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Alors qu\'une vague de chaleur surnommée « Lucifer » par la presse s\'est abattue sur l\'Europe du Sud, une nouvelle étude soutenue en partie par deux projets financés par l\'UE attire l\'attention sur le fait qu\'une augmentation de la température mondiale de trois degrés anéantirait les efforts européens visant à réduire la pollution à l\'ozone.
Un modèle énergétique décarboné est « techniquement et économiquement possible », selon les industriels et les organisations environnementales de l’ETC.
Via Hubert MESSMER
Un accord a minima et à la carte a été finalisé vendredi entre le gouvernement fédéral canadien et les provinces pour réduire les émissions de gaz à effet de serre afin de respecter la ratification de l'accord de Paris sur le climat.
C’est une victoire significative dans la lutte contre le réchauffement climatique. Les 197 Parties au Protocole de Montréal réunies à Kigali, au Rwanda, ont conclu ce week-end un accord pour éliminer progressivement les hydrofluorocarbures (HFC), au pouvoir extrêmement réchauffant. De bon augure à quelques semaines de la COP22.
La communauté internationale semblait se diriger vendredi à Kigali vers un accord pour l'élimination progressive des hydrofluorocarbures (HFC), ces gaz utilisés dans les réfrigérateurs et autres climatiseurs et qui se sont révélés extrêmement nocifs pour le climat.
Alors que Berlin a ratifié l’Accord de Paris, tous les indicateurs climatiques du pays sont au rouge : le charbon reste prédominant dans le mix énergétique, les baisses d'émissions de CO2 secteur par secteur sont encore insuffisantes et le plan national pour le climat manque d'ambition. En l’état, l’Allemagne ne peut pas atteindre ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pire, elles sont en train d'augmenter. Analyse.
La Commission européenne a dévoilé ses propositions pour répartir l'effort de réduction des émissions de gaz à effet de serre dans l'UE d'ici 2030.
A trois semaines de la conférence de Paris sur le climat, l'ONU lance vendredi un nouvel avertissement: bien que "sans précédent", les promesses de réduction des gaz à effet de serre faites par les Etats sont encore "loin d'être suffisantes" pour contenir le réchauffement à +2°C.
La commission d'enquête du Sénat, qui a évalué mercredi globalement à 101,3 milliards d'euros le coût annuel de la pollution de l'air, a fait 61 propositions pour lutter contre ce fléau. En voici un florilège:
Les émissions de gaz à effet de serre de la Chine vont probablement atteindre leur pic en 2025, cinq ans avant l'objectif annoncé par Pékin, selon des chercheurs de la London School of Economics. Une performance indispensable pour éviter un réchauffement mondial de plus de 2°C par rapport aux niveaux pré-industriels.
Les objectifs affichés par les Etats pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) ne s'accordent guère avec leur comportement....
En vue d'un accord multilatéral fin 2015, Moscou s'est fixé mardi un objectif de réduction de 25 à 30% de ses émissions de gaz à effet de serre entre 1990 et 2030. Washington a confirmé s'engager sur une baisse de de 26% à 28% entre 2005 et 2025.
Les entreprises chinoises se sentent de plus en plus concernées par la lutte contre le changement climatique et le rôle qu’elles y jouent. C’est ce que l’on peut déduire de la dernière étude du CDP, qui vient de publier les réponses à son questionnaire sur les émissions de CO2 pour la Chine. Une prise de conscience en rupture avec les années de croissance folle, qui ont vu le pays devenir le premier émetteur de dioxyde de carbone.
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Le leadership climatique, abandonné par l'administration américaine, est de plus en plus endossé par la Chine qui se cherche un allié auprès de l’Union européenne. Mais, vendredi 2 juin, alors qu’une déclaration commune UE-Chine sur le climat était attendue, Pékin a fait passer ses intérêts commerciaux au premier plan.
La flambée depuis dix ans des émissions de méthane, un gaz à effet de serre plus nocif pour le climat que le CO2, risque de compromettre la lutte contre le réchauffement, mettent en garde lundi des experts.
Via Hubert MESSMER
Le Canada, l'Australie et le Japon comptent parmi les "très mauvais" élèves de l'action climatique, selon un rapport annuel qui évalue les politiques de 58 pays et salue cette année les actions de la France et du Maroc.
Ce Climate change performance index, publié mercredi en marge de la COP de Marrakech, "confirme le décollage des énergies renouvelables et les développements positifs dans le domaine de l'efficacité énergétique", indiquent Germanwatch et le Climate Action Network (CAN), organisations qui ont coordonné les travaux. Mais "si ces tendances encourageantes ont lieu à l'échelle mondiale, la nécessaire transition énergétique est trop lente", soulignent-elles, à l'occasion de la conférence climat de l'ONU, qui vise à permettre la mise en oeuvre de l'accord de Paris contre le réchauffement.
Via Hubert MESSMER
197 Etat sont d’accord pour mettre fin d’ici à 2050 aux hydrofluorocarbures, principalement utilisés comme réfrigérants, dans les climatiseurs et les réfrigérateurs.
Via Hubert MESSMER
Étape majeure dans la lutte contre le réchauffement climatique : près de 200 pays réunis au Rwanda ont approuvé samedi à Kigali un accord de réduction des gaz hydrofluorocarbures (HFC), extrêmement polluants pour la planète.
Via Hubert MESSMER
Après des années d'atermoiements, le transport aérien engage à Montréal une négociation pour mettre en place un mécanisme de régulation de ses émissions.
En finir avec la croissance pour construire un monde plus juste, plus solidaire et plus respectueux de l’environnement. Voilà à quoi peut conduire la transition énergétique et écologique, selon Jean Gadrey. L’économiste y voit une opportunité et non une régression sociale et économique décriée par certains. Militant associatif, notamment au sein d’Attac, c’est sous ce prisme qu’il regarde la COP21. Un évènement dont il n’attend pas grand-chose si ce n’est une forte mobilisation de la société civile. Entretien.
Les objectifs de réduction des gaz à effet de serre annoncés jusqu'à présent au niveau mondial aboutiraient à un réchauffement climatique "bien supérieur à 2 degrés", limite fixée par l'ONU, selon une étude publiée mercredi à Bonn.
À l’issue du sommet du G7, qui s’est tenu les 7 et 8 juin en Allemagne, les membres des sept pays les plus industrialisés du monde ont annoncé par la voix de la chancelière allemande, Angela Merkel, la décarbonisation complète de l’économie mondiale "au cours de ce siècle". Avec deux objectifs précis : une réduction des émissions de 40 à 70% et la transformation du secteur de l’énergie d’ici 2050. Mais la question du financement climatique reste entière.
Le Maroc a annoncé qu’il réduirait de 13 % ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 par rapport à 2010. Après le Gabon, c’est le deuxième pays africain à apporter sa contribution en vue de la conférence de Paris sur le climat en décembre.
Le gouvernement japonais a approuvé mardi un plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 26% entre 2013 et 2030, un objectif qui sera présenté en fin de semaine par le Premier ministre Abe durant le sommet du G7 en Allemagne.
Les Etats-Unis se sont engagés mardi sur une réduction de 26% à 28% de leurs émissions de gaz à effet de serre d'ici 2025 (par rapport à 2005) à huit mois de la conférence climat de Paris qui vise à conclure un accord mondial.
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