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Expression de plus en plus populaire auprès des médias et des élus locaux, la « ville intelligente » ou « smart city » interroge sur ce que sera la ville de demain. Derrière cette idée d’« intelligence », c’est une remise à plat complète des services publics et de la place du citoyen qui est en cours.
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Dans le cadre du projet démonstrateur "Lyon Smart Community", le quartier de Lyon Confluence accueille, depuis le 5 septembre 2013, un nouveau service de véhicules électriques en autopartage : SUNMOOV'.
Voiturez à l'énergie solaire ! Tel est la promesse affichée par la flotte de 30 véhicules électriques en libre service qui gagne le quartier deLyon Confluence.
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Paris, capitale du numérique ? Institutionnels et investisseurs chinois et américains étaient venus ce week-end faire le plein d’innovation à l’occasion du festival Futur en Seine.
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La ville de Nice et la société Gowex ont signé un accord pour l’extension du réseau de wifi gratuit dans la ville.La société espagnole Gowex, leader dans la création de Villes Wi-Fi Intelligentes (Wireless Smart Cities) et dans le transport intelligent a annoncé, le 17 mai, un accord signé avec la ville de Nice lui permettant d'ouvrir un nouveau service Wi-Fi municipal gratuit, disponible dans certains espaces publics de la ville.
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Montpellier Agglomération consacrera 4 millions d’euros sur trois ans pour faire de son territoire le « premier laboratoire urbain ».
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SmartData est une plateforme de mise à disposition de données qui vise à répondre aux enjeux de la ville intelligente. En donnant un large accès aux données publiques, cette démarche participe au dynamisme du territoire en favorisant la création de services et la participation citoyenne.
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Comment changer le regard du citoyen sur la ville grâce au numérique ? Pour répondre à cette question, la municipalité de Lille lance un appel à projet sur le développement de la ville numérique.
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Lyon a décidé de mettre la mobilité durable et la gestion d’énergies au centre de ses exigences pour l’avenir. Retour sur les initiatives lancées par la capitale des Gaules.
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L’événement 2013 : Innovative City Convention 2013 Nice·18 & 19 juin 2013 la ville intelligente et durable, cœur de réseaux humains
Les villes qui ont le plus marqué l’histoire sont celles où les gens aimaient se retrouver pour créer, entreprendre, parce qu’elles étaient plus ouvertes que d’autres ; les villes innovantes ont toujours été des cœurs de réseaux. Les défis sociaux, économiques et environnementaux auxquels sont confrontées toutes les villes, doivent être abordés aussi bien au niveau des quartiers, que des territoires plus larges. Les villes ne peuvent plus, en effet, être définies uniquement par leurs frontières. Les technologies et leur appropriation permettent la complémentarité entre les approches des services urbains et la participation des citoyens. la métamorphose des villes par l’urbanisation des technologies Une véritable politique d’urbanisation des technologies et d’architecture «durable» intelligente va transformer l’espace public et valoriser la ville au travers de nouveaux services intégrés. Les architectes et services d’urbanisme doivent associer des réseaux de capteurs avec des réseaux sociaux en y intégrant tous les domaines (énergies, eau, déchets, transports, sécurité, santé,..) pour faire des citoyens de véritables acteurs de la ville intelligente et durable. l’intelligence collective au cœur de la ville intelligente Les innovations techniques et sociales offrent la possibilité d’élargir l’espace public autour de l’engagement des citoyens, de la créativité et de la cohésion. Dans un contexte de découplage entre croissance économique et progrès social et, où l’investissement public actionnera l’investissement privé, les nouvelles approches de gouvernance partenariale sont fondées sur une concertation des habitants et des acteurs du développement territorial. La «smart city» du 21ème siècle s’oriente vers un espace plus social, lieu de partage et de projets collectifs où la communication et la coopération entre citoyens témoigneront de la modernité d’une ville. Innovative City Convention 2013, lieu de rencontres et «think tank» de la ville intelligente et durable, abordera ces thèmes fondamentaux au travers des témoignages et d’expertises d’acteurs internationaux. Des intervenants de la sphère publique et privée témoigneront de leurs expériences pour continuer à progresser ensemble dans la transition «smart city» des quartiers, des villes, des villages, des métropoles, ou des zones d’activités.
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De multiples innovations en matière de mobilité durable et de gestion de l'énergie doivent voir le jour cette année dans la capitale des Gaules.
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Bertrand Delanoë a signé avec Ed Lee, maire de San Francisco, une convention de coopération axée sur l’économie numérique et les villes intelligentes. Cette convention vient renforcer le partenariat établi en 2006, qui faisait des deux villes des « Digital sister cities », ou en français, des jumelles numériques. Dans le domaine des « Smart Cities », Paris et San Francisco se sont engagées à travailler main dans la main en faveur du déploiement de nouvelles solutions permettant de relever les défis de la Ville du XXIème siècle, avec en ligne de mire, la gestion de la pollution, des déchets, du trafic, de l'énergie ou encore de la mobilité…
Les deux villes seront ainsi des terrains d'étude et d'expérimentation pour les recherches menées par des instituts tels que l’INRIA ou le CITRIS, et partageront leurs données et leurs expériences en organisant un bilan annuel.
San Francisco et Paris sont toutes deux des capitales mondiales de l'économie de l’innovation, et leur décision d’établir une stratégie commune de développement économique va leur permettre de rapprocher leurs écosystèmes numériques respectifs.
Un accord qui leur permettra d’échanger de bonnes pratiques, et de mettre en place des passerelles entre les événements à forte visibilité, dans chacune des deux villes, comme par exemple Futur en Seine pour Paris, ce qui donnera aux entreprises une meilleure visibilité à l'international. A terme, la bi-localisation des startups en région parisienne et dans la Silicon Valley sera favorisée par les différents programmes spécifiques, ce qui donnera aux meilleures de ces jeunes entreprises une dimension et un marché d’envergure mondiale.
Suite à la signature de cet accord, conclu avec le soutien du Consulat général de France à San Francisco, une réunion de travail s'est tenue entre Anne Hidalgo, première adjointe, Ed Lee, maire de San Francisco, Jean-Louis Missika, adjoint chargé de l'innovation, de la recherche et des universités, Ron Conway, l'investisseur emblématique de la Silicon Valley et des entrepreneurs ayant connu l'expérience de la bi-localisation, dont Stéphane Distinguin, président de Cap Digital. Cet échange a permis d'identifier des pistes de travail concrètes pour les mois à venir.
Pour Jean-Louis Missika, « il est essentiel d'aider les startups parisiennes à se développer en Californie, où elles trouveront les capitaux et l'accès au marché américain essentiels pour leur croissance et la création d'emplois à Paris. De la même façon, Paris doit être la destination de choix pour les sociétés californiennes qui souhaitent s'implanter en Europe ».
LYON - A 10-20 km/h et avec huit personnes à bord, elle slalome entre les passants dans la plus grande artère piétonne de Lyon jusqu'à dimanche: Navia, une navette 100% électrique et autopilotée, est une prochaine brique de la ville intelligente que le maire Gérard Collomb veut édifier.
C'est ça l'avenir!, a lancé l'élu socialiste avant d'embarquer à bord de la navette blanche mise en service gratuitement mercredi rue de la République (2e arrondissement), sous le regard étonné des Lyonnais.
Cette circulation dans une rue piétonne est une première mondiale, a relevé Christophe Cairoli, directeur des opérations chez Induct, PME des Yvelines qui a mis au point l'engin. Celui-ci se distingue des autres navettes robotisées par le fait qu'il ne dépend pas d'autres relais pour circuler.
Navia avance sans encombre grâce à trois niveaux de capteurs, qui vérifient tous les 10 millièmes de secondes qu'il n'y ait pas d'obstacle sur son chemin. Elle dispose de 15 à 18 heures d'autonomie et son coût unitaire s'élève à 170.000 euros.
Outre les centres-villes piétonniers, la navette a vocation à se déployer sur des sites industriels, des aéroports, des parcs à thème. A partir de juin, elle circulera au sein du pôle santé sud au Mans, qui regroupe trois cliniques. Des campus universitaires aux Etats-Unis et en Asie s'y intéressent aussi, d'après Induct.
La démonstration lyonnaise se tient dans le cadre de l'exposition Lyon City Design (14-17 mars) et quelques jours avant le salon Innorobo (19-21 mars).
Via La Métropole de Lyon- M3
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L’agglo caennaise teste les nouvelles technologies de communication sans contact. Dans quelques mois, vous pourrez payer votre ticket de tram et de bus avec votre téléphone.
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L'institut de l'entreprise milite pour une révolution des services publics et des infrastructures urbaines afin de rendre la ville plus efficace
La vie devient smart (comprenez intelligente). Smart glass, smart watch, smart box… Et pourquoi pas une "smart city" et un "smart maire"? Alors que les élections municipales approchent à grand pas, l'Institut de l'entreprise a publié vendredi 15 novembre une étude intitulée "Smart cities. Efficace, innovante, participative : comment rendre la ville plus intelligente ?".
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Le modèle économique des villes subit actuellement de profondes altérations. L’ urbanisation comme seul moteur de croissance se voit aujourd’hui challengé par des conditions économiques et sociales dégradées, d’importantes réformes budgétaires et environnementales dont les effets sont encore mal appréhendés, et des tendances sociodémographiques confirmées. Face à de tels changements, les villes doivent se réinventer et devenir plus intelligentes dans leur gestion et leur développement en intégrant une gouvernance qui se veut plus participative.
INFOGRAPHIE - Les quartiers « intelligents » se sont multipliés ces dernières années en France et dans le monde. Ils ont le potentiel pour améliorer la vie des usagers, mais leur modèle économique n'a pas encore été trouvé.
Une première mondiale. C'est ainsi que la ville de Nice et Cisco, le géant informatique américain, revendiquent le «boulevard connecté», inauguré lundi dans la métropole de la Côte d'Azur
Via Morgan BANCEL
Strasbourg a marqué la troisième étape de l’exercice de prospective urbaine développé depuis 2007 par Eiffage sous le nom de Phosphore. La démarche se prolonge aujourd’hui à Grenoble.
Via PFibres
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En s’affichant « ville intelligente », Lyon ne fait pas dans la demi-mesure. L’ambition de son maire, Gérard Collomb, n’est ni plus ni moins, d’« induire un nouveau modèle de société écomobile », approche novatrice dans le prolongement de la ville durable.
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La ville durable est devenu le Graal pour les constructeurs immobiliers, les collectivités ou encore les sociétés de transport.
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Déjà en avance sur d'autres cités de taille comparable, Montpellier veut être un modèle de ville du XXIe siècle, une ville participative, inventive et durable. Rencontre avec son maire Hélène Mandroux.
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Après Lyon (vitrine des smart cities à la française), Grenoble (pionnière des réseaux intelligents), ou Brest (qui se rêve comme la capitale des énergies marines), Toulouse veut faire valoir ses atouts à l’heure de la transition énergétique . Connue pour son industrie aéronautique, la ville rose veut être à « l’avant-garde » de la recherche dans ces nouveaux domaines affirme son maire
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INNOVATION - La candidate à la primaire UMP livre ses pistes de programme à l'occasion du forum de l'innovation Futurapolis...Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate à la primaire UMP pour Paris, participe vendredi au forum de l'innovation Futurapolis à Toulouse (Haute-Garonne). L'occasion de révéler en exclusivité quelques idées.
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Ces cinq dernières années, le web social est devenu le canal de prédilection pour s’exprimer librement, donner son avis, réagir ou simplement manifester une opinion. Les marques et institutions l’ont rapidement compris en investissant ces plateformes communautaires pour s’accaparer leurs audiences et potentiellement les convertir. C’est ce qu’a fait Toulouse. Étude de cas.
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En 1900, 10 % de la population mondiale habitait dans les villes. Cette part a bondi à 60 % en 2012, elle atteindra 75 % en 2050 alors qu'à cette échéance, le nombre d'êtres humains aura explosé ; passant de 6 à 9 milliards d'individus. 9 milliards de bouches à nourrir, de corps à loger, chauffer, faire se mouvoir, éduquer, soigner, distraire... Le véritable mouvement du monde est là : il y avait sur terre 70 villes de plus de 5 millions d'habitants en 2000, il y en aura 400 en 2050 ! La mondialisation aura certes fait émerger des territoires nouveaux et des pratiques sociales inédites, elle aura surtout concentré entre les murs des cités un toujours plus grand nombre de personnes. Avec des conséquences incalculables. Dans Tous urbains, une revue en gestation (le premier numéro sort en mars), le collectif d'animation constitué d'architectes et d'urbanistes écrit : "On n'a sans doute pas suffisamment remarqué à quel point en deux ou trois décennies, la mondialisation effective de l'urbain s'est enclenchée et à quel point cela bouleverse jusqu'au schéma explicatif des sociétés. Pendant longtemps, on a cru que les modalités des rapports sociaux régissaient l'évolution des espaces de vie : d'où l'illusion d'une forme neutre de territorialisation du social au sens où le territoire ne constituait qu'une projection de l'organisation sociale. Aujourd'hui, en raison même de ce que produit l'urbanisation, l'urbain devient, par un spectaculaire renversement, totalement explicatif des sociétés et de leurs transformations." Futurapolis 2013 s'intéressera cette année à la ville intelligente. © Photoshot/ABACA Un monde connecté, mobile à pleine vitesse.Demain s'invente donc en ville. Et cette ville nouvelle - qui est déjà en chantier partout, en Chine ou en Amérique du Sud, mais en Europe et en France avec des rythmes et une intensité différentes - raconte ce que sera le monde qui se présente à nous. Un monde connecté, mobile à pleine vitesse. La belle augure ! Mais comment imaginer que ces ensembles immenses sur lesquels se concentreront des populations gigantesques ne produiront pas des processus sociaux nouveaux, et pour certains d'entre eux néfastes, voire contradictoires au "vivre ensemble" tel qu'on le connaît un peu partout sur la planète ? D'où l'importance du thème traité cette année à Futurapolis. Un tiers des débats durant ces trois jours tenteront de cerner les visions politiques (avec approche particulière pour la dimension municipale), les réponses technologiques portées par les chercheurs et les entreprises et les attentes des populations. On parlera éclairage, mobilité, électricité, chauffage, télécommunications, transport, sécurité, santé, "homme réparé", "Internet des objets", connexions des ordinateurs entre eux, des ordinateurs avec les objets de nos vies quotidiennes, bases de données géantes, robotique, commerce... Mais on parlera aussi danger sur les libertés individuelles, nouvelles habitudes de consommation, d'Internet et de partage, d'éducation... Les défis sont tellement nombreux qu'on peine à les recenser tous : économiques, énergétiques, démographiques, démocratiques, culturels... Et les attentes aussi. Six milliards d'urbains en 2050 et ce n'est plus l'urbanisme qui est en cause, c'est le sort de l'humanité qui se joue. André Syrota, P-DG de l'Inserm, Agnès Buzyn, P-DG de l'INCa, Alain Fuchs, président du CNRS, avec Franz-Olivier Giesbert Comment être au rendez-vous de cette histoire dans l'Histoire ? Comment concilier cadre de vie, confort des populations et sobriété énergétique ? Comment parvenir à un équilibre entre une technologie toujours plus performante qui ouvre sur des possibles inimaginables il y a peu et la maîtrise d'un mode de vie qui s'uniformise, autonomise les individus en même temps qu'il les isole, précarise et accroît les inégalités entre les riches et les pauvres, entre ceux qui gagneront les métropoles et ceux qui resteront à la campagne, en même temps qu'il permettra aux vieux dépendants de rester chez eux ou aux enfants d'accéder à des savoirs nouveaux. En plus d'être moteur, la ville sera ce miroir. Pourtant, cette révolution digitale est à peine discutée. Quand, aujourd'hui, un citadin français contracte avec EDF l'arrivée de son énergie chez lui, il est amené à rejoindre un réseau national et même européen et donc à formaliser cette adhésion par un contrat dont il est quasiment exclu. Un petit compteur bleu, longtemps, aura servi de témoin à cet échange aveugle. Je paye, tu m'approvisionnes. J'ignore tout de la manière dont est produite l'électricité, je fais confiance, je ne juge que la qualité du service et comme les coupures sont rares, je me contente de ce qui est. Sans faire attention à ce que je fais, sans trop savoir la manière (et le coût) d'obtenir ce que j'achète. Et moi producteur, moi État opérateur et arbitre, nous nous satisfaisons de cet état de fait. Pas ou peu d'accidents, aucune transparence, aucune implication dans la responsabilisation des acteurs. Mais demain, quand les vitres et les murs de son immeuble seront eux-mêmes créateurs de l'énergie qu'il consommera, il ne fait aucun doute que la nature du lien juridique de notre citadin sera moins importante que la relation des habitants de l'immeuble entre eux et la manière dont ils vont s'y prendre pour optimiser leur production et les économies qu'ils réaliseront. Quel Français a entendu parler de ce que les réseaux électriques vont bientôt transporter des données touchant à la santé, à la sécurité, à l'éducation... ? À Toulouse justement, mais dans d'autres villes aussi, des plateformes sont en cours de fabrication qui vont apporter des services nouveaux aux personnes. Ces outils changeront les comportements. Adieu compteurs à la papa et vive les relations informelles que les acteurs sauront établir pour gérer ensemble leur consommation. Il s'agira de s'auto-organiser en communauté là où aujourd'hui il est question de régulateur central, de distribution et de contrôle nationalisés, de service public universel. Et ce n'est qu'un exemple. Demain s'invente en ville. La ville de demain se virtualise, s'uniformalise, s'informalise, changera le rapport de tous à chacun, entre le local et global. Considérations fumeuses de visionnaires en mal de science-fiction ? Pas du tout. Cette ville est en marche. Allez demander à un Pékinois ou à un Mexicain si l'on vit de la même manière dans une ville avec dix ou vingt millions de voisins, avec ou sans la fibre optique, avec ou sans plan de construction. Même à Pékin, même à Mexico City, malgré tous leurs problèmes, demain s'invente en ville. Et l'on voit bien que l'innovation et l'innovation seule permettra de répondre aux défis qui sont devant nous. La politique et un hypothétique changement des comportements à l'échelle de la planète courent derrière. Le salut est d'abord technologique. Ce qui n'exclut pas, ni la volonté ni les bonnes décisions collectives. En anglais, la problématique a trouvé son expression, "smart", "smart city", il s'agit effectivement à la ville d'être intelligent. Pour résumer, soit la ville intelligente imposera ses solutions, soit la planète sombrera et nous avec : cette deuxième édition, nous l'espérons, devrait donc être animée. On y parlera OGM aussi et gaz de schiste. Pour autant, Futurapolis se veut le rendez-vous de toutes les innovations. Les start-up y auront la part belle. Il y sera donc question de la planète Mars (le Cnes amène la réplique de Curiosity, le Rover actuellement sur la planète rouge), d'alimentation (et de bonne bouffe !), de robots, de cerveaux, de lecture... Avec, cette année, une place toute particulière à l'animation hors les débats et pas que des choses à comprendre, mais à voir et à toucher. Le CEA et l'Inserm toucheront les plus jeunes par une exposition de BD, le CNRS installera sa wiki-radio, le cluster robotique de la région Midi-Pyrénées invitera ses petites bêtes froides, les colporteurs du savoir de la ville de Toulouse débarqueront sur leurs estrades, il y aura aussi des surprises et de la couleur (mais on ne vous dit pas tout). Bref, on se distraira aussi en même temps qu'on se cultivera. Comme l'année dernière, l'événement se veut expert ET citoyen, divers et tolérant. Les Toulousains et tous les autres sont donc les bienvenus et Le Point est ravi de les convier tous à ces trois jours de débats. Le son binaural de Radio France ! Soyez les premiers à vivre l'expérience du son binaural développé par Radio France au forum Futurapolis ! Equipé(e)s d'un casque stéréo découvrez un reportage de France Info avec un son comparable à celui du 5.1 d'un home cinema... L'expérience sera suivie d'une conférence avec des experts de radio France.
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L’accord de R&D entre l’agglomération de Montpellier, IBM, l’Idate et deux universités est centré sur le traitement de données hétérogènes. Parmi les applications: information des voyageurs des différents transports, gestion de l’eau, prévention des inondations, alertes par SMS… L’agglomération de Montpellier a signé un projet de recherche et développement avec IBM, l’Idate et les universitésMontpellier 1 et 2, destiné à lancer « le premier laboratoire urbain ». Le projet,communique IBM, a pour but de faire de l’agglomération de l’Hérault « un territoire attractif, innovant et visionnaire en matière de développement durable associé à son écosystème d’entreprises ».
La collectivité investira dans le projet 4 millions d’euros en trois ans, à compter de 2013. « Au cœur du projet, une plate-forme numérique destinée à collecter, agréger et stocker des données aujourd’hui gérées en ‘ silos’. Elle permettra la mutualisation de leur exploitation et favorisera l’invention de nouveaux usages démocratiques et économiques de ces informations. Cette plate-forme, hébergée dans le premier centre cloud d’IBM France, a pour socle l’IOC ‘Intelligent Operation Center’, une solution innovante capable de traiter en volume des données hétérogènes et de développer des modèles d’analyse pour anticiper les problèmes et réduire l’impact des perturbations sur le quotidien des usagers. »
Le projet de l’Ecocité a été amorcé en 2010, visant à mettre en place un démonstrateur de services urbains innovants. Ce contrat de R&D correspond au passage à l’expérimentation, autour de cinq projets: - une plate-forme collaborative autour d’un démonstrateur d’applications numériques afin de faciliter la création de nouveaux services urbains; - une plate-forme de mobilité multimodale en temps réel afin d’inciter les usagers à prendre les transports en commun ou toute solution alternative; - un projet sur l’eau et l’hydraulique intégrant la gestion des réseaux, le suivi de la consommation et la prévention des risques d’inondation (IBM a installé à Montpellier son centre européen d’excellence pour la gestion de l’eau); - un centre opérationnel multirisques et de gestion d’alerte par SMS; -un support NFC multiservices pour le commerce de proximité et les services de la collectivité. L’Ecocité s’étendra sur 2.500 hectares, de Castelnau-le-Lez à la mer en traversant Montpellier, Lattes et Pérols. L’agglomération explique que ce territoire « concentre toutes les grandes problématiques urbaines: transports (avec les lignes de tramway 1 et 3 et la future gare TGV), énergies (avec des expérimentations engagées à l’échelle d’îlots urbains), santé (avec un futur pôle gérontologique à Castelnau-le-Lez et un projet de pôle autonomie santé à Lattes), inondations (avec la vallée du Lez), logements et commerces (avec l’ambitieux projet de restructuration de l’avenue de la Mer), activités tertiaires (avec le projet OZ Montpellier nature urbaine). La cité intelligente se nourrira de tous ces thèmes. Avec un double objectif: inventer de nouveaux services, grâce au partage des données, et stimuler la croissance économique par l’innovation. » « En décidant de développer une plateforme d’open innovation, l’agglomération de Montpellier dote son territoire d’un outil au service des citoyens et des PME pour permettre de créer de nouveaux usages qui viendront améliorer la qualité de vie de chacun, a déclaré Philippe Sajhau, vice-président Smarter Cities d’IBM France. Montpellier Agglomération est la première collectivité à développer le concept d’open innovation au niveau national et à le faire de manière multisectorielle pour devenir plus compétitive et attractive économiquement. »
Photo: ClemensFranz via Wikimedia, sous licence Creative Commons CC by-sa
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