modifiées pour permettre aux utilisateurs d’explorer avec plus de finesse toute la richesse des données proposées.
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Ce qu’on a aussi vu, c’est que finalement il est important d’avoir un enseignement (à l’école) pas complètement ciblé sur le métier, puisque les jeunes ne vont pas forcément faire celui qui correspond au diplôme préparé. Une approche un peu généraliste permet de savoir comment réagir dans différentes situations. »