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Le nouveau jargon de la distribution à retenir

Le nouveau jargon de la distribution à retenir | M-Market | Scoop.it

Les nouvelles technologies envahissent la distribution. Elle s'accompagne d'un nouveau vocabulaire qui vient enrichir le jargon du secteur.


Beacon, webrooming, narrative retailing... Le jargon de la distribution a bien évolué, les nouvelles technologies prennent d'assaut le secteur qui s'enrichit de nouveaux termes. Présentation du top 9 des nouveaux mots de la distribution.

   

Comme dans tous les domaines, la distribution évolue, et avec le temps le jargon change et bien sûr, les anglicismes se multiplient au passage. Perdu au milieu des beacons, webrooming et autres mots barbares ? Petit tour d’horizon des 9 nouveaux mots de la distribution à retenir. 


1. Le webrooming 

Il s’agit de l’activité de recherche des informations sur un produit à partir d’un site internet, avant d’aller l’acheter dans une enseigne physique. Cette pratique est l’exact contraire du showrooming qui consiste à aller s’informer dans un magasin physique avant de commander le produit en ligne. Si le showrooming inquiète particulièrement les détaillants, le webrooming devrait les rassurer. Une étude de 2014 de Merchant Warehouse, menée aux Etats-Unis, révèle que 69% des détenteurs de smartphones âgés de 18 à 36 ans s’étaient livrés au webrooming, contre 50% au showrooming. Le webrooming profite surtout des avantages que procure un achat en magasin, avec le service après-vente et la facilité de remboursement. 


2. Le showrooming 

Une pratique bien connue des détaillants : le client va s’informer et découvrir le produit dans une enseigne physique avant de le commander en ligne immédiatement, car il y est moins cher qu’en magasin. Le showrooming inquiète particulièrement les distributeurs, d’autant plus qu’une des seules techniques pour lutter contre le phénomène consiste à aligner les prix en magasin sur ceux des sites d’e-commerce. Pourtant, le webrooming et le showrooming sont des pratiques plutôt complémentaires : suivant le produit recherché, le consommateur choisira l’une des deux techniques. 


3. Le f-commerce

Le mot tient son abréviation d’un célèbre réseau social : f-commerce pour Facebook. Il s’agit de l’activité de vente réalisée directement sur une page ou une application Facebook. Il désigne aussi l’utilisation des fonctions de partage du réseau social sur un site marchand ou en point de vente. Le f-commerce peut être rattaché au s-commerce pour social-commerce. Si on prend la notion au sens strict il s’agit réellement de l’utilisation du réseau social pour réaliser directement des transactions. Dans une définition plus marketing, le s-commerce pourrait englober aussi les partages et recommandations sociales. 


4. Le m-commerce

M-commerce s’entend du mobile commerce, c’est-à-dire l’achat via un smartphone ou une tablette, à l’aide notamment d’une application ou d’un site web dédié. On peut lui relier le l-commerce, c’est-à-dire le located based commerce : une application mobile qui reçoit en temps réel les bons plans, des coupons, et des informations sur les lieux à proximité. Dans la même veine le t-commerce, comme télévision commerce, permet de réaliser des achats depuis sa télévision grâce à la télécommande.Ikea avait lancé une télévision intégrant cette fonctionnalité en 2012. Visiblement cette technologie n’a pas eu le succès escompté.


5. Le B to R et le B to I

Après le B2B, le B2C, et autres acronymes, le B2R. Il désigne les relations entre une entreprise et ses différents clients. On peut parler de relation entre le producteur et ses détaillants. Le terme recouvre l'ensemble des actions marketing et commerciales à destination de la distribution externe. Dans la même veine, le B2I désigne la relation entre professionnels et actionnaires. Encore un anglicisme, I désignant les "investors". Il concentre l'ensemble des activités et actions de communications des entreprises à destination des actionnaires actuels et potentiels. 


6. L'e-couponing


Cette technique de marketing consiste en la distribution de coupons imprimables en ligne : ils donnent lieu à des réductions dans les points de vente physiques. L’e-couponing vient dépasser l’ancienne technique du coupon donné à la sortie de caisse. A l’heure du ciblage et du digital, les initiatives personnalisées se multiplient. Aujourd’hui grâce à l’application française de Catalina, c-Wallet, le consommateur n’a même plus à sortir ses coupons ou son smartphone en magasin, il peut choisir ses produits du quotidien et ses réductions. 


7. Le beacon

Le beacon est un mini capteur Bluetooth placé au sein d’un point de vente, qui dispose d’un faible rayon d’émission. Il envoie des offres personnalisées, avec des informations, des promotions et enregistre les visites pour créditer des points de fidélité par exemple. Seul bémol du beacon : le consommateur doit disposer d’une application spécifique à l’enseigne et avoir accepté de recevoir des notifications. Certains capteurs beacon ne fonctionnent pas par Bluetooth, mais à ultrasons. Le beacon prend de l’ampleur de jour en jour, Carrefour l’utilise dans ses magasins en Roumanie, Next One dans ses panneaux publicitaires, et le centre commercial des Terrasses du Port à Marseille y recourt aussi. ABI Research table sur 60 millions de Beacon dissimulés aux Etats-Unis à l’horizon 2019. Une technologie particulièrement intéressante quand on sait qu’elle permet aussi de récolter des informations précises sur le comportement du consommateur. 

 

8. Le géofencing

Le géofencing ou "localisation à faible échelle", est une technique de marketing utilisant la géolocalisation : dès que le consommateur pénètre dans une certaine zone, il reçoit des messages, et alertes personnalisées sur son smartphone, s’il a téléchargé l’appli mobile de la marque, de l’enseigne, ou du centre commercial. Cette technique de marketing peut fonctionner à partir de beacon, de puce NFC, ou de balises à ultrasons. Le but est de toucher le client au bon moment et au bon endroit, en le poussant à rentrer dans un point de vente ou un rayon. Le géofencing est particulièrement utile pour la liquidation de stock, malgré son aspect intrusif. L'appli mobile Bonial recourt depuis mai 2015 à cette technologie qui ne nécessite aucune collecte de données personnelles. 

 

9. Le narrative retailing 

En Français théâtralisation du point de vente. Le but est simple : mettre en scène un produit unique et exclusif, en racontant une histoire. Le magasin gagne une approche plus conceptuelle, il est expérimental, a un côté musée, mais surtout c’est un lieu d’expérience sensorielle et de divertissement. En tête des narrative retailing peuvent se placer les boutiques Apple. On crée finalement une connexion émotionnelle entre la marque et le consommateur.

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Quel avenir pour le F-Commerce et quel usage ?

Quel avenir pour le F-Commerce et quel usage ? | M-Market | Scoop.it

Bloomberg a récemment communiqué sur la fermeture des boutiques sur Facebook de Gap et JC Perney.

Le media titre pousse à la réflexion : la fin du F-Commerce ?.

Patrick Robin qui a récemment racheté Boosket, une solution de F-Commerce, a réagi vivement par une tribune sur le Journal du net : L’ouverture ou la fermeture des F-stores de quelques marques sont un non événement.
Sa tribune ne manque pas d’intérêt mais son analyse est partielle, et semble également partisane.


Il justifie la bonne santé du F-Commerce par:
- le nombre de F-boutiques créées
- le fait que des clients prestigieux de Boosket (La redoute) ont renouvelé des opérations de F-commerce pour des évènements : Noël, Saint Valentin
- Le F-Commerce favorise la recommandation (argument qualitatif)
- des valeurs telles que « le trafic venant de Facebook passe de zéro à 14% des ses paniers » (argument quantitatif mais en valeur relative)

 

C’est intéressant mais ce n’est pas percutant.


Le nombre de boutiques annoncées n’est pas vraiment très élevé si on se place sur un marché global de millions de marques et de commerces, pourtant Facebook a déjà une pénétration énorme.
Les grandes marques qui font de l’évènementiel sur Facebook via des boutiques temporaires, ce n’est pas une justification du F-Commerce dans son ensemble et « quelques centaines de vente par événement », je cite, c’est minime pour un grand VADiste
On est tous d’accord sur le pouvoir de recommandation (viral) des réseaux sociaux, notamment Facebook, mais cela ne suffit pas à la vente, il y a un (long) chemin à parcourir entre un conseil d’ami et une transaction
Les éléments chiffrés que Patrick Robin avance ne me semblent pas pertinents, ils sont flous, mélangés entre différents clients, sans référence ni à la taille, la nature (grand public, marché de niche), le degré de maturité (lancement de commerce ou marchand mature). Ni même au budget marketing associé (Facebook ads ou autre). Bref ce qu’on attendrait c’est des données sur le cout d’acquisition par ce canal, en valeur et/ou en pourcentage du CA
Par ailleurs, c’est trompeur de dire que le retrait de grandes marques est un non-évènement. Car contrairement aux milliers de petits commerces, les gros font des analyses préalables puis évaluent sérieusement les opportunités et les tests qui sont effectués.
Autrement dit, un petit ecommerçant peut faire une F-Boutique sur un coup de tête, et l’arrêter également du jour au lendemain, sans trop d’état d’âme.

(...)

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We Spent $1,138 on Facebook in 6 Days: Numbers and Lessons Learned

We Spent $1,138 on Facebook in 6 Days: Numbers and Lessons Learned | M-Market | Scoop.it
| SignNow :

(...)
Lessons learned

We learned a lot from this experiment, and I think we will be much better at this the next go around.

1) Have Fun – Facebook is a consumer application, so have fun with it. Our best performing Ads were short, clear, and witty.

2) Design your Facebook page – I don’t think people will interact much with a standard Facebook page unless you have fantastic wall posts. We treated it the same as any other page on our homepage, although we should have split tested our pages to be able to improve the look and feel. People definitely don’t want to leave Facebook, so plan on people being able to see, do, and learn everything possible off the Facebook page only.

3) Campaigns around events – Campaigns around events seem to be effective at increasing engagement, but pick your audience.

4) Text and images both matter – I think it was our beer image that caught more people’s eye, but text that convinces people to click. Test everything.

5) Don’t expect tangible conversions in the short term – Facebook is a great way to build brand recognition and a potential customer list. It did not provide us immediately recognizable customers.

Was it worth it?

Well, our best answer right now is that we think it was worth it, but we have yet to determine a clear value of each Like. I think that for people that look at us on Facebook we look far more legitimate with over 700 Likes. I think Facebook Likes are a form of social proof, and I want to get this number even higher and use it to our advantage. People who Like you get updates from your feed, and we should be able to convert at least $1-2 of value per early adopter in the short/medium term as we stay in contact with them. As we release updates and applications, these users may prove valuable in spreading the word. For example, we can reach out to these people when we release our iPhone and Android apps.

However, we would like to have seen more direct users come from the site. Some of our Likes came from people who neither looked at our product tour or our site, which makes me wonder whether they will actually use the product or spread the word. We have had an increase in traffic from Facebook following this campaign, which could be from our user growth or this campaign, we are not sure.

So in total, we were very happy with the campaign. We got additional social proof, users, and interested people that we can stay in contact with. We are planning some social media contests that require a Facebook base to start from, and this campaign really enables us to do them. We definitely would have done things differently in the ad copy and pictures, and really should have split tested our pages within Facebook. If you have any questions or want to give us any pointers (we always take advice), shoot me a line at chris@signnow.com. Thanks for reading!
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F-Commerce Turning "Like" into "Buy"

Social Media Week Toronto - JWT Retail Slam. I was fortunate to speak on the subject of F-Commerce, a short presentation focused on this emerging trend. Retailers are moving into Facebook enabling consumer to purchase real goods with real currency. Brands such as Pampers and Dove are selling product direct to their Facebook consumers.
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Tory Burch relance ses sites de e-commerce et de m-commerce en faisant appel à Demandware

Tory Burch relance ses sites de e-commerce et de m-commerce en faisant appel à Demandware | M-Market | Scoop.it
La marque de sportswear s'appuie sur la plate-forme de commerce Demandware pour offrir aux consommateurs une interface cohérente sur le Web et sur les mobiles

Demandware, Inc., l’un des premiers acteurs mondiaux du e-commerce dans le Cloud, annonce que la marque de sportswear Tory Burch a officiellement relancé son site www.toryburch.com en s’appuyant sur la plate-forme de commerce Demandware®. Combinant le e-commerce avec son contenu éditorial et les médias sociaux, le nouveau site reflète le style et la personnalité de la directrice et fondatrice éponyme de la marque, tout en optimisant le service proposé à la clientèle.
Parallèlement au lancement de son nouveau site de e-commerce, Tory Burch a dévoilé un site pour mobiles riche en fonctionnalités, exploitant l’application de e-commerce mobile de Demandware. L’unification de l’environnement entre la boutique mobile et la boutique Web offre aux consommateurs une interface transparente et cohérente dans leur parcours d’achat. (...)

Les fans de la marque ne tarissent pas d’éloges à propos du nouveau site sur les pages Facebook et Twitter de Tory Burch, soulignant la rapidité des transactions et la facilité de navigation.
(...)

Connectez-vous avec nous !
• Twitter – http://twitter.com/demandware
• Facebook – www.facebook.com/demandware
• Blog Demandware - http://blog.demandware.com/
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F-Commerce : Facebook teste un bouton « Buy »

F-Commerce : Facebook teste un bouton « Buy » | M-Market | Scoop.it

Facebook vient d’annoncer qu’il testait actuellement un bouton « buy ». Affiché sur les publications et les annonces des pages (desktop et mobile), le bouton « buy » permet d’acheter les produits d’une entreprise, sans quitter la plateforme.

Cette fonctionnalité inédite est pour l’instant accessible à un groupe restreint de petites entreprises aux USA.

Si l’idée semble intéressante, elle soulève une incertitude quand à la transmission des données bancaires par les utilisateurs sur le réseau social.

Facebook déclare à ce sujet : « Nous avons construit cette fonctionnalité avec gardant à l’esprit la vie privée, et nous avons pris des mesures pour que le paiement soit sûr et sécurisé. Aucune information relative à la carte de crédit utilisée sur Facebook ne sera partagée avec d’autres annonceurs, et les utilisateurs pourront choisir s’ils souhaitent enregistrer leurs informations de paiement pour les achats futurs ».

Après plusieurs tentatives infructueuses de F-Commerce, celle-ci sera t-elle la bonne?

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Du e-commerce au f-commerce, m-commerce et t-commerce ...

Du e-commerce au f-commerce, m-commerce et t-commerce ... | M-Market | Scoop.it
Réflexions sur l'actualité du web, les stratégies digitales et les médias sociaux.

 

Le e-commerce pendant très longtemps a été vu comme une activité indépendante des autres canaux de distribution physiques. Dans beaucoup d'entreprises françaises, pour des raisons de préservation des réseaux de partenaires, de distributeurs, d'affiliés ou en propre, le choix d'un développement restreint et sous le radar de l'e-commerce a bien souvent été un choix politique plus qu'économique. La digitalisation de notre économie ces dernières années, l'apparition de pure players concurrents ont obligé les entreprises traditionnelles à revoir leur stratégie et à accélérer leur dévéveloppement e-commerce dans différents sens :

Le e-commerce comme une vitrine discrète...

Des sociétés seulement habituées à vendre leurs produits via un reseau de distributeurs ou de partenaires, sont devenues elles-mêmes distributeurs de leur propre offre. Dans l'univers de la téléphonie par exemple, j'ai lancé en 2006 pour Nokia le premier site e-commerce d'un "constructeur". Sauf que bien souvent, la politique de gestion des partenaires a raison d'un développement fort de ces sites e-commerce qui ne font alors office que de practicité pour une certaine tranche de la population ciblée.

La solution est bien souvent de s'appuyer sur les produits phare mais aussi de proposer des offres propres et uniquement sur Internet afin de créer une rareté, une exclusivité qui créera de l'intérêt pour l'internaute, mais aussi qui évitera au sein de l'entreprise de se heurter à certains freins politique de cannibalisation des réseaux.

Ce constat on pouvait le dresser il y a encore 3 / 4 ans... quoique ! Je suis tombé il y a quelques jours sur cette interview du patron des éditions Stock qui prône l'interdiction de vendre des livres sur Internet et le monopole donné aux libraires. Le secteur du livre, tout comme celui des médias voit Internet comme le grand méchand loup remettant en cause une hégémonie établie et faisant changer un modèle. Tout comme d'autres secteurs, les éditeurs doivent s'adapter à cette nouvelle donne qui est qu'aujourd'hui, par exemple, Amazon vend plus de livres numériques que de livres.

L'ère du fort développement de son activité e-commerce pour mieux maîtriser la chaîne de valeur

Internet, au delà de nombreux secteurs où la concurrence des pure players s'est accrue fortement, est à la fois un lieu de prise d'informations et d'achat. Historiquement, les activités étaient assez disctinctes avec des webzines, des blogs et des forums où l'internaute allait chercher l'information et des sites marchands qui visaient d'abord l'acquisition de clients et la transformation de visiteurs en clients.

Les sites marchands ont ensuite compris l'importance d'apporter du contenu permettant à la fois de revenir plus fréquemment sur le site, d'échanger avec d'autres utilisateurs, de découvrir autrement les produits et leurs univers, de consulter des avis sans devoir aller sur des sites spécialisés. L'idée ici est celle de la maitrise de la chaîne de valeur : maitriser l'information qu'elle soit produite par l'entreprise ou par les internautes (UGC) et la combiner de manière pertinente et expérientielle à l'offre marchande.

Certaines sociétés ont ainsi grandement digitaliser leur activité (les VPCistes comme La Redoute ou 3Suisses), le luxe a développé son offre, les constructeurs automobiles également (Renault se lance dans le e-commerce)...

Bienvenue dans l'ère du v-commerce, m-commerce, t-commerce, f-commerce...

Cette expérience proposée aujourd'hui par les sites marchands ne doit pas se confiner au seul Internet accessible depuis un ordinateur, mais doit s'adapter aux terminaux / supports existants.

Il y a tout d'abord ce que nous appelerons le v-commerce dont j'avais parlé à l'époque - en 2006 - avec Second Life (Le v-business ou comment une marque peut améliorer sa présence dans le monde virtuel). Il s'agit de l'intégration d'activités commerciales d'une entreprise dans un univers virtuel. A l'époque, tout le monde voyait Second Life comme l'aboutissement de cette tendance. Aujourd'hui, les social games sont devenus de vrais phénomènes agrégeant des millions et des millions d'utilisateurs et faisant la richesse de sociétés comme Zynga. Normal que les entreprises s'y intéressent et que des sociétés comme Zara, L'Oréal ou plus récemment La Redoute (La Redoute se lance sur les social games) investissent ces nouveaux territoires pour proposer des biens virtuels ou réels.

Le f-commerce est vu par de nombreux entreprises comme le futur du e-commerce. Facebook est le premier a voir le e-commerce comme le futur de son activité, mais est également le premier à dire que si cela se contente d'être une boutique intégrée sur une page Facebook, cela ne marchera pas car ne produira pas d'expérience sociale. J'ai abordé depuis quelques mois à plusieurs reprises ce sujet et vous laisse les (re)consulter : Et si on parlait F-commerce ?, Social shopping "Il faut arrêter de se focaliser sur les boutique Facebook" et Les pratiques de commerce en ligne sur Facebook ou F-commerce gagnent-elles vraiment en maturité ?. Le développement de situe à la fois dans l'intégration de vraies expériences marchandes sociales sur Facebook qu'elles passent par le biais des social games ou par le biais d'achats groupés par exemple, mais aussi la socialisation par les modules Facebook des sites e-commerce. Utiliser l'Open Graph Facebook et les boutons “like” sur les sites marchands permet de récupérer le “social graph” de la personne et de lui proposer des produits en adéquations avec ses besoins et centres d’intérêts afin de mieux cibler et mieux transformer.

 

Le t-commerce ou "tablet-commerce" vu comme le e-commerce depuis les tablettes numériques (certains parlent également de t-commerce pour le développement de son activité e-commerce depuis Twitter). Les tablettes numériques investissent notre quotidien même si la France reste à la traîne par rapport à ses partenaires Européens (entre 2% et 7% des Européens déclarent posséder une tablette et, ils sont 10% à 14% à envisager d’en acheter une. Pour la France, ce chiffre atteint respectivement les 2% et 10% ) et que l'usage reste encore réservée à une certaine tranche de la population (CSP+ et 46% des possesseurs de tablettes humériques en Europe ont moins de 35 ans - source Forrester, 2011). Bien entendu sur ce marché, l'iPad d'Apple domine (près de 80% du marché). Au niveau du développement de l'activité e-commerce, l'expérience tablette permet de proposer des boutiques totalement dynamiques proposant un confort de consultation totalement différent d'un simple site Internet. Ainsi, outre-Atlantique, Forrester révèle que les sociétés de vente en ligne affirment que leurs clients utilisent de plus en plus souvent une tablette pour commander, l’écran des téléphones étant trop petit pour permettre d’acheter en ligne de manière confortable.

Comme le disait Mark Zuckerberg, le e-commerce est le prochain territoire d'Internet qui doit le plus évoluer. Il est vrai qu'au travers de ses différentes composantes, sociales, support, expérience, le e-commerce n'en est encore aujourd'hui qu'à ses balbutiements. Prochain article e-commerce la semaine prochaine où j'aborderai une autre tendance...

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Les nouvelles tendances du F-commerce

Les nouvelles tendances du F-commerce | M-Market | Scoop.it
Vous n’êtes toujours pas convaincu par le F-commerce ? Eux, le sont.

Il y a quelques mois encore, j’écrivais un article sur l’avenir du F-commerce ainsi que de son énorme potentiel en termes de ventes et de rayonnement pour votre communauté.(à relire ici) Les marques présentes sur Facebook ont bien compris l’intérêt de mettre à disposition de leurs fans un nouveau mode de présentation de leurs produits. (...)
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The F-Commerce FAQ

A downloadable f-commerce FAQ – all you wanted to know about using Facebook as a platform for facilitating and executi...
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F-commerce : pas de décollage en 2011 selon une étude

F-commerce : pas de décollage en 2011 selon une étude | M-Market | Scoop.it
98% des e-commerçants devraient être pérsents sur Facebook d'ici à la fin de l'année, selon une étude de CCM-Benchmark. Mais très peu prévoient un site transactionnel.

98% des marchands en ligne seront présents sur le réseau social Facebook cette année, mais très peu d'entre eux y réaliseront des ventes, selon une étude publiée jeudi par CCM Benchmark Etudes. "A ce jour, la quasi-totalité des initiatives e-commerce sur Facebook se limitent à la publication de produits sur la page du distributeur avant de rediriger l'internaute vers le site d'e-commerce. Facebook est donc pour le moment surtout un pourvoyeur de trafic", indique l'étude.

Elle signale deux exceptions en France, Pixmania et la Redoute, qui "ont intégré le paiement sur le réseau social". Sur Facebook, 77% des sites n'ont pas prévu l'utilisation de dispositifs transactionnels.

En ce qui concerne le m-commerce (sur mobile), le nombre de sites devrait doubler cette année: 22% disposent d'un site ou d'une application transactionels et 22% l'ont prévu pour 2011. "Pour les acteurs qui le proposent, le m-commerce ne représente encore qu'une part infime du total des ventes: entre 0,2 et 1,1% du chiffre d'affaires internet. Seuls quelques acteurs comme Vente-privee.com ou eBay réalisent une part substantielle de leur chiffre d'affaires sur mobile", ajoute l'étude.

Cette étude a été réalisée en janvier et février avec les responsables de 57 sites de e-commerce, et trois plateformes fédérant 10 000 e-commerçants.
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