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E- Commerce, M-Commerce, S-Commerce : Typologie des Shoppers

E- Commerce, M-Commerce, S-Commerce : Typologie des Shoppers | M-Market | Scoop.it

L’arrivée du digital a modifié les comportements d’achat « traditionnels ». Aujourd’hui les possibilités d’achats online et offline se multiplient et se complexifient. Le consommateur est devenu un shopper omnicanal.

Pour y voir plus clair, nous vous proposons une typologie des différents comportements afin d’identifier les shoppers les plus susceptibles d’acheter vos produits !

 

Face à la démultiplication des points de contact, comment se comporte le consommateur ? Comment proposer le bon produit, au bon endroit, au bon moment et à la bonne personne ? La typologie des shoppers basée sur les résultats de l’étude smart shopping 2012, nous permet de distinguer 3 grandes catégories de comportements d’achat.

CEUX QUI PRÉFÈRENT GÉRER LE COMMERCE PHYSIQUE : 45 %Les « shoppers utilitaires » (24 %)

« Le shopping est une perte de temps »

 

Foyers assez modestes, plutôt âgés de 50 ans et plus. Ils préfèrent le magasin car il les rassure et leur permet de toucher et tester les produits. Ils ne recherchent pas le coup de cœur mais l’utile.

 

Les « store addicts »( 21 %)

« J’adore flâner dans les magasins »

 

Cible assez jeune, souvent sans enfants, qui apprécie et valorise le shopping en magasin, considéré comme une activité en soi et un rituel apprécié. Ils sont friands de conseils.

 

 CEUX QUI PRÉFÈRENT GÉRER LEUR ACHATS À DISTANCE, DÈS QUE POSSIBLE : 38 %« Les sofa shoppers » (19 %)

« L’achat doit être un acte réfléchi »


Ils correspondent plutôt à la clientèle traditionnelle de l’achat à distance. Ils’agit d’une cible assez féminine et de CSP moyenne, âgée de plus de 50 ans et inactive. Les sofa shoppers commandent sur internet et par catalogue, comparent les prix et sont tentés par la vente et l’achat de produits d’occasion.

 

 Les « Full Web Shoppers » (19 %)

 « Faire du shopping sur internet est un véritable moment de détente »

 

Population jeune de CSP+ ou de professions intermédiaires, qui cherchent à rationaliser et rendre leurs achats plus faciles. Ils flânent et achètent plus sur internet qu’en magasin.

 

LES CONSOMMATEURS MULTI-CANAUX 17 %Les « wealthy shopper » (10 %)

« Je me fais plaisir »

 

Csp + aux revenus importants, ils consomment volontiers et aisément. Ils fréquentent autant les magasins et centres commerciaux qu’internet. Ils recherchent des produits d’exception et sont demandeurs de conseil et de suivi. La multiplication des canaux d’achat est une conséquence naturelle de ce mode de vie de foyers de cadres avec enfants, vivant souvent en milieu urbain.

 

Les « Good deal hunter » (7 %)

«  Le shopping est un moment de recherche et de plaisir »

 

Foyers avec enfants, CSP moyenne, amateurs de marque et d’expérience shopping. Ils concilient budget et achats de bonnes occasions en magasin et en ligne. Ils recherchent aussi bien des produits quotidiens que des produits d’exception.

Le consommateur d’aujourd’hui est sophistiqué et opportuniste, il navigue entre le magasin et les environnements online de façon interchangeable pour répondre à ses besoins du moment. Pour satisfaire les clients, les enseignes doivent délivrer une expérience shopping cohérente et pratique à travers tous les points de contact du consommateur, s’étendant du magasin au site web puis inversement.

Si cette typologie vous a intéressé et que vous souhaitez mettre en place une stratégie social média, n’hésitez pas à télécharger notre proposition commerciale 10 solutions pour lancer son application mobile ou notre livre blanc10 conseils pour faire votre stratégie digitale et devenir de véritables médias.

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Le m-commerce séduit peu les Français

Le m-commerce séduit peu les Français | M-Market | Scoop.it

Une étude réalisée par le groupe mondial Rakuten montre les limites du m-commerce en France par rapport à d'autres pays.

Selon une étude réalisée par le groupe Rakuten auprès d'e-consommateurs, le m-commerce ne séduit guère les Français au contraire d'autres nationalités. Ainsi, 15 % des Indonésiens et 13 % des Thaïlandais interrogés achètent volontiers via leur mobile contre 8 % des Américains et des Britanniques et seulement 5 % des Français.

Si l'expérience utilisateur est un critère essentiel pour effectivement acheter sur mobile, la sécurité est une préoccupation majeure pour 20 % des Français et des Britanniques contre seulement 14 % des Japonais et des Italiens.

Le e-commerce via les tablettes a lui aussi du mal à décoller en Europe malgré des ventes importantes de ces nouveaux terminaux (+142 % sur 12 mois). 35 % des e-consommateurs utilisent des tablettes en Thaïlande contre 18 % en Italie, 9 % en France et 7 % en Allemagne.

La croissance constatée du trafic provenant de terminaux mobiles (+200 % sur un an sur PriceMinister) ne se traduit ainsi pas, en France, par une croissance des ventes. Les terminaux mobiles servent donc à consulter les sites d'e-commerce mais guère, pour l'heure, à acheter, du moins en Europe occidentale.

L'étude s'est aussi penchée sur le s-commerce. Encore une fois, les Français sont réticents. 23 % seulement ont déjà recommandé un produit sur les médias sociaux contre 25 % des Britanniques, 48 % des Italiens, et 50 % des Espagnols. Selon le site de Rakuten en Grande-Bretagne, Play.com, un site vend pourtant 24 % de plus à un fan actif qu'à un e-consommateur ordinaire.

 

A propos de l'étude
L'enquête a été réalisée en Juillet 2012 auprès de consommateurs de plus de 18 ans ayant acheté un objet en ligne au cours des 12 derniers mois. 1000 personnes ont été interrogées dans chacun des 12 pays suivants : Brésil, Canada, France, Allemagne, Indonésie, Italie, Japon, Espagne, Taiwan, Thaïlande, Royaume-Uni, États-Unis.

 

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Après le e-commerce, voici le m et le s-commerce

Après le e-commerce, voici le m et le s-commerce | M-Market | Scoop.it

Le commerce par internet, c’est ce qu’on appelle aussi le " e-commerce " avec un " e " comme dans " email ".  J’espère que vous suivez. Mais déjà en effet, d’autres formules tentent de se faire une place au soleil. Aujourd’hui, ce qui retient l’attention, c’est le m-commerce. Avec m comme ?

Mobile ?

Bien vu. De plus en plus de gens disposent  d’un appareil mobile connecté à internet : téléphone ou tablette, ou les deux. Il y a une réelle opportunité pour  toucher un public qui a qui a tendance à se détourner de l’ordinateur classique. Cette année, les ventes mondiales d’ordinateurs vont baisser pour la première fois depuis 11 ans. Certains analystes prévoient que les ventes de tablettes vont les dépasser au plus tard en 2016. Et d’après l'association belge de la publicité digitale et interactive IAB Belgium, près d’un ménage belge sur quatre, 23%, possède une tablette numérique. Mais avec de fortes disparités : 15% côté francophone contre 27 en Flandre.  En moyenne, ils y consacrent 34 minutes par jour.

(...)

 

Les entreprises ont intérêt à ce que ça change. Parce que la prochaine évolution se profile à l’horizon, le s-commerce

Le commerce social, la vente via les réseaux sociaux. A côté de son célèbre bouton Like, j’aime, Facebook va lancer la fonction Want,  je veux. En un clic sous un produit mis en valeur sur le réseau, le consommateur se retrouvera sur la plateforme de vente de la marque concernée. Un nouveau canal pour elle.  Et pour Facebook, une tentative décisive de valoriser son milliard d’utilisateurs et de rassurer ses investisseurs.


Alain Gerlache

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