Your new post is loading...
Your new post is loading...
A l'aide de son application PatientTruth qui s'appuie sur la technologie de la blockchain, la start-up Embleema souhaite que les patients partagent leurs données de santé avec les communautés médicales. Si seules les données des objets connectés Fitbit peuvent y être intégrées en France pour l'instant, Embleema veut y ajouter les informations du dossier médical électronique. Le but : développer une place de marché pour que ces données médicales soient vendues à des fins de recherche.
Retour sur la journée Numérique & Santé du 14 juin sur l'optimisation du parcours de soin par le numérique. Il y a du pain sur la planche pour les startups.
A l'occasion du salon iMedia Brand Summit 2017, qui se tiendra à Biarritz les 13 et 14 juin, Thomas Husson, vice président et analyste principal chez Forrester, interviendra pour partager son point de vue sur la transformation numérique des grandes entreprises françaises et l'expérience qu'elles proposent à leurs clients. Il livre en avant-première à L'Usine Digitale les principaux enseignements de sa présentation basée sur une synthèse d'études.
Et la croissance du marché de la donnée en santé apparait florissante. Elle est estimée à + 25% par an d’ici 2020 selon HealthInnov/Les Echos. D’ici 5 ans, ce marché pourrait représenter quelque 34 milliards d’euros dans le monde selon Research&Report.
Kap Code lance un outil pour analyser les publications des patients
La santé connectée regroupe les objets connectés, les applications mobiles, les serious game, la domotique pour le maintien au domicile des personnes âgées ainsi que les communautés de patients ou de médecins. L 'optimisation d'une relation patient/professionnels de santé grâce à la santé connectée nécessite certaines conditions.
par Gilbert Reilhac STRASBOURG - L'institut hospitalo-universitaire de Strasbourg (IHU), un centre de soins, de recherche et de transfert de technologies en chirurgie mini-invasive qui permet de repousser les limites des techniques opératoires sans ouverture des corps, ouvrira la semaine prochaine des blocs opératoires futuristes. "Notre plateforme clinique est unique au monde", dit Jacques Marescaux, directeur général et initiateur de l'IHU, en évoquant la capacité qu'elle offrira de "tout analyser pendant l'intervention, l'IRM, le scanner, les échographies 4D, etc." Classé premier ex-aequo parmi les six projets d'IHU retenus en 2011 par le programme gouvernemental des Investissements d'avenir, il allie la robotique à l'imagerie numérique. Qu'elles servent à la formation ou aux interventions, les technologies de l'image sont omniprésentes dans les neuf salles d'opération dédiées aux pathologies de l'appareil digestif : écrans aux murs, caméras au plafond, appareils d'imagerie médicale installés à portée du champ opératoire. Partenaire et matrice de l'IHU, l'Institut de recherche contre les cancers de l'appareil digestif (Ircad), que ce professeur en chirurgie digestive a créé et dirige depuis 22 ans, s'est forgé une réputation internationale en chirurgie mini-invasive, discipline dans laquelle il a formé 5.200 chirurgiens l'an dernier. La chirurgie laparoscopique (endoscopie appliquée à la cavité abdomino-pelvienne), qui consiste à introduire une caméra et des outils miniaturisés dans le corps du patient par de simples incisions et par les voies naturelles, suppose une instrumentation sophistiquée mais également une vision optimale. RÉALITÉ AUGMENTÉE Pour passer à une "réalité augmentée", "il fallait que les machines du département de radiologie migrent dans celui de chirurgie", souligne Jacques Marescaux. Le Zeego est, à ce titre, la star du bloc opératoire. Ce scanner robotisé, qui se présente comme une énorme pince articulée, peut effectuer en une seconde le tour du patient pour offrir au chirurgien une image de ses organes en 3 D et qu'il pourra superposer à celle du champ opératoire. Siemens, qui a conçu cette machine pour la cardiologie interventionnelle, est l'un des principaux partenaires de l'IHU, avec Storz, autre entreprise allemande spécialiste des instruments d'endoscopie. Les Américains Medtronic et Intuitive Surgical, leader mondial des robots de chirurgie mini-invasive, dont la dernière version du "da Vinci" équipe l'IHU, ont installé de leur côté un centre de formation à l'Ircad, qu'une passerelle et 400 fibres optiques relient au nouvel institut. Fondation de coopération scientifique, l'IHU strasbourgeois a été doté d'un capital de 70 millions d'euros par l'Etat mais dispose d'un budget de 220 millions d'euros sur dix ans, programme de recherche inclus, avec l'apport du privé. Le nouveau bâtiment, voisin du nouvel hôpital civil dont il constitue le pôle de chirurgie hépato-digestive, représente 100 millions d'euros dont 60 en équipements apportés par les industriels, 40 pour la construction de 13.000 m2 payée par les collectivités territoriales et les fonds européens. 6.000 PATIENTS PAR AN Quelque 6.000 patients y seront traités par an et inscrits dans un protocole de recherche clinique ou médico-économique. Avec ses partenaires de recherche privés et publics dont l'Inria (Institut national de recherche en informatique et en automatique) et ICube (Laboratoire des sciences de l'ingénieur, de l'informatique et de l'imagerie), l'IHU s'attaque notamment au développement d'un robot compatible IRM scanner ou d'un robot d'endoscopie flexible, mais pas seulement. Il veut également étudier les parcours de soins et le rapport coût-bénéfice d'une chirurgie de moins en moins traumatisante mais aux technologies de plus en plus onéreuses. Un Zeego coûte environ 500.000 euros, un da Vinci dernière génération, autour de deux millions. L'IHU ne disposera d'aucune chambre - l'hôpital peut y suppléer - et privilégiera les parcours ambulatoires, offrant au patient opéré la possibilité de demeurer 24 ou 48 heures dans un "hospitel", structure hôtelière adaptée où ses paramètres médicaux seront surveillés à distance. "Ce qui est cher, en chirurgie, c'est la complication. On va facilement prouver qu'avec les thérapies mini-invasives, le malade va être mieux traité, plus rapidement, avec le moins d'hospitalisation possible, donc moins de risques de maladies nosocomiales et moins de complications", dit Jacques Marescaux. (Edité par Yves Clarisse)
Accélérateur de votre Business - Créée en 1991, Infinités est une agence Conseil en Communication, Relations Médias - Relations publiques, Relations presse, Digital/Web et Community Management.
L’ANAP vient de produire un document de référence dédié au système d’information territorial pour le parcours des patients et la coordination de la prise en charge sanitaire. Les cinq fonctions socles destinées à garantir la cohérence du SI.
|
La CNAM propose de créer un fond pour stimuler l'innovation dans les parcours de soins et le virage vers l'ambulatoire.
Mary Meeker: Healthcare technology is booming thanks to cloud computing and wearables - SiliconANGLE
Roche Pharma France et la société Advanced Schema lancent Connexin, un service en ligne sécurisé et pratique destiné à optimiser la coordination entre tous les professionnels de santé intervenant dans le parcours de soins du patient. Issu de la réflexion d'un board collaboratif regroupant des cliniciens, des pharmaciens hospitaliers et des officinaux, ce service gratuit accélère en cas de besoin et de manière totalement sécurisée le partage et la circulation d'informations sur le médicament autour de 3 thématiques essentielles : la tolérance, les interactions médicamenteuses et l'adhésion thérapeutique.
Il en est de la responsabilité des professionnels de santé d’assurer une prise en charge efficace de leurs patients
Des opérations de téléchirurgie à distance seront désormais possibles à l’aide de robots sophistiqués lors d’interventions chirurgicales où le médecin et le patient se trouvent dans des lieux différents, ont expliqué plusieurs participants au Mobile World Congress à Barcelone. La compétence du médecin et la technologie du robot peuvent être combinées grâce à la réalité …
La réalité augmentée, déjà identifiée comme outil d’apprentissage puissant pour les étudiants en médecine, pourrait être utilisée prochainement au sein des blocs opératoires. Le partenariat Microsoft /Stryker permettrait d'équiper les salles d'opération avec la technologie Hololens, permettant ainsi de favoriser la collaboration entre les différentes parties prenantes lors d'une intervention chirurgicale.
PASS les permanences d'accès aux soins de santé: vers une médecine de parcours et d'accompagnement personnalisé.
Retour sur le #Keynote du Dr COUHET Eric , médecin connecté et Président – Fondateur de #ConnectedDoctors lors de #Cybermed 2016 en Septembre dernier à #Antibes. La professionnalisation de la #SantéConnectée est inéluctable , n’en déplaise à certains qui seraient tenté de déconnecter leur vertu pour un profit immédiat plus rémunérateur. La #Médecine 3.0 doit
|