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Dans le cadre du projet Impact’AIR, initié par la Ville de La Rochelle, en Charente-Maritime, un guide de recommandations visant à améliorer la qualité de l’air vient de paraître. Intitulé « En savoir plus pour agir », il se destine aux usagers des écoles maternelles et élémentaires. Explications avec Béatrice Cormerais, ingénieure santé environnement à la Direction Santé Publique de La Rochelle.
L'Agence nationale de sécurité sanitaire reconnaît la réalité des symptômes des électro-hypersensibles et plaide pour leur prise en charge adaptée par le système de soins. Toutefois, le rôle des ondes n'est pas prouvé.
Ils sont partout ! En nous ! Dans l’air, dans l’eau et dans nos aliments ! Zoom cette semaine dans ce 19ème numéro de Graines de Savoirs sur les perturbateurs endocriniens. Des milliers de substances perturbatrices…
Les enfants passent plus de 80% de leur temps à l’intérieur de bâtiments, de mieux en mieux isolés... Malheureusement, l’air ambiant qu’ils y respirent est contaminé par de nombreux polluants chimiques émanant des matériaux de construction, du mobilier, des produits d’entretien, des gaz d’échappement, …
Des sénateurs se sont penchés sur les risques liés aux perturbateurs endocriniens. Ils prônent la mise en place d’un plan d’action pour les limiter. Mais quels sont réellement les dangers ? Réponse avec Alfred Bernard, toxicologue à l’UCL.
La semaine passée notre association assistait à un comité de pilotage au ministère de la Santé concernant deux études nationales portant sur les riverains exposés aux pesticides.
Une mission interministérielle d'évaluation de la stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens (SNPE) a été réalisée par les inspections générales du ministère de la transition écologique et solidaire, des solidarités et de la santé, de l'agriculture et de l'alimentation.
Le SCCS (Comité Scientifique de la Sécurité des Consommateurs), comité rattaché à la Commission européenne, a rendu cette semaine un avis sur la présence de dioxyde de titane (nano) utilisée comme filtre UV dans des sprays. Cet avis intervient alors qu’en France des acteurs tels que la DGCCRF et l’UFC Que Choisir dénoncent un non-respect de l’obligation d’étiquetage des nanoparticules dans des aliments et cosmétiques.
Le 15 janvier, 7 nouvelles substances ont fait leur entrée sur la liste candidate du règlement REACH, celle qui identifie des substances à classer comme "extrêmement préoccupantes" en vertu de leur dangerosité. Parmi elles, le bisphénol A. Ces substances, lorsqu’elles sont présentes dans des articles en concentration supérieure à 0,1% sont soumises à un droit d’information du consommateur. Les importateurs et producteurs de la substance doivent se signaler à l’ECHA (Agence européenne des produits chimiques) dans les 6 mois suivants l’inclusion de la substance sur la liste candidate.
Le Endocrine Disruption Exchange (TEDX en anglais) a publié récemment une fiche d’une page qui fait le point sur les perturbateurs endocriniens. WECF France a participé à la relecture de la version française de cette fiche, qui mentionne notamment le travail de la EDC-Free Europe coalition dont nous sommes membres.
Pour les spécialistes de la relation entre l’enseignement, la formation et l’apprentissage, de Brousseau à Altet, de Lieury à Houdé, la réussite scolaire est affaire de situations, d’environnement d’apprentissage (milieu didactique) et de métacapacités à gérer les interactions en classes pour les pédagogues ou encore de mémoire de connaissances ou de capacité du cerveau à inhiber les automatismes de pensée pour permettre de réfléchir, de résoudre des problèmes, apprendre et répondre au contrat didactique imposé par le système éducatif pour les psychologues cognitivistes.
Le syndicat National de la Maintenance et des Services en Efficacité Energétique a réalisé une infographie sur l’état de la qualité de l’air à l’intérieur des logements. (...)
Via Build Green
Acariens, champignons, bactéries, insectes… De nombreux micro-organismes prolifèrent dans nos maisons et peuvent notamment provoquer des problèmes respiratoires. Certains matériaux comme le bois peuvent constituer un milieu propice à leur développement...
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Une étude redessine la carte des responsabilités dans la pollution de l’air urbain. La moitié serait liée à des produits de consommation courante : cosmétiques, colles, peintures et encres d’imprimantes ou encore agents nettoyants.
On trouve des nanoparticules, potentiellement nocives sur la santé, dissimulées dans des aliments et des produits cosmétiques courants.
La qualité de l’air est jugée préoccupante dans 60% des écoles primaires en Belgique. C’est ce qu’il ressort d’une étude menée notamment par Greenpeace. Greenpeace a mené une enquête basée sur la participation de 222 écoles à travers le pays (une trentaine à Bruxelles). Dans près de 60 % des écoles, la concentration en dioxyde d’azote est excessive.
Présents dans les cosmétiques, dans les aliments, dans l’air que nous respirons ou dans le matelas sur lequel nous dormons... Vous ne les voyez pas, et pourtant les perturbateurs endocriniens sont partout.
6 minutes pour découvrir les astuces qui vous permettent facilement et efficacement de réduire la propagation des polluants.
Sous l’intitulé « Entre obligations réglementaires et opportunités de démarches de promotion de la santé », cette journée a été l’occasion de détailler les raisons de santé publique conduisant au dispositif réglementaire, les différentes dispositions réglementaires en vigueur en matière de qualité de l’air intérieur et de donner la parole à plusieurs intervenants afin d’évoquer les leviers existants pour la préserver.
La réglementation existante sur les nanoparticules est claire : en cas de présence de nanoparticules (inférieures à une certaine taille), un étiquetage doit préciser [nano] sur la liste des ingrédients, qu’il s’agisse de produits alimentaires ou de cosmétiques. En France, la DGCCRF (Direction Générale de la Consommation, de la Concurrence et de la Répression des Fraudes) a publié ce 24 janvier des données qui montrent qu’un nombre important de produits cosmétiques et alimentaires ne respectent pas la réglementation.
Comprendre l’air qui nous entoure, connaître les bons gestes du quotidien pour lutter contre la pollution de l’air intérieur : le nouveau guide pratique de l’Association Qualitel, « Comment réduire la pollution de l’air intérieur ? Bien dans son logement : des conseils pour améliorer la qualité de vie chez soi », vient de sortir.
L'association Robin des bois a mis en ligne le 10 janvier l'intégralité des diagnostics de pollution des établissements scolaires français en sa possession. L'inventaire comprend 1.051 diagnostics. Près de 61% des établissements posent problème : 8,3% présentent une pollution qui nécessite la mise en œuvre de mesures techniques ou sanitaires de gestion, 52,7% nécessitent une action en cas d'aménagement ou de modification des usages des lieux.
Le Département de la santé de Californie vient de reconnaître officiellement les risques pour la santé des téléphones mobiles et adresse à la population une série de recommandations pour se protéger contre les ondes de radiofréquences.
Les Académies des sciences, de médecine, de pharmacie et d’agriculture, appellent la Commission européenne à « trancher » sur les critères de définition des perturbateurs endocriniens en reconnaissant notamment la validité des études toxicologiques sur l’animal au niveau réglementaire.
Via PRC – CNRS
L’Anses mobilisée depuis de nombreuses années pour évaluer les risques liés à la pollution de l’air intérieur
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