On n’arrête pas le progrès. Dans un sport où le moindre coup droit mal maîtrisé, où un simple revers trop long de quelques centimètres peut faire basculer un match, les acteurs du tennis mondial veulent à tout prix réduire leur chance de faire des fautes. Alors, on analyse et on décortique toutes les données possibles qui peuvent émaner d’une rencontre. Et ce travail tentaculaire, c’est IBM qui l’effectue sur les quatre tournois du Grand Chelem (Open d'Australie, Roland-Garros, Wimbledon et l'US