E-ordonnance obligatoire à New York à partir du 27 Mars
À partir du 27 mars, les prescriptions médicales dans tout l’État de New York seront dématérialisées. En pratique, les ordonnances papier seront bannies, les prescriptions seront rédigées électroniquement et envoyées directement à la pharmacie désignée par le patient. Et il n’est pas question de tergiverser puisque la loi I-Stop* de 2013 prévoit une série de sanctions au civil et au pénal pour les médecins qui ne se conformeraient pas à la e-prescription, avec des amendes, voire des peines d’emprisonnement.
Le but recherché est de mettre fin aux abus de prescription d’opiacés, en empêchant notamment les patients de modifier le nombre de comprimés qui leur est prescrit, mais aussi en évitant les erreurs d’interprétation et de lecture d’ordonnances écrites manuellement par les médecins.
Entre 2013 et 2014, environ 27 millions d’ordonnances de ces antidouleurs ont été délivrées, alors que la population recensée dans l’État de New York est de 20 millions d’individus… La mortalité liée à l’usage d’opioïdes a également bondi, passant de 341 cas en 2004 à 1 127 en 2013.
Plusieurs hôpitaux de New York ont commencé à appliquer la nouvelle loi et ainsi repéré les failles de ce nouveau système. Le patient doit savoir à quelle pharmacie il souhaite que son ordonnance soit envoyée ou choisir dans une liste d’officines fournies par le logiciel du prescripteur. Si son traitement est absent ou trop cher dans la pharmacie choisie, il doit retourner voir le médecin et ce dernier devra annuler sa précédente prescription par téléphone pour en créer une autre, qu’il enverra à une autre pharmacie désignée par le patient.
Premier impact de la e-prescription : les médecins ont tendance à prescrire les médicaments les plus standards pour garantir à leur patient de les trouver dans n’importe quelle pharmacie. Et en cas de doute, ils téléphonent à la pharmacie.
Plusieurs hôpitaux de New York ont commencé à appliquer la nouvelle loi et ainsi repéré les failles de ce nouveau système. Le patient doit savoir à quelle pharmacie il souhaite que son ordonnance soit envoyée ou choisir dans une liste d’officines fournies par le logiciel du prescripteur. Si son traitement est absent ou trop cher dans la pharmacie choisie, il doit retourner voir le médecin et ce dernier devra annuler sa précédente prescription par téléphone pour en créer une autre, qu’il enverra à une autre pharmacie désignée par le patient.
Premier impact de la e-prescription : les médecins ont tendance à prescrire les médicaments les plus standards pour garantir à leur patient de les trouver dans n’importe quelle pharmacie. Et en cas de doute, ils téléphonent à la pharmacie.
Plusieurs hôpitaux de New York ont commencé à appliquer la nouvelle loi et ainsi repéré les failles de ce nouveau système. Le patient doit savoir à quelle pharmacie il souhaite que son ordonnance soit envoyée ou choisir dans une liste d’officines fournies par le logiciel du prescripteur. Si son traitement est absent ou trop cher dans la pharmacie choisie, il doit retourner voir le médecin et ce dernier devra annuler sa précédente prescription par téléphone pour en créer une autre, qu’il enverra à une autre pharmacie désignée par le patient.
Premier impact de la e-prescription : les médecins ont tendance à prescrire les médicaments les plus standards pour garantir à leur patient de les trouver dans n’importe quelle pharmacie. Et en cas de doute, ils téléphonent à la pharmacie.
Plusieurs hôpitaux de New York ont commencé à appliquer la nouvelle loi et ainsi repéré les failles de ce nouveau système. Le patient doit savoir à quelle pharmacie il souhaite que son ordonnance soit envoyée ou choisir dans une liste d’officines fournies par le logiciel du prescripteur. Si son traitement est absent ou trop cher dans la pharmacie choisie, il doit retourner voir le médecin et ce dernier devra annuler sa précédente prescription par téléphone pour en créer une autre, qu’il enverra à une autre pharmacie désignée par le patient.
Premier impact de la e-prescription : les médecins ont tendance à prescrire les médicaments les plus standards pour garantir à leur patient de les trouver dans n’importe quelle pharmacie. Et en cas de doute, ils téléphonent à la pharmacie.