Leur responsabilité a largement été reconnue dans la crise financière de 2008. Les agences de notation sont-elles sur le point de reproduire les mêmes erreurs en minimisant les risques liés au réchauffement climatique ? C’est la question que se posent les experts du CIEL (Center for international environmental law) dans un rapport publié mercredi 24 juin. De leur côté, Standard & Poor’s et Moody’s multiplient les signaux pour montrer qu’elles sont conscientes des enjeux liés au réchauffement global.