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Cet article vise à étudier l’évolution de la mortalité par cause en France métropolitaine entre 2000 et 2016. Cet indicateur est utilisé pour qualifier les grandes tendances de l’état de santé de la population (...) En 2016, pour 579 230 décès enregistrés, les effectifs de décès par tumeurs (29,0%) et maladies cardiovasculaires (24,2%) sont prépondérants. La surmortalité masculine, sex-ratio de 1,7, est observée pour la quasi-totalité des causes. (...) Ces résultats généraux mettent en évidence les réussites et les lacunes de certaines évolutions en matière de prévention et de soins.
Via Patrice FACIN
D'ici 2042, le nombre de nouveaux cas de cancers attribuables à un excès de poids passera de 7200 à 21 000 au Canada. L'excès de poids deviendra ainsi la deuxième cause du cancer après le tabagisme, révèle une nouvelle étude menée par la Société canadienne du cancer et publiée aujourd'hui dans Preventive Medicine.
Via ACCURAY FRANCE
Nous ne sommes pas tous égaux face au risque de cancer. En effet, le mode de vie influe nettement sur les facteurs de risque liés à l’hygiène de vie (sédentarité, malbouffe, tabagisme…). Les experts du CIRC de l’OMS à Lyon font le point sur la question.
Via ACCURAY FRANCE
Un article publié récemment dans la prestigieuse revue scientifique The Lancet Public Health fait état d’une augmentation alarmante des taux de cancers chez les jeunes adultes américains, sur la période s’étendant de 1995 à 2014.
Via ACCURAY FRANCE
Un ouvrage de sociologie sur «Les politiques de lutte contre le cancer en France» pointe le grand défi qui attend la gestion des cancers: le virage ambulatoire
Via ACCURAY FRANCE
» Maladies » Cancer » Cancer : les facteurs de risque CHEZ LES JEUNES, LES CANCERS LIÉS À L'OBÉSITÉ SONT EN AUGMENTATION Une récente étude américaine alerte sur la recrudescence des cas de cancers liés à l'obésité chez les plus jeunes. Des pathologies qui, généralement, sont plus fréquentes chez les personnes âgées.
Des Etats ont déployé de longue date des registres épidémiologiques précieux pour la santé publique. Des pays en développement veulent s’en doter.
Via ACCURAY FRANCE
" Le lecteur peut entrer dans une partie sans avoir forcément lu la précédente. Des interconnexions entre les différentes parties pour des données plus détaillées et un glossaire avec des définitions des concepts utilisés, sont proposés. Cette nouvelle version interactive vous permet ainsi de naviguer d’un chapitre à l’autre via le sommaire à gauche de l’écran, de visualiser le document sous forme de vignettes, mais aussi d’effectuer des requêtes théma-tiques, de partager des éléments sur les réseaux sociaux, etc. (voir ci-contre), ou encore de télécharger tout ou partie du rapport."
Via Patrice FACIN
Le tabac, l'alcool, une mauvaise alimentation et l'obésité sont les quatre facteurs principaux en France des 40% de cancers qui seraient "évitables".
Un rapport publié ce mercredi, notamment par Santé publique France et l'Institut national du cancer (Inca) révèle que 60% des cancers du sein, 44% des cancers du côlon et 47% des cancers du rectum sont diagnostiqués à un stade précoce en France.
La survie à 5 ans après un cancer progresse dans le monde, mais de manière très différente selon les pays, démontre l'étude Concord-3, publiée ce 30 janvier dans « The Lancet », à partir des données de 37,5 millions de patients souffrant d'un des 18 types de cancer les plus répandus, données consignées dans les 322 registres de 71 pays, entre 2000 et 2014.
Le milieu socio-économique joue sur la probabilité de développer certains cancers plutôt que d'autres. C'est ce qu'observent des chercheurs de l'Inserm dans une étude publiée ce mardi. Première du genre en France, celle-ci indique en outre que près de 15.000 cas de cancers pourraient être évités en France chaque année en améliorant les conditions de vie et la promotion de la santé dans les populations les plus défavorisées.
Via Florentin Clère
"L’Institut publie, avec le réseau Francim des registres des cancers, le service de biostatistique des Hospices civils de Lyon (HCL) et l’Institut de veille sanitaire (InVS), le troisième rapport sur la survie des personnes adultes atteintes de cancer en France métropolitaine. Les tendances observées montrent une amélioration de la survie à 5 ans pour la plupart des cancers sur la période étudiée."
Via LAFARE, Patrice FACIN
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Si le cancer ne recule pas en termes de mortalité, les maladies cardiovasculaires cèdent enfin du terrain dans les pays à revenus élevés après 50 ans à tenir le haut de l'affiche. Mais dans les pays moins favorisés, l'histoire est toute autre.
Ce bilan du fardeau du cancer en Europe, réalisé par d’une équipe de l'Université de Milan et présenté dans les Annals of Oncology met en évidence des tendances mitigées, une baisse globale des taux de mortalité par cancer, liée à l’amélioration dépistage, au diagnostic précoce et aux améliorations de la gestion et du traitement de la maladie, mais, en raison du vieillissement des population, une augmentation des décès en valeur absolue. Tabagisme, obésité, diabète, sont montrés du doigt comme des facteurs majeurs et pourtant évitables. Ainsi, sur la seule année 2019, les cancers devraient entrainer plus d’1,4 million de décès dans l'UE.
Via ACCURAY FRANCE
Une étude parue dans la revue scientifique The Lancet Public Health, pointe du doigt le lien entre la survenue de certains cancers et les kilos en trop.
Via ACCURAY FRANCE
Alors que le cancer du poumon tuera de plus en plus, en particulier les femmes, les auteurs insistent sur l’importance de la lutte contre les facteurs de risque évitables, comme le tabac.
Via ACCURAY FRANCE
Taux de participation par département, nombre de cancers détectés, nombre de faux positifs, valeur prédictive…, Santé publique France livre les résultats de l’évaluation du programme de dépistage organisé du cancer du sein sur la période 2004-2014 dans un rapport rendu public en février 2019.
Via ACCURAY FRANCE
L'Agence Santé Publique France publie la première cartographie de l'incidence et de la mortalité de 24 cancers en France par régions et départements. Nous l'avons représentée de façon interactive.
Via ACCURAY FRANCE
Cancer, Alzheimer, sida : les Français et leurs médecins sont très optimistes pour l’avenir Par Virginie Galle Les Français et les médecins de l'Hexagone ont confiance en l'avenir, croyant en la possibilité de soigner prochainement des maladies comme le cancer ou le sida.
Alors que l’Institut National du Cancer (INCa) a publié mercredi 4 juin son rapport annuel sur les cancers en France, zoom sur les trois cancers les plus fréquents chez les hommes : ceux du poumon, de la prostate et du côlon. Comment les dépister ? Quels en sont les symptômes, les traitements ? Etat des lieux.
Pour ses 100 ans, la Ligue contre le Cancer organise les premiers "Etats généraux de la prévention des cancers" avec l'ouverture d'un site internet sur lequel la population est invitée à partager opinions et suggestions. Objectif : un plan à présenter au gouvernement.
Pour la première fois, les données de l’INCa permettent de savoir à quel stade sont détectés les cancers du sein et du côlon-rectum.
La plupart des cancers du sein et des cancers colorectaux sont détectés à un stade précoce en France. Mais certains sont encore diagnostiqués trop tardivement. L’Institut national du cancer (INCa) et l’agence Santé publique France publient la première estimation nationale sur les stades de détection de ces cancers. La production de ce nouvel indicateur pourra permettre d’«adapter les politiques publiques de prévention et de lutte contre le cancer», note l’INCa.
Cancer du poumon, cancer du sein, cancer de la prostate, cancer du côlon-rectum… quelles sont les prévisions attendues ? Le réseau des registres des cancers Francim, le service de biostatistique des Hospices civils de Lyon, Santé publique France et l’Institut national du cancer publient les projections d’incidence et de mortalité par cancer en France métropolitaine pour 19 localisations cancéreuses.
Via Giovanna Marsico
Le cancer tue désormais plus que les maladies cardio-vasculaires dans onze pays d'Europe de l'Ouest. D'après les données publiées cette semaine dans l'European Heart Journal , ce changement est dû à un déclin des décès par maladies cardio-vasculaires, pourtant encore responsables de 45% des décès en Europe. La France a été le premier de ces pays à voir ce retournement : dès 1988, plus de Français mouraient de cancer que de maladies du coeur et des vaisseaux sanguins. L'Espagne a suivi, puis les Pays-Bas, la Belgique, la Slovénie, le Portugal, le Luxembourg, le Royaume-Uni, l'Italie, le Danemark et la Norvège.
Via Florentin Clère
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