L’OIT demande au Qatar de réformer sa législation afin de mettre un terme au travail forcé et de permettre aux travailleurs et travailleuses de former des syndicats.
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Les principales conclusions adoptées par le Conseil d’administration de l’OIT à Genève, la semaine dernière, sont les suivantes :
• Le soutien à la réclamation adressée par la CSI et l’Internationale des travailleurs du bâtiment et du bois (IBB) concernant le droit des travailleurs/euses migrants d’adhérer à un syndicat et de négocier collectivement au Qatar. Le Comité de la liberté syndicale tripartite de l’OIT ne laisse subsister aucun doute à l’égard des violations par le Qatar des normes fondamentales du travail, que tous les États membres de l’OIT sont tenus de respecter et d’appliquer ; et
• Les critiques sévères à l’égard de la question du travail forcé, fondées sur les conclusions d’un comité composé de trois personnes, à savoir un membre gouvernemental de Chine, un membre employeur des EAU et d’une membre travailleuse du Népal.
• Le Qatar doit faire rapport à l’OIT d’ici novembre 2014 sur les progrès réalisés concernant la réforme de la législation du travail.
Pour lire le rapport de l’OIT sur la liberté syndicale au Qatar
Pour lire le rapport de l’OIT sur le travail forcé au Qatar