8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK
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#telemedecine #telehealth #ehealth #health #healthcare
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Télémédecine : un gisement de 356 millions d'euros d'économies par an dans trois pathologies, selon une étude  #esante #hcsmeufr 

Télémédecine : un gisement de 356 millions d'euros d'économies par an dans trois pathologies, selon une étude  #esante #hcsmeufr  | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it
Le recours à la télémédecine peut-il réduire massivement les coûts de santé ?La réponse est « oui », selon la société IQVIA qui a mené une...

Via Vigipharm, Suzana Biseul PRo
Suzana Biseul PRo's curator insight, December 15, 2018 8:47 AM
Le recours à la télémédecine peut-il réduire massivement les coûts de santé ? La réponse est « oui », selon la société IQVIA qui a mené une étude inédite pour l'association des Laboratoires japonais présents en France (LaJaPF). 

Chiffres à l'appui, elle démontre du moins que les « marges d'économies sont significatives pour l'Assurance-maladie » dans le cadre de la prise en charge de trois pathologies chroniques : l'hypertension artérielle (HTA), le cancer de la prostate et le diabète de type 2. 

En partenariat avec l'unité de pharmaco-épidémiologie de l'Université de Lyon, la méthode choisie par IQVIA a été la suivante : sélectionner des publications traitant de l'impact de dispositifs de télémédecine sur le recours aux soins dans chaque pathologie ; identifier pour chaque pathologie la population cible et le dispositif de télémédecine utilisé puis comparer aux coûts du recours aux soins sans la télémédecine (grâce aux données de l'EGB – échantillon généraliste de bénéficiaires).
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TELEMEDECINE remboursée pour 15 Milllions de français. Et les autres?  #esante #hcsmeufr 

TELEMEDECINE remboursée pour 15 Milllions de français. Et les autres?  #esante #hcsmeufr  | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it

Un bel article du Pr Pierre SIMON http://www.telemedaction.org/

Quelques commentaires pour enrichir modestement le contenu


Via IZYCARDIO
IZYCARDIO's curator insight, February 18, 2018 4:41 PM

Dans un avenir proche, 14-15 millions de français (patients en ALD, vivant en EHPAD et dans des zones en sous-densité médicale) pourront bénéficier d'un acte de TELECONSULTATION ou de TELE-EXPERTISE remboursé par l'assurance maladie. Qu’en est-il des autres? l

Les hypothèses chiffrées de la CNAMTS évoquent 500.000 téléconsultations en 2019, trop peu pour espérer une solution crédible aux déserts médicaux... 

La télémédecine, utilisée initialement pour les maladies aiguës (paquebots transatlantiques, plateformes pétrolières...) est clairement orientée, en France, vers la prise en charge des maladies chroniques et des patients éloignés ou dépendants. Mais les patients concernés par une pathologie aiguë ou urgente ont tout autant besoin de coordination des acteurs médicaux… Cette restriction risque de devenir un frein à l’usage  des outils numériques et ne répond pas forcément à une logique médicale.

Le médecin traitant est de nouveau conforté dans son rôle majeur de coordination. Mais ce rôle central dans le parcours de soins doit être rémunéré à sa juste valeur. Le médecin généraliste sera le premier à initier des actes de télé-expertise, et ne pas le rémunérer en tant que médecin requérant n’est probablement pas une bonne idée.

SOYONS POSITIFS! nous sommes en bonne voie! espérons juste que la généralisation ne prenne pas autant de temps que le démarrage de la télémédecine inscrite dans la loi HPST en… 2009…

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Charte de téléradiologie | Conseil National de l'Ordre des Médecins

Charte de téléradiologie | Conseil National de l'Ordre des Médecins | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it

Le Conseil Professionnel de Radiologie (G4) contribue, au niveau national et régional, au développement de la téléradiologie, et le soutient en tant que forme de pratique médicale dans la prise en charge radiologique des patients. Le Conseil national de l’Ordre des médecins s’implique, lui aussi, dans le déploiement déontologique de la télémédecine.

Cette forme de pratique a été décrite en 2005 dans le Guide du Bon Usage de la Télé radiologie élaboré conjointement avec le CNOM et le G4 des radiologues. Une première charte a été rédigée par le G4 en 2009 en partant des principes essentiels de ce guide, elle a été mise à jour et approuvée conjointement par le G4 le CNOM.

Elle reprend les mêmes principes mais en actualise la déclinaison, en raison des évolutions législatives ou réglementaires et des productions méthodologiques de la HAS comme celles du CNOM.


Via Philippe Bédère
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Télémédecine et prise en charge de l’AVC : support d'aide au déploiement régional - ANAP

Télémédecine et prise en charge de l’AVC : support d'aide au déploiement régional - ANAP | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it

L’amélioration de la prise en charge des AVC constitue l’une des priorités nationales de santé publique.
La télémédecine représente un levier innovant en permettant un diagnostic précoce par une expertise neurologique à distance.
Cette publication propose une démarche pour aider les régions à définir leur propre organisation de déploiement de la télémédecine, à partir de modèles types et d’un macro-processus socle.
Elle se base sur des retours d’expérience de régions pilotes.
Un ensemble de fiches pratiques complètent le guide.


Via Philippe Bédère, GIP e-Santé Centre-Val de Loire, Florentin Clère
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Télémédecine : Prévenir l'AVC

Télémédecine : Prévenir l'AVC | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it

Dans le Limousin, la télécardiologie est une réalité. En 2011, le Dr Patrick Dary, cardiologue dans la Haute-Vienne s’est lancé dans un ambitieux projet de suivi à distance de patients à risques cardiovasculaires. Trois ans plus tard, son étude ...


Via Clinique PASTEUR
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Faut-il utiliser les outils VISIO des GAFAM pour téléconsulter? #hcsmeufr #esante 

Faut-il utiliser les outils VISIO des GAFAM pour téléconsulter? #hcsmeufr #esante  | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it

Dans cet article, Pierre SIMON se félicite de pouvoir bénéficier des services des GAFAM dans sa vie quotidienne et de bien-être. Mais, il analyse les insuffisances et limites pour un usage de télémédecine et de téléconsultation... PERTINANT "As usual..."


Via IZYCARDIO
IZYCARDIO's curator insight, September 23, 2018 10:33 AM

L'Assurance Maladie dans son billet du 13 septembre a lancé un débat en écrivant: "Les outils de communication vidéo existants sur le marché (exemple : Skype, FaceTime…) apparaissent suffisamment sécurisés pour l’échange vidéo avec le patient lorsqu’il est connu".  la suite tempère aussitôt: "Toutefois, ils ne remplissent pas les conditions de sécurité suffisantes pour les échanges de documents médicaux". Et la fin du paragraphe semblait clore le débat: "De ce fait, ils n’offrent pas aux médecins de solution complète pour l’ensemble du processus nécessaire à la réalisation des actes de télémédecine".

Mais le débat continue comme le suggère l'article du 22/9 du Quotidien du Médecin: LA TELEMEDCINE A 0 EURO POUR LE MEDECIN C'EST POSSIBLE.

Le Pr Pierre Simon livre une analyse factuelle de l'usage éventuel de la téléconsultation via les canaux SKYPE, FACETIME ou WHATSAPP...  En résumé et en complément:

- Confidentialité des données: OUI pour la VISIO -  NON pour les échange de documents, photos et prescriptions

- Traçabilité du parcours de soins: NON

- Rédaction d'un compte-rendu: NON

- Partage sécurisé des résultats avec le patient: NON 

- Facturation de l'acte: NON

- Divulgation des données personnelles: OUI (le médecin devra communiquer son numéro de mobile à ses patients)

Le débat n'est pas fini...

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L’ASIP Santé publie cinq fiches pédagogiques dans le cadre de ses travaux au sein du Comité Stratégique de Filière Santé | esante.gouv.fr, le portail de l'ASIP Santé

L’ASIP Santé publie cinq fiches pédagogiques dans le cadre de ses travaux au sein du Comité Stratégique de Filière Santé | esante.gouv.fr, le portail de l'ASIP Santé | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it
L’ASIP Santé publie aujourd’hui 5 « fiches pédagogiques d’aide à la qualification d’un projet de télémédecine », auxquelles l’agence a contribué dans le cadre de ses travaux au sein du Comité Stratégique de Filière Santé, et plus précisément du...

Via Philippe Bédère, Marie Françoise de Roulhac, Coralie Bouillot
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La télémédecine, ce miroir aux alouettes !

La télémédecine, ce miroir aux alouettes ! | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it

Via Clinique PASTEUR
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Télémédecine : la HAS accompagne les professionnels - HAS

Télémédecine : la HAS accompagne les professionnels - HAS | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it

Télémédecine : la HAS accompagne les professionnels

Lettre d'information de la HAS • n° 39 • Avril-juin 2014

Apparue il y a plus de vingt ans, la télémédecine continue de se développer. La HAS propose une aide méthodologique aux programmes en cours, en s’assurant que le service médical rendu soit identique, en termes de qualité et de sécurité, à une stratégie médicale de prise en charge classique.


La télémédecine recouvre tous les actes médicaux réalisés à distance, au moyen d’un dispositif utilisant les technologies de l’information et de la communication. Cinq catégories d’actes entrent dans cette définition (décret du 19 octobre 2010) : la téléconsultation, la téléexpertise, la télésurveillance, la téléassistance et la régulation médicale (voir infographie). Selon un recensement réalisé par la DGOS en 2011, on dénombre aujourd’hui en France plus de 250 activités de télémédecine. Elles concernent surtout la prise en charge des maladies chroniques (insuffisance rénale, pathologies cardiovasculaires, cancer, diabète), l’imagerie médicale et la prise en charge de l’accident vasculaire cérébral (AVC).

Les actes de télémédecine doivent répondre à un besoin médical

« En théorie, la télémédecine peut concerner tous les champs de la médecine. Mais en pratique, elle n’a de sens et n’est un progrès que si elle répond à un besoin clairement identifié », souligne le Dr Jean-François Thébaut, membre du Collège et président de la Commission amélioration des pratiques professionnelles et de la sécurité des patients de la HAS. Les actes de télémédecine se justifient s’ils améliorent la santé et la qualité de vie des patients en faisant progresser l’accès aux soins ou la qualité de la prise en charge. Concrètement, l’accès à la télémédecine est une nécessité là où l’organisation et la permanence de l’offre de soins s’avèrent problématiques : les lieux de détention, les régions difficilement accessibles, celles où les professionnels sont rares, soit en raison de la désertification médicale, soit en cas de rareté d’une expertise médicale très spécialisée. Exemple : dans le cas de la prise en charge d’un AVC, la télémédecine répond bien à un besoin de santé publique. « Tous les établissements de soins ne peuvent disposer d’un neuroradiologue capable d’interpréter un scanner, explique le Dr Jean-François Thébaut. Dans ce cas précis, la possibilité de lire à distance des résultats d’examen, en urgence, représente un progrès incontestable. »


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Illustration : Pascal Marseaud

Qualité et sécurité identiques à un acte médical classique

En plus de ce principe essentiel, d’utilité ou « de bienfaisance », les actes de télémédecine ne doivent pas entraîner de risque supplémentaire pour le patient. « Le service médical rendu doit être identique, en termes de qualité et de sécurité, à un acte médical classique », insiste Thomas Le Ludec, directeur de l’amélioration de la qualité des soins à la HAS.
Les risques éventuels sont de plusieurs ordres et de différents niveaux de gravité : de la perte de données (les résultats d’une radio) qui oblige à recommencer un examen à l’accident informatique par exemple. Des études ont par ailleurs montré que les séances de télédialyse (le néphrologue ne se trouve pas dans le centre de dialyse mais dans un autre établissement), peuvent être perturbées, très rarement, par des ruptures de communication. Si, à ce moment précis, le patient souffre d’un trouble du rythme cardiaque, les conséquences peuvent être graves. Ce genre de situations doit évidemment être anticipé. « Même si l’on ne peut jamais prévoir tous les risques, nous demandons aux promoteurs de télémédecine d’anticiper toutes les situations critiques possibles. Il faut envisager les corrections à mettre en oeuvre ainsi que les recours si les premières solutions proposées ne fonctionnent pas », précise le Dr Rémy Bataillon, directeur adjoint de la direction amélioration de la qualité et de la sécurité des soins.

Une grille de pilotage et de sécurité

Pour aider les professionnels de santé à mettre en oeuvre des projets, la HAS a édité et mis en ligne une « grille de pilotage et de sécurité d’un projet de télémédecine ». Cet outil vise à accompagner les promoteurs dans chacune des phases de mise en place du programme, de façon à ce que la qualité et la sécurité des soins soient respectées. Il détaille la méthodologie à utiliser lors des quatre phases d’un projet de télémédecine – conception, déploiement, réalisation, évaluation – en se posant à chaque stade les bonnes questions. Ainsi, lors de la phase de conception, il est impératif de s’assurer que le projet de télémédecine répond bien à un besoin médical. Pour cela, il faut analyser l’état de santé de la population, identifier les dispositifs alternatifs qui existent déjà, prendre en compte le programme régional de télémédecine, puis définir le périmètre géographique, la population concernée et la pathologie ciblée.

La HAS édite des recommandations de bonne pratique

Outre cet outil méthodologique, la HAS élabore des recommandations concernant différentes pathologies, comme dans la prise en charge en urgence de l’AVC ou dans l’organisation des soins des patients souffrant d’insuffisance rénale et recourant à des séances de dialyse. Elle en a tiré des recommandations de bonne pratique (modèle organisationnel, conditions techniques de fonctionnement, conditions nécessaires en termes de télésurveillance et de téléconsultation par un médecin néphrologue, etc.).
Par ailleurs, la HAS a été chargée de proposer un cadre d’évaluation médico-économique de la télémédecine. Cependant, cette évaluation des projets de télémédecine reste à faire, d’autant que ceux-ci sont extrêmement dépendants du contexte local. « Il est difficile d’identifier un cadre générique face à la diversité des projets existants, souligne le Dr Jean-Patrick Sales, directeur de l’évaluation médicale, économique et de santé publique au sein de la HAS. Cela est d’autant plus vrai que les modèles internationaux ne sont pas nécessairement reproductibles dans le contexte français. » La télémédecine ne vise pas, en premier lieu, à faire des économies. « Mais certains actes de télédiagnostic, en favorisant une prise en charge précoce, peuvent, par exemple, limiter les risques de complication, analyse Catherine Rumeau-Pichon, chef du service d’évaluation économique et de santé publique de la HAS. De même, un meilleur suivi à distance pourrait éviter des journées d’hospitalisation ou des transferts. »
Les promoteurs des expérimentations futures recueilleront des informations et des données qu’il conviendra de comparer aux modalités de prise en charge habituelles. Ces analyses seront des éléments décisifs pour valider l’opportunité de diffuser ces innovations.

Expérimenter des solutions et les déployer

« De nouvelles expérimentations portant sur le déploiement de la télémédecine seront lancées en 2014, dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2014 », indique le Pr Jean-Luc Harousseau, président du Collège et de la Commission évaluation économique et de santé publique de la HAS. Au terme de ces expérimentations – qui restent à définir – une évaluation sera réalisée par la HAS en vue de leur généralisation, en liaison avec les agences régionales de santé, les organismes locaux d’assurance maladie et les établissements médico-sociaux.
« La télémédecine existe depuis longtemps en France et elle continuera de se déployer chaque fois qu’elle répondra à des besoins médicaux identifiés, explique le Dr Jean-François Thébaut. Mais il est clair que sa diffusion est conditionnée à son financement. Les industriels ont beaucoup de solutions à proposer, mais tant que les projets ne sont pas financés, les médecins hésitent à se lancer. »

 

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Via Philippe Bédère, dbtmobile
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Expérimentations télémédecine LFSS 2014 : dossier de candidature et aux critères de sélection des ARS pilotes - Ministère de la Santé

Expérimentations télémédecine LFSS 2014 : dossier de candidature et aux critères de sélection des ARS pilotes - Ministère de la Santé | 8- TELEMEDECINE & TELEHEALTH by PHARMAGEEK | Scoop.it

En application de l’article 36 de la loi n°2013-1203 de financement de la sécurité sociale pour 2014, un appel à candidatures est lancé auprès des agences régionales de santé (ARS) en vue de leur intégration, en qualité de « régions pilotes », dans des expérimentations de télémédecine d’une durée de 4 ans.


Via Philippe Bédère
Philippe Bédère's curator insight, January 25, 2014 5:41 AM

Instruction DGOS / DSS visant à définir les objectifs, le contenu et le calendrier des candidatures.