Dans le monde entier, de plus en plus de mercure est émis dans l’atmosphère, mais c’est en Arctique que le risque de dépôt est le plus élevé. Lors d’une campagne de mesures de la Nasa, une équipe a découvert que lorsque la banquise se craquelle, le mercure atmosphérique est pompé jusqu’en surface, où des réactions chimiques favorisent son dépôt sur le sol. Constat déroutant car toute la chaîne alimentaire pourrait en subir les conséquences.
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Via Build Green