Les principales technologies de nettoyage alternatives au perchloroéthylène ont toutes des inconvénients dont certains sont très significatifs. C'est ce que révèlent les premiers résultats de l'étude menée depuis 2010 par le CTTN-IREN, l'institut de Recherche sur l'Entretien et le Nettoyage.
L'étude, très attendue par les professionnels, s'est intéressée plus particulièrement au D5 (silicones), aux hydrocarbures (appelés KWL ou HCS) et au nettoyage à l'eau. Aucune "technologie miracle" ne s'est distinguée : alors que la production du D5 (Décaméthylcylopentasiloxane) nécessite plusieurs procédés chimiques successifs et requiert une grosse quantité d'énergie, le nettoyage à l'eau apparait comme le procédé le plus écologique de tous mais son efficacité est limitée…