WEARABLES - INSIDABLES - IOT - CONNECTED DEVICES - QUANTIFIEDSELF
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Le marché des objets connectés décolle si l’on en juge par le bond des offres d’emplois  #esante #hcsmeufr 

From www.channelnews.fr

Sur les neuf premiers mois de 2017, le nombre d’offres concernant les objets connectés a été multiplié par 15 par rapport à la même période en 2014. La plupart des offres concerne des emplois de développeur, de consultant, de chef de projet ou d’ingénieur. « Le large éventail de profils recherchés s’explique par le fait qu’un objet connecté est en lui-même un concentré de savoir-faire très différents : l’appareil doit en effet être clairement identifiable sur le réseau, interactif, ergonomique, bien sécurisé ou encore autonome. D’où la nécessité d’avoir recours à des designers ou ergonomes, des experts en sécurité informatique, des ingénieurs en systèmes embarqués ou des architectes réseaux ».

Chez les développeurs, les compétences les plus recherchées concernent les langages Java, Python et C, et dans une moindre mesure .NET et Javascript. Un quart des employeurs exigent par ailleurs une connaissance de la méthode Agile. Les spécialistes du machine learning, des big data, des systèmes embarqués sont également recherchés (10% des offres), de même que les informaticiens familiers des environnements cloud (AWS, Azure) ou de la plateforme Android.
Plus de la moitié des annonces publiées sur Indeed.fr exigent un niveau au moins équivalent à la licence précise le Lab. Tous niveaux confondus, le salaire médian brut proposé est de 40.000 euros.

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Des chaussettes connectées pour les diabétiques

From www.capgeris.com

Améliorer le confort et le bien être tout en préservant du risque d'amputation
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Cancer : ces objets intelligents qui luttent contre la maladie

From www.objetconnecte.net

En France, on détecte plus de 350 000 nouveaux cas de cancer par an. Les objets connectés sont l'avenir de la lutte contre ce fléau.
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Crises d'asthme : Un dispositif connecté pour prévenir les crises chez les asthmatiques - Web des Objets

From webdesobjets.fr

Des chercheurs de l'Université de Caroline du Nord ont mis au point un dispositif capable de prévenir les crises d'asthme : Health and Environmental Tracker
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La relation médecin-patient à l'ère des objets connectés

From www.strategie.gouv.fr

Les avancées numériques et les transformations sociales résultantes ou motrices de ces innovations suscitent enthousiasme, débats et controverses, tant sur leur portée que sur les opportunités ou les...

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Zembro, un bracelet connecté pour les seniors actifs

From www.silvereco.fr

Zembro est un bracelet intelligent et design pensé notamment pour les personnes âgées vivant à leur domicile.

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CES 2016 : Sen.se lance « Silver Mother » pour connecter les seniors

From www.silvereco.fr

A l’occasion du CES 2016 qui se tient jusqu'au 9 janvier à Las Vegas, Sen.se présente la Silver Mother, une maman connectée dédiée à la population des seniors....

Silver Mother a pour mission de faciliter le quotidien des seniors en leur permettant de mener une vie indépendante dans leurs propres maisons et en leur garantissant la tranquillité d’esprit.

Les capteurs connectés s’immiscent discrètement dans le quotidien en envoyant des alertes en cas d’oubli de prise de médicaments, de mauvaise hydratation ou encore surveillent les allers et venues dans le domicile.

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Ce que préparent les start-up avec les objets connectés santé

From www.lesechos.fr

Certaines sont déjà connues ou ont réussi à intégrer leurs services chez des prestataires. La petite quinzaine de start-up qui exposaient il...
Romain DEFOY's curator insight, March 25, 2015 5:47 AM

"Certaines sont déjà connues ou ont réussi à intégrer leurs services chez des prestataires. La petite quinzaine de start-up qui exposaient il y a quelques jours à la pépinière d’entreprises parisienne Boucicaut donnent une idée de la diversité des applications des objets connectés dans la santé ou le bien-être. Il leur reste à grandir et à penser sérieusement aux vrais débouchés. Car, en se présentant, aucun de leurs patrons n’a parlé marché en termes économiques... Tour d’horizon rapide"

[SXSW] Le shazam de la santé : un stéthoscope qui reconnaît les respirations | L'Atelier : Accelerating Business

From www.atelier.net

La start-up Eko Devices propose un outil qui détecte les différents rythmes cardiaques par le biais d’un stéthoscope intelligent connecté à un smartphone ou une tablette.
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La gélule connectée e-Celsius de Bodycap remporte un Trophée de l'Embarqué

From www.ticsante.com

Premier site français d’information en continu sur les technologies de l’information et de la communication (TIC, NTIC) dans la santé - TIC santé
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Ustraap: le bracelet qui veut remplacer le chien d'aveugle

From lesclesdedemain.lemonde.fr

Les wearables s'imposent petit à petit sur le marché des objets à destination des personnes handicapées. Après la chaussure connectée ou encore l'imprimante 3D qui «&nbspsculpte » les photos, voilà le bracelet qui permet aux aveugles de mieux appréhender leur environnement. L'Ustraap, imaginé par la start-up mexicaine éponyme, est capable de détecter les obstacles mais aussi de déterminer leur taille, leur nombre, leur densité et leur mobilité, pour offrir aux personnes aveugles ou mal-voyantes une expérience sensorielle à 360 degrés. Equipé de plusieurs capteurs, le bracelet «&nbspcommunique » avec son utilisateur à l'aide de vibrations.Passée par l'accélérateur de Boston MassChallenge, la jeune pousse a reçu le mois dernier 50 000 dollars de financement pour pouvoir commercialiser son bracelet. L'Ustraap est actuellement ouvert aux précommandes et devrait être disponible en avril prochain pour 349 dollars. Crédit Photo : Ustraap
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Umanlife / iHealth : une même vision de la e-santé

From buzz-esante.com

Aujourd'hui, la e-santé est en pleine évolution avec notamment l'émergence des objets connectés. Deux acteurs importants, Alexandre Plé fondateur de Umanlife et Uwe Diegel fondateur de iHealth, ont...
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Intel s'associe à Michael J. Fox pour mieux soigner la maladie de Parkinson grâce aux objets connectés

From www.usine-digitale.fr

Intel s'associe à la fondation Michael J. Fox pour lutter plus efficacement contre la maladie de Parkinson à l'aide des nouvelles technologies. Le géant du silicium mettra à profit son expertise dans l'analyse des big data pour collecter des informations en masse auprès des patients grâce aux objets connectés et en apprendre davantage sur la maladie, ses symptomes, et sa progression dans le temps.
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Santé connectée : entre fascination et inquiétudes

From france.euroclinix.net

Gérer ses informations médicales à travers des applications est une pratique de plus en plus courante. A cet effet, l'exploitation et la sécurisation de ces données donnent matière à réflexion. Beaucoup d'utilisateurs se posent en effet la question, où iront toutes ces données ? Existe-t-il un cadre légal pour protéger ces informations à caractère personnel ?

Dans son deuxième Cahier Innovations et Prospectives sur le thème « le corps connecté », la CNIL (Commission nationale de l'informatique et des libertés) a révélé que "Le marché de la santé sur mobile (m-santé) devrait représenter 26 milliards de dollars à l'horizon 2017 et concerner près de 1,7 milliard d'utilisateurs et 500 millions d'utilisateurs de Smartphones et de tablettes utiliseront des applications mobiles liées à la santé en 2015 ». L'engouement des utilisateurs pour les applications santé est de plus en plus important, face à cette situation, les acteurs économiques y ont vite exploité le précieux filon. Voilà quelques semaines que les géants américains et sud-coréens, Google, Apple et Samsung, ont respectivement lancé leurs plateformes e-santé : SAMI, HealthKit, Google Fit. Ces bases de données uniques via des applications mobiles permettent de stocker toutes les informations des utilisateurs à travers des objets connectés comme le bracelet Jawbone ou le bracelet Nike Fuelband. À travers les capteurs sur ces objets, toutes les données des utilisateurs seront récupérées et possiblement traitées par ces grands acteurs du marché.

Des astuces pour se protéger

Les données de santé récoltées se divisent en deux parties. D'une part les données sur les soins, elles concernent essentiellement les résultats d'examens médicaux, les ordonnances, le taux de sucre, etc. D'autre part, les données liées à la santé et au bien-être comme l'IMC, la température, les calories brûlées, les pulsations...Si l'objectif de la e-santé est d'offrir un meilleur suivi, notamment en termes de prévention, la question de confidentialité et l'éventuelle exploitation des données personnelles restent pourtant sans réponse. Par ailleurs, les pirates informatiques risquent également de récupérer ces informations personnelles à des objectifs malveillants.

Dès son inscription, il convient d'être particulièrement vigilant en suivant ces quelques conseils:

Bien vérifier le contrat concernant la clause de confidentialité sur les données personnelles pendant le contrat et à la fin du contratSoyez sélectif lorsque vous partagez vos données (pour limiter l’accès, accédez aux paramètres de sécurité)Lorsque vous utilisez une application ou un objet connecté dans un but médical, n'hésitez pas à vous renseigner sur l’utilisation qui sera faite de vos informations

Source :

Infographie : E-réputation et partage des données santé sur internet

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Kolibree contre Procter et Gamble : la bataille de la brosse à dent connectée

From frenchweb.fr

L’affaire de la brosse à dent la plus innovante semble déjà médiatisée. A commencer lors du CES de Las Vegas en janvier dernier, quand la startup française Kolibree a présenté en avant-première un prototype de brosse à dent connectée en bluetooth, et reliée à une application mobile. Lors du dernier Mobile Word Congress de Barcelone, c’est une autre brosse à dent « intelligente », l’Oral-B de Procter & Gamble, qui a été révélée au public

Romain DEFOY's curator insight, March 11, 2014 1:01 PM

Pour contrer le géant Procter, qui regarde de près les avancées du petit Français, le petit Kolibree compte faire valoir ses différences :

La forme du produit, un enfant pouvant tenir en main le produit.Le prix: entre 100 et 200 dollars pour la brosse à dent française, contre 219 dollars pour l’Oral-BLa technologie de brossage : Kolibree a été pensée pour émettre le moins de son possible, avec une technologie « sonique », à l’inverse de la technologie oscillo-rotative chère à Procter.L’ouverture de l’application, Kolibree mise sur l’open source, et va ouvrir son API. Oral-B ne fonctionne pas sur ce modèle d’appli ouverte.La connexion en Bluetooth 3.0, compatible avec d’autres terminaux bluetooth, contre la norme Bluetooth 4.0 pour Oral-BLes types de capteurs: les deux brosses à dent  n’utilisent pas les mêmes. Pour l’Oral-B, il s’agit d’ un senseur de pression, le modèle Kolibree est lui équipé d’un capteur de mouvements qui donne des informations en temps réel sur l’orientation de l’appareil dans la bouche.

Objets connectés : un monde où chacun se mesure pour Decathlon

From www.larevuedudigital.com

La société Oxylane, maison mère de Decathlon, multiplie les objets connectés permettant d’établir un lien direct avec ses clients. Les performances sportives sont mesurées, historisées et partagées.  C’est ce qu’a présenté le responsable de la recherche sur la scène des Techdays. 

Les objets connectés, c’est un monde où chacun se mesure en permanence, et se compare aux autres et à soi-même au fil du temps. C’est ce qu’a revendiqué Arnaud Durand, responsable recherche et développement chez Oxylane (société propriétaire de la marque Decathlon), lorsqu’il a pris la parole sur la scène des Techdays de Microsoft, le 13 février.

Un lien direct avec le client  

Cet ensemble d’objectifs renforce désormais le lien direct avec le client pour Oxylane, dans la ligne droite de ce qu’a réalisé Nike avec son bracelet « fuel band », même si cela passe par le développement de logiciels de plus en plus puissants qui entraînent la société loin de ses missions originelles : commercialiser des fournitures de sport. 

« Est-ce que l’objectif n’est pas de conserver toutes ses données sportives toute sa vie ? » a demandé Arnaud Durand avec énergie à son arrivée face à l’amphithéâtre du palais des congrès de la Porte Maillot, où se trouvaient environ deux mille personnes.  La réponse de la salle a été plutôt molle, mais Arnaud Durand  a su capter l’attention du public.

Une panoplie d’objets connectés

Il a présenté un ensemble de capteurs et d’objets connectés proposés par Decathlon, depuis des produits lancés en Juin et le petit dernier, une caméra 360° présentée pour la première fois lors du CES (Consumer Electronic show) de Las Vegas de Janvier 2014.

Il s’agit d’une caméra de prise de vue à 360°, baptisée Geonaute 360, qui permet de filmer l’endroit où l’on se trouve de façon immersive lors de la réalisation d’une performance sportive. C’est le premier produit totalement développé par Geonaute, la division de recherche d’Oxylane.

La Geonaute intègre 3 caméras qui couvrent la totalité du champ de vision. Elle a été développée avec la société française Giroptic spécialisée dans l’optique. Cela donne trois flux vidéos différents intégrés directement au sein du boîtier, et lisibles sur un ordinateur sans avoir à les combiner soi-même.

Un coach sportif pour la natation

Arnaud Durand a également présenté Nabaiji, un lecteur MP3 et coach d’entraînement pour la natation, étanche et donc utilisable dans l’eau sans modération. La version 2.0 du produit a été proposée en Juin dernier, en intégrant la fonction de coach d’entraînement.

Pour Decathlon, c’est l’occasion d’avoir un lien direct avec ses clients puisque le client s’inscrit sur le site www.swimwith.nabaiji.com afin de remplir son profil, et utiliser un logiciel spécifique, Onconnect, qui est employé sur d’autres produits comme Geonaute ou l’Arttengo Personal Coach, qui est un coach de tennis personnalisé fonctionnant en conjonction avec une montre connectée, également proposée par Oxylane.

Un entraînement personnalisé 

Le lecteur Nabaiji permet de définir son propre entraînement personnalisé. On dispose de différents programmes de coaching.  Les programmes permettent de brûler des calories et de perdre du poid, de nager toujours plus loin à chaque séance.  L’avantage est que des programmes complémentaires sont ajoutés par Decathlon au fur et à mesure.

Une fois dans la piscine, on sélectionne sur le lecteur Nabaiji la longueur de la piscine et on l’insére derrière l’élastique de ses lunettes. Puis on clique sur le bouton pour lancer sa séance.  Le lecteur donnera les informations vocales sur le temps réalisé via une oreillette, le temps restant, la distance parcourue, la distance restante et les calories consommées. Toutes ces données sont enregistrées et permettent de progresser de séance en séance.

Historique des entraînements 

Dans l’outil Swim With Nabaiji ou via le Web, on consulte l’ensemble de l’historique de ses entraînements. Le site affiche des courbes de progression afin d’analyser ses progrès. On peut partager ses performances sur Facebook et Twitter, et dialoguer avec ses amis. Parmi les autres objets connectés présentés sur la scène des Techdays par Arnaud Durand, on trouve une montre ou un capteur à placer sur sa raquette pour mesurer la vitesse de son coup droit.

Il s’agit de la solution Artengo Personal Coach qui est un capteur se fixant sur n’importe quelle raquette de tennis associée à une montre connectée.  Les informations mesurées sont la nature du coup (coup droit, revers ou service), la qualité de centrage pour chaque coup, la vitesse du service, l’enregistrement des scores.

Renforcer les liens avec ses clients

On peut aussi mesurer le temps de jeu, le compte des points, le pourcentage de premier et de second service, le nombre de revers, de coups droits, etc. La montre communique vers un PC toutes les informations captées pendant un match. L’objectif est là encore d’échanger et de partager ses performances sur les réseaux sociaux, et pour Oxylane de renforcer les liens directs avec ses clients.

Photo, sur la scène des Techdays, la présentation de la caméra Geonaute 360 par Arnaud Durand, responsable recherche et développement chez Oxylane (société propriétaire de la marque Decathlon).

A lire aussi :

Amandine Barrau's curator insight, February 17, 2014 4:20 AM

Oxylane a présenté ses produits lors de la plénière " Les objets connectés ont-ils une âme?" aux #Techdays de Microsoft

5 règles à respecter pour un objet connecté réussi

From blog.myfox.fr

Le succès d’un objet connecté réside-t-il dans son simple usage, parfois attendu, parfois novateur et plein de promesses ? Pas seulement ! Voici les cinq critères qui permettent aujourd’hui à un objet connecté de sortir du lot.

 

Le CES de Las Vegas 2014 a concrétisé l’adage qui veut que demain, tous les objets du quotidien seront connectés. Si bien que l’on peut se demander si, parfois, cela est bien nécessaire : certains objets ont été largement moqués, alors qu’ils trouveront peut-être une large clientèle, au-delà le l’espérance de leurs concepteurs.

L’usage va a priori guider l’achat, puisque l’on imagine difficilement acquérir un produit pour ne pas s’en servir. Au-delà de ce point de départ, cinq critères semblent parfaitement s’associer aux objets connectés qui veulent sortir du lot.

1. Design

On dit souvent que le meilleur vecteur de communication d’un nouveau produit, c’est son design. Un joli produit suffirait à faire parler de lui. A partir du moment où l’objet connecté se situe dans les canons de beauté actuels, aussi bien dans sa forme que dans les matériaux employés, on peut dire qu’il met déjà toutes les chances de son côté.


Le thermostat Nest, la station météo Netatmo ou l’interrupteur Goldee répondent aux canons actuels, ce sont des objets que l’on a envie de montrer, et donc d’acquérir. Etant donné que ces objets vont se multiplier, ils ont forcément intérêt à s’accorder à nos goûts.

2. Simplicité

Un objet connecté doit être simple à mettre en œuvre. Le terme plug&play doit clairement s’imposer. La procédure d’installation et de connexion au réseau (et au cloud) doit s’effectuer de façon quasi-transparente. Revolv a joué la carte de l’effet wow avec le transfert des identifiants réseau du smartphone vers la box domotique via un clignotement de l’écran !


L’usage unique est également une règle : un objet = une fonction. Cela facilitera l’acceptation de ce nouveau monde des objets connectés auprès d’une large clientèle. Sen.se se démarque néanmoins de cette logique avec des capteurs réutilisables pour de multiples fonctions. Malgré tout, Sen.se reste spécialisé dans le domaine des capteurs.

3. Connectivité

Les objets connectés sont destinés à un large public. La manière de connecter l’objet doit être simple et universelle. Il faut pouvoir le connecter soit à Internet, soit à son smartphone pour pouvoir le piloter ou en afficher les données.


Les deux modes de connexions les plus courants sont le WiFi (l’objet communique directement sur Internet à travers la box ADSL) et le Bluetooth (le smartphone se connecte à l’objet). Certains objets communiquent via d’autres protocoles (ZigBee, 6LoWPAN, …), mais disposent au final d’un adaptateur de ce protocole vers du WiFi ou de l’Ethernet, comme les lampes Philips Hue ci-dessus. L’utilisateur n’a donc pas besoin de se soucier de cette spécificité. Ouf.

4. Énergie

Quand on connecte un objet autrefois totalement inerte, on ajoute une contrainte épineuse : celle de la consommation électrique. Certains peuvent se raccorder à une prise de courant, mais dans un soucis pratique évident, la plupart devront demeurer sans fil à brancher en permanence.


La consommation doit être mesurée, on ne doit pas avoir à changer les piles tous les deux mois, sous risque de voir l’objet remisé dans un tiroir à jamais. Pour les objets connectés rechargeables, une bonne semaine d’autonomie est acceptable, c’est le cas des bracelets de suivi d’activité. Pour ceux sur piles, on peut tabler sur une année minimum, c’est ce que l’on trouve pour la plupart des capteurs.

5. Sécurité

Le sujet au centre du débat ces dernières semaines est lié à la sécurité des données transmises par les objets connectés. Ces données sont-elles correctement protégées ? Quelqu’un peut-il les intercepter et apprendre des mes habitudes de vie et nuire à ma sécurité ?


Ce qui est crypté peut être décrypté. La sécurité absolue n’existe pas. Le fabricant de l’objet peut cependant donner des garanties de bonne protection des communications et du stockage des données, c’est incontournable. Il est aussi intéressant de vérifier la possibilité de pouvoir supprimer toutes les données stockées à tout moment, si l’on en sent le besoin.

Bonus : un bon buzz marketing

La pertinence ou l’originalité de certaines campagnes de communication sait mettre en avant un objet plus qu’un autre. Dans certains cas exceptionnels, on pourrait même avoir envie d’un nouvel objet connecté, alors que l’on ne sait pas encore ce que l’on va précisément en faire. Le simple fait de le posséder et de l’exposer peut parfois suffire ! Vous savez sûrement que le disque vinyle revient à la mode ? Il faut savoir que 20% des disques achetés aujourd’hui ne sont jamais écoutés. La possession de l’objet est parfois bien plus forte que son usage.

Et vous, voyez-vous d’autres critères incontournables pour compléter cette liste ?

Amandine Barrau's curator insight, February 7, 2014 3:34 AM

Design, simplicité, connectivité, sécurité et énergie sont les facteurs clés du succès en matière d'objets connectés.

Les objets connectés pourront-ils se recharger à la chaleur du corps ?

From www.mac4ever.com

C'est ce que se propose de faire Perpetua à travers sa technologie TEGwear, un dispositif souple, qui se place à même la peau, ou à travers un vêtement fin et qui convertit la chaleur humaine en énergie pour recharger les appareils liés, bracelets, dispositifs intégrés aux vêtements etc...

Romain DEFOY's curator insight, January 29, 2014 11:50 AM

"La technique est simple, et très voisine de celle utilisée dans les panneaux solaires : la chaleur du corps (ou du soleil) excite les électronsce qui génère un courant faible mais potentiellement illimité "