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PATIENT EMPOWERMENT & E-PATIENT
Patients as the healthcare system "missing link" #digitalhealth #hcsmeu #hcsm #epatient Curated by Lionel Reichardt / le Pharmageek |
Rescooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek from CARDIOLOGIE, SANTÉ et DIGITAL |
Rescooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek from L'Infirmière magazine |
En marge de l’entrée en vigueur de l’extension de l’obligation vaccinale le 1er janvier 2018, Julien Ménielle, ex-infirmier devenu YouTubeur, a produit une vidéo en partenariat avec le ministère des Solidarités et de la Santé. Objectif : déconstruire les « fausses infos » qui circulent sur les vaccins.
Julien Ménielle décortique les "9 bullshits sur les vaccins"
Rescooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek from MyPharmag |
Vous ne pouvez pas le nier, vous l'avez tous fait au moins une fois: demander à Google comment résoudre un soucis de santé. Evan Barbour Grippi, porte-parole du moteur de recherche américain, vient de révéler la liste des 10 questions de santé les plus recherchées sur Google en 2017.
Les 10 questions de santé les plus posées à Google en 2017 > Evan Barbour Grippi, porte-parole du moteur de recherche américain, vient de révéler la liste des 10 questions de santé les plus recherchées sur Google en 2017.
Rescooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek from MyPharmag |
Le blog peut devenir un outil pour mieux communiquer avec les proches lorsqu’une personne est atteinte d’une maladie. En effet, l’annonce d’une maladie suscite inévitablement des réactions émotives auxquelles la personne malade peut souhaiter se soustraire.
Dans ce contexte, la création d’un blog peut apparaître comme une solution appropriée à l’annonce du diagnostic et à la gestion d’émotions pénibles qui y sont associées. Explications…
Le blog peut devenir un outil pour mieux communiquer avec les proches lorsqu’une personne est atteinte d’une maladie.
Dans ce contexte, la création d’un blog peut apparaître comme une solution appropriée à l’annonce du diagnostic et à la gestion d’émotions pénibles qui y sont associées. Explications…
Scooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek |
SANOFI, en partenariat avec la Société Française d’Études et de Traitement de la Douleur (SFETD), a organisé son premier Forum de l’Antalgie consacré à la coordination des acteurs de santé dans la prise en charge de la douleur chez le sujet âgé.
Rescooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek from Télémédecine & e-Santé |
Les enjeux du dossier patient informatisé / Financement hôpital numérique / La logiciovigilance
Rescooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek from Télémédecine & e-Santé |
Donner une voix aux patients est une pratique en plein essor dans les sciences médicales &...
Rescooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek from Santé, RSE & Développement Durable |
L'utilisation des nouvelles technologies en médecine a commencé dans les années 1950 pour gérer les tâches administratives et statistiques... puis s'est poursuivie vingt ans plus tard avec la naissance des cartes électroniques de santé. Aujourd'hui, McKinsey parle d'une troisième étape que le domaine de la santé s'apprête à franchir : orienter les nouvelles technologies au service du patient. Mais certains problèmes comme la régulation, la confidentialité des données et la grande quantité de parties prenantes, semblent impacter particulièrement la santé et menacent de retarder cette troisième vague d'évolution technologique. Par où commencer pour intégrer complètement le digital dans les stratégies des acteurs du monde de la santé ? Les analystes de McKinsey relèvent que dans les autres secteurs, cette troisième vague s'est fondée sur l'étude des attentes des utilisateurs et c'est ce qui doit être fait dans la santé. Dans la manière de restituer les résultats de leur enquête, les analystes ont voulu briser certains préjugés, le premier étant la réticence des patients à avoir recours au digital dans un domaine aussi sensible que la santé.
Rescooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek from URPS et e santé |
Quelles que soient leurs formes, les principaux actes de télémédecine (téléconsultation, télé-expertise, télésurveillance) ne sont pas remboursés et les praticiens qui participent aux nombreuses expérimentations en la matière, médecins ou pharmaciens, ne sont pas rémunérés pour le service médical rendu. Si le PLFSS 2014 prévoit le financement d’actes ciblés, ils ne seront pilotés et évalués qu’au décours des trois prochaines années. Nous sommes donc loin d’un modèle économiquement viable et reproductible au niveau national, à la différence de nos voisins européens (Italie, Allemagne ou Espagne) qui ont profité d’une autonomie de gestion et de fonctionnement au niveau régional pour définir des protocoles de prise en charge.
Pour autant, la France fourmille d’initiatives portées par les professionnels, certaines en toute indépendance. Toutes visent un bénéfice immédiat pour les patients montrant que les outils sont bien au service des usages et non l’inverse, comme le rappelle Pierre Traineau, Directeur général du CATEL. Les patients eux-mêmes se mobilisent et tirent profit des nouvelles solutions technologiques mises à leur disposition pour prévenir, suivre ou mieux accompagner leurs symptômes et leurs maladies. Preuve en est la consommation croissante des applications mobiles de Santé et l’explosion du « Quantified self ». Ces deux tendances pourraient inciter les différents acteurs de la chaîne de Santé à basculer définitivement vers une économie de services.
Les professionnels s’organisent
Le Dr Fabrice Denis installé au Mans est un médecin pionnier. Ancien chercheur de l’INSERM et féru de numérique, il s’est associé à une équipe du CNRS pour concevoir une application inédite, utilisable sur n’importe quel smartphone, ordinateur ou tablette, permettant au patient de rester en contact régulier avec son cancérologue pour prévenir les rechutes de cancer du poumon. Plusieurs paramètres cliniques sont surveillés de façon hebdomadaire parmi lesquels le poids, la fatigue, la perte d’appétit, la douleur, l’essoufflement ou la toux. Des algorithmes d’alerte ont été conçus permettant de repérer de potentiel rechutes, en moyenne 6 semaines plus tôt que les examens d’imagerie programmés, selon une étude réalisée auprès de 43 patients et publiée dans la revue Supportive Care in Cancer (Springer - Septembre 2013). Encourageant, sachant que la survenue d’une perte de poids, d’un essoufflement ou d’une toux n’amène pas forcément les malades à consulter. Le système est simple d’utilisation, ne prend que 5 minutes par semaine au patient et lui permet de rester en liaison étroite avec son médecin. Il devrait être prochainement élargi à d’autres cancers, œsophage, vessie, colon-rectum et ovaire.
A quelques centaines de kilomètres de là dans le Limousin, le Dr Patrick Dary a monté de toutes pièces son projet de télémédecine. Alors qu’il répond aux priorités définies par le gouvernement de lutte contre les déserts médicaux et les AVC, ce cardiologue a eu le plus grand mal à trouver des sources de financement. Sans une bourse de BOEHRINGER, reçue dans le cadre du programme international de prévention des AVC « 1 Mission – 1 Million » et l’aide de la structure mutualiste KLESIA, son projet n’aurait certainement pas vu le jour. Pourtant, les résultats cliniques obtenus sont remarquables. De quoi s’agit-il ? Le Dr DARY suit à distance plusieurs centaines de patients depuis 2011, poursuivant 3 principaux axes de recherche: mise en place d’une télésurveillance pour le suivi de l’hypertension artérielle mal contrôlée, de l’insuffisance cardiaque et de la fibrillation auriculaire (FA). Cette dernière approche est particulièrement novatrice sachant que la FA est une cause majeure de survenue d’AVC. Une personne âgée de 40 ans ou plus sur quatre développe au cours de sa vue une FA avec un risque d’AVC multiplié par 5. Le défi technique pour télé surveiller la FA suppose le port d’un holter par le patient, permettant de détecter les troubles du rythme. Le Dr DARY l’a relevé et les résultats de son étude observationnelle viennent d’être publiés dans la revue European Research in Telemedecine (Elsevier – Octobre 2013) et présentés au dernier congrès de l’ANTEL les 15 et 16 novembre dernier. Elle a été menée sur 200 patients à risque, le suivi était ambulatoire par la pose quotidienne d’un enregistreur sur une durée de 11 jours et 10 h par jour avec détection d’arythmie et transmission automatique d’ECG. Pour 33 % des patients, la télésurveillance a amélioré le diagnostic et le traitement de la FA, permettant d’ajuster et de sécuriser la thérapeutique délivrée. Prochain défi pour le Dr DARY et prochain axe de recherche, le déploiement de ce programme à plusieurs EHPAD et maisons pluridisciplinaires de la région limousine.
OPTISAS, vaste étude de télé suivi du syndrome d’apnées du sommeil portée par les professionnels
Autre exemple, à large échelle celui-ci, l’étude OPTISAS a débuté en février 2013 sous l’impulsion de la Fédération Française de Pneumologie et de la Fédération des Spécialités Médicales. Elle durera 1 an (6 mois d’inclusion – 6 mois de suivi), impliquant 200 médecins et 1 800 patients. L’hypothèse du projet est que le télé-suivi pourrait réduire de 5 % le taux de patients abandonnant la PPC au cours de la 1ère année ainsi que les hospitalisations associées. Souvenons-nous que l'inobservance très élevée de la PPC, supérieure à 20 % la 1ère année, a conduit les autorités à modifier les conditions de prise en charge et de remboursement des patients nouvellement diagnostiqués à compter du 1er octobre 2013. L’étude OPTISAS a été rendue possible grâce à l’existence d’un outil préalablement mis en place par la FFP et comptant 63 000 dossiers patients. 1ère du genre par son ampleur et l’origine de ses promoteurs, cette étude pourrait inciter les autres fédérations de médecins spécialistes à suivre la même voie.
Les patients se mobilisent
Le marché de la m-Santé explose. On estime que le marché mondial des applications mobiles de santé passera de 1,3 milliards de $ en 2013 à plus de 10 milliards de $ en 2018. Même tendance pour le nombre d’objets connectés et de tablettes numériques. Sur les 100 000 applications disponibles à ce jour, celles dites de « bien-être » sont prépondérantes, notamment les applications visant une perte de poids. Le suivi ou la mesure de ses constantes biologiques (Quantified self) est devenu un créneau commercial juteux. Dans le sillage de WITHINGS, véritable success story à la française qui vend balances et tensiomètres connectés, une multitude d’objets communicants pour mesurer stress ou activité physique envahissent le marché: bracelet AIRO, FuelBand Nike, coach électronique FITBIT, etc. L’offre fait elle la demande ? Dans le cas présent, on serait plutôt tenté de dire que le besoin à couvrir est énorme. S’il est encore trop tôt pour évaluer le bénéfice sur la santé, le succès est au rendez-vous. Recommandées ou non par les médecins, comme c’est déjà le cas en Angleterre pour certaines applications mobiles, ces nouvelles solutions sont plébiscitées par les utilisateurs. Que l’on soit adepte de la prévention ou malade chronique, le suivi de l’activité physique et des mesures hygiéno-diététiques restent des fondamentaux pour aller mieux. Les acteurs du monde médical, laboratoires, médecins, institutionnels, opérateurs télécom et mutuelles ne s’y trompent pas. NOVARTIS a lancé le programme CARDINAL autour de la nutrition et de l’activité physique. Les médecins du sport utilisent des solutions high-tech comme celles de la société PULS@CARE et sont très actifs sur la toile, tel le Dr Philippe Chaduteau. Appuyée par le gouvernement, la société IDS a lancé l’opération MySanté mobile pour mesurer l’activité physique de 1000 volontaires entre juin et novembre 2013. ORANGE soutient le mHealth Grand Tour qui est à la fois une course cycliste et une étude d’envergure sur l’adaptation à l’effort pour les diabétiques de type I. Du côté des mutuelles, les patients du programme VIGI Santé de Malakoff Médéric suivent un programme individualisé d’accompagnement hygiéno-diététique.
Aux Etats Unis, les patients sont mis devant leur responsabilité. Les assureurs mettent en place des polices plus intéressantes pour les patients suivant de tels programmes... CQFD.
Xavier Sédès, xavier@xaviersedes.fr, consultant e-Santé
Rescooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek from Les News Pharmacie |
Les news Santé Avec 53 000 nouveaux cas chaque année, dont 11 000 conduisent au décès de la patiente, le cancer du sein représente la première cause de mortalité féminine par cancer....
Scooped by Lionel Reichardt / le Pharmageek |
Selon le baromètre « Web et Santé » Hopscotch-Listening Pharma, de plus en plus de médecins et patients utilisent forums et sites spécialisés sur la santé pour se renseigner avant une opération ou connaître certains symptômes.
Témoignage court et édifiant d'un patient sur l'organisation actuelle des soins...
Le médecin qui décide - Le patient qui subit - L'infirmière qui exécute... Un cliché qui concentre les maux de notre système de santé...
Un #PATIENT au coeur et au centre des soins, informé, augmenté, et proactif
Un #MEDECIN qui partage et délègue
Un #INFIRMIER qui apprend, avance et prend des décisions médicales
Et tous les autres métiers indispensables à un travail en équipe, gage de soins modernes et de qualité.