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Artelia clôt l'exercice 2022 sur un chiffre d'affaires en croissance de près de 12 % (833 M€) et un résultat d’exploitation en progression de 14 % (43,3 M€).
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Ainsi, Artelia s’est fixé pour ambition d’atteindre au niveau mondial un effectif de 10 000 collaborateurs et un chiffre d’affaires annuel à hauteur d’un milliard d’euros, au plus tard en 2025", ajoute Benoît Clocheret, président exécutif d’Artelia.
Le dirigeant d'Artelia dresse le bilan de l’année 2020 et envisage l’avenir avec sérénité grâce à la diversité des métiers de l'ingénieriste et un fort accent sur le développement à l’international.
Avec 6100 collaborateurs répartis dans 40 pays, notre chiffre d’affaires s’élève à 637 millions d’euros, soit un retrait de seulement 6,5 % par rapport à l’année 2019. La dégradation de l'activité a été limitée grâce à nos métiers diversifiés puisque nous œuvrons à 40 % dans les infrastructures et l’eau, à 40 % dans le bâtiment, et à 20 % dans l’industrie. Trois secteurs avec des dynamiques très différentes.
Le groupe Artelia annonce être entré au capital d'Openergy, start-up experte dans la simulation de la consommation des bâtiments et dans le suivi des contrats de performance énergétique (CPE). Ce partenariat permet à Artelia de poursuivre sa digitalisation, et d’accélérer son développement en matière de rénovation énergétique des bâtiments.
Le groupe Artelia renforce sa présence dans la région de Montpellier. Le 21 mars, le spécialiste de l'ingénierie - bâtiment, aménagement urbain, industrie, eau et environnement - a inauguré sa nouvelle agence à Pérols (34).
Une trentaine de personnes travaillera sur place à diversifier les activités locales du groupe, du Bâtiment à l'Aménagement urbain. L'effectif comprend les collaborateurs de l'ancienne agence montpelliéraine, ainsi que plusieurs co-équipiers de Nîmes et Béziers. La nouvelle implantation s'ajoute aux 300 personnes réparties dans les agences de la région méditerranéenne.
Benoît Clocheret, directeur général d’Artelia, dévoile au Moniteur les résultats d’activité de la première société française indépendante d’ingénierie. Le chiffre d’affaires, en progression continue depuis cinq ans, bondit de 8% sur la seule croissance organique. Sa structure financière consolidée permet à l’ingénieriste d’entrer dans une nouvelle phase de développement, marquée par l’essor des projets « clés en main » et une stratégie internationale réorientée vers l’Asie et l’Afrique.
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Notre croissance est notamment nourrie par la montée en puissance des projets « clés en main », où Artelia pilote et réalise l’intégralité des projets, depuis les études jusqu’à la livraison. Cette activité enregistre un chiffre d’affaires en augmentation de 60%, à 50 M€. Elle représente désormais 11% de notre chiffre d’affaires, avec l’ambition qu’elle continue de progresser. Elle devrait représenter, à horizon 2020, 20% de notre chiffre d’affaires global. Cette progression ne doit pas occulter la très bonne tenue des activités traditionnelles d’ingénierie de l’eau, des transports et du bâtiment, avec un marché de l’immobilier français de nouveau très actif.
Avec une croissance de 11 %, l'entreprise a franchi les 400 millions de chiffre d'affaires en 2015. L'activité internationale a crû de 15 % et représente 130 millions d'euros.
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Malgré un contexte difficile, Artelia a connu une croissance de 11 % en 2015, tirée en partie par de la croissance externe avec les rachats de Sher, spécialiste de l'eau en Belgique et au Rwanda, d'Intertecno, leader italien de l'ingénierie et du bâtiment, et de RFR, expert français dans les structures complexes. Le groupe, qui a embauché plus de 600 salariés l'an dernier, a un carnet de commandes lui assurant vingt mois d'activité.
A l'international, qui pèse un tiers du chiffre d'affaires avec 42 implantations, Artelia doit franchir un nouveau palier. « En 2015, nous avons organisé notre réseau en hubs, ouvert des filiales à Singapour et en Colombie, conforté notre partenariat mondial avec Shell pour deux ans, remporté un contrat majeur en Turquie dans le maritime », égrène Benoît Clocheret. Après une progression importante en Italie, dans les Emirats arabes unis et au Vietnam l'an dernier, le groupe compte ouvrir une filiale en Côte d'Ivoire pour en faire une plaque tournante régionale en Afrique occidentale.
Artelia ne connaît pas la crise. L’ingénieriste multidisciplinaire a connu une très belle année 2015, son chiffre d’affaires bondissant de 11% pour atteindre 405 millions d’euros et son résultat d’exploitation progressant de près de 8%. Mixant croissances organique et externe, Artelia poursuit son objectif de développement à l’international.
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La part internationale du groupe, dont Benoît Clocheret souhaite qu’elle atteigne à termes les 50%, est en progression plus douce, passant de 30% du chiffre d’affaires en 2014 à 32% un an plus tard.
Mais « le développement international se conforte néanmoins », poursuit le directeur général. Artelia devrait ainsi créer cet été une agence en Côté d’Ivoire. « Nous y travaillions jusqu’ici en mode projet dans le domaine de l’eau ». La future implantation devrait capitaliser sur ce secteur tout en proposant des prestations dans les infrastructures et le bâtiment. L’ingénieriste veut aussi poursuivre son développement en Amérique Latine, en s’appuyant notamment sur la Colombie, pays dans lequel il souhaite s’implanter via l’acquisition d’un bureau d’études multidisciplinaire.
Alors que son carnet de commandes représente « plus de 18 mois d’activité », Artelia compte poursuivre sa croissance en 2016, à un rythme peut-être un peu moins soutenu que l’année dernière, mais en continuant à actionner les « deux leviers de la croissance organique et de la croissance externe ».
Alors que la réglementation impose de plus en plus aux acteurs économiques de contrôler et de réduire leur impact sur l'environnement, les sociétés d’ingénierie et les bureaux d'études ont dû s'adapter pour intégrer ces enjeux, qui représentent désormais une part importante de leur activité.
Selon des estimations de la Commission européenne, les grandes sociétés d'ingénierie en Europe tiraient déjà en 2013 40% de leurs revenus de leurs activités liées à l'environnement.
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"Au départ, au début des années 2000, c'était considéré comme des contraintes réglementaires qu'il fallait appliquer", se souvient auprès de l'AFP Karine Leverger, déléguée générale de Syntec-Ingénierie, qui regroupe l'essentiel des acteurs français du secteur.
- 'une forte demande' -
La deuxième étape est venue de l'international, avec "une forte demande qui n'était pas réglementaire. Et aujourd'hui nous sommes dans une autre étape avec une forte demande de la population qui oblige les donneurs d'ordres à prendre en compte ces questions", explique-t-elle.
Preuve de cette évolution: Syntec-ingénierie s'est dotée il y a deux ans d'une entité axée sur l'environnement et la biodiversité.
Cette spécialisation se retrouve également dans les grands groupes du secteur, comme Egis ou Artelia par exemple, qui disposent de départements dédiés, avec des compétences spécifiques, par exemple dans l'efficacité énergétique.
Certains ont aussi fait le choix de se spécialiser, comme la PME Biotope. Créé il y a plus de 20 ans dans le but de protéger la biodiversité (faune, flore et paysage), ce bureau d'étude travaille sur des projets d'infrastructures ou d'aménagement du territoire.
"Alors qu'au départ, il s'agissait de s'assurer du respect de la réglementation, la nature de notre travail a évolué vers du vrai conseil ces dernières années", explique à l'AFP Jim Buzon, directeur de l'innovation de cette société de 240 personnes pour un chiffre d'affaires de 15,8 millions d'euros l'an dernier.
Elle compte parmi ses clients des groupes comme Bouygues, Eiffage et des gestionnaires de parcs éoliens.
Le groupe vietnamien Vingroup vient de signer à Hanoi et à Ho Chi Minh-Ville un accord de partenariat stratégique avec huit sociétés et firmes de premier plan au niveau mondial dans le secteur de la construction. Ces huit grandes sociétés sont spécialisées dans la conception, la consultation, la supervision et la gestion de projets.
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Les sociétés et firmes internationales en question sont la société britannique Atkins, la firme américaine Gensler,
l’agence d’architecture britannique Aedas, le groupe australien Aurecon, la société américaine Arup, la société britannique Mace, le leader de l’ingénierie française Artelia et la société australienne Meinhardt. Ces sociétés participent à de nombreux projets de construction de grand standing dans différents pays.
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À la tête de l’ingénieriste depuis un an et demi, l’ancien PDG de Safege est chargé d’accélérer l’internationali- sation du groupe
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Extrait : Page 11
Quelles sont les zones où Artelia va se développer à court terme ?
Au final, 50% de notre activité internationale est en Europe, 20% en Afrique, 20% au Moyen-Orient et 10 % dans le reste du monde. À l’avenir, je pense que la part de l’Europe va probablement décroitre un peu.
Europe ( Italie, Angleterre,,Espagne)
Afrique ( Maghreb, Afrique du Sud, Madagascar er Rwanda et Afrique Subsaharienne)
Moyent Orient
Amérique du Sud
Asie (Vietnam)
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Capables de parler, d'écouter, de bouger, voire de danser et de chanter, ils ont aussi le don d'ubiquité, animent des émissions de télé et sont également capables de jeux sexuels. Ne vont-ils pas devenir trop encombrants? Déjà, on parle de leur accorder un statut et des droits... Allons-nous les aimer ou les détester? Ou seulement les supporter, vu qu'on nous annonce qu'ils vont aussi « piquer » nos emplois. Dans beaucoup de métiers...
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Extrait :Plutôt que de détruire l'emploi, la robotique va surtout aider à accélérer la réalisation de macroprojets urbains, comme le Grand Paris.
Tel est, du moins, l'avis de Patrick Viceriat, directeur expert du pôle tourisme, loisirs et culture d'Artelia, une société française d'ingénierie de 3 500 personnes :
« Si l'on veut réaliser rapidement 41 stations de RER et 110 km de lignes, construire des milliers de logements, des parkings et aires de livraisons pour les véhicules autonomes... il faudra recourir à la robotique. Voire inventer certaines formes de robots, explique-t-il. C'est l'occasion de bâtir un écosystème de start-up pointues, d'incubateurs, de pôles de compétitivité où se retrouvent les donneurs d'ordres, les industriels et les start-up. »
Complexes mais accessibles, les marchés publics à l'étranger représentent une formidable opportunité pour les PME françaises. A la clef, une partie des 15 % du PIB mondial qu'ils représentent.
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Comme l'explique Jacques Gaillard, coprésident du groupe d'ingénierie Artelia : « Nous emmenons toujours des PME avec nous. Elles font partie de notre réseau et interviennent dans différents domaines comme les transports et la technique. »
BRESIL : Signature d’un Accord de Coopération entre DPG PLAN ARTELIA et PHARMAKO
DPG PLAN ARTELIA et PHARMAKO ont signé un Accord de Coopération majeur afin de pouvoir répondre conjointement à la demande croissante en matière de projets relatifs aux sciences de la vie au Brésil.
Ces sociétés seront ainsi en mesure de fournir des prestations globales, relevant de l’ingénierie spécialisée, de procédés innovants et de la technologie de pointe, pour des projets d’infrastructures industrielles et de R&D dans les domaines des produits pharmaceutiques, des sciences vétérinaires, des cosmétiques, de la biotechnologie et de l’aérospatiale. Un expert français en ingénierie des procédés a rejoint l’équipe de professionnels hautement qualifiés au Brésil pour diriger une entité consacrée aux sciences de la vie et à la technologie des salles blanches.
DPG PLAN ARTELIA est une société d’ingénierie et de management de projet, basée à Sao Paulo, disposant également d’une agence à Rio de Janeiro, offrant des prestations globales dans les domaines du bâtiment et de l’industrie, et notamment dans les sciences de la vie, les infrastructures de l’eau et l’environnement. DPG PLAN ARTELIA est la filiale brésilienne d’ARTELIA (www.arteliagroup.com), groupe international spécialiste de l’ingénierie, du management de projet et du conseil dans les secteurs de la construction, des infrastructures et de l’environnement. Fort de 3200 collaborateurs, ARTELIA est présent à l’international au travers de 40 implantations répartis entre l’Europe, l’Afrique, le Moyen -Orient, l’Asie et l’Amérique du Sud.
PHARMAKO (www.phk.com.br) est une société d’ingénierie et de management de projet, basée à Sao Paulo, offrant des prestations globales dans le domaine des sciences de la vie et pour tous les secteurs réglementés par les autorités sanitaires comme l’ANVISA (agence nationale brésilienne de surveillance sanitaire) et le MAPA (ministère brésilien de l’agriculture), y compris les produits pharmaceutiques, les sciences vétérinaires, les cosmétiques, l’agroalimentaire et les produits d’hygiène et de nettoyage. Après 12 ans d’existence sur ce marché, la société intervient aujourd’hui également dans les secteurs de la chimie et du textile.
Après une année 2020 marquée par la pandémie de Covid-19, l’activité d’Artelia connaît un fort rebond en 2021, avec un chiffre d’affaires consolidé de 745 M€, en hausse de 17 %, et un résultat d’exploitation en forte augmentation à près de 38 M€.
Fort de plus de 6700 collaborateurs, et bénéficiant d’un puissant ancrage en Europe et d’une belle dynamique en Asie Pacifique, le Groupe poursuit son développement et conforte sa position parmi les quinze premières ingénieries européennes et les grandes ingénieries mondiales.
Dans un contexte international marqué par l’urgence climatique et les tensions géopolitiques exacerbées, le Groupe affirme fortement sa volonté d’accompagner tous ses clients dans leurs projets de transformation écologique et numérique, en cohérence avec les objectifs de développement durable auxquels il entend contribuer.
Le challenger d'Egis, leader dans l'ingénierie de la construction et de l'industrie dans l'Hexagone, annonce ce mardi l'acquisition du danois MOE. La part de son chiffre d'affaires réalisé à l'étranger va passer de 30 % à 37 %, avec pour objectif d'atteindre les 50 % en 2025.
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En annonçant ce mardi l'acquisition du danois MOE, le groupe Artelia, numéro deux français de l'ingénierie derrière Egis, franchit une nouvelle étape de son développement international . Son chiffre d'affaires réalisé à l'international passe de 30 % à 38 %, se rapprochant de l'objectif de 50 % fixé à horizon 2025. Basée à Copenhague, MOE a développé une expertise dans le bâtiment, l'énergie et l'industrie. Il a des filiales en Norvège et aux Philippines, Artelia disposant désormais d'implantations dans plus de 30 pays, en Europe, Afrique, Moyen-Orient, Asie et Amériques.
Les actionnaires de la société danoise pourront réinvestir au capital d'Artelia, entreprise détenue par ses managers et salariés. Une façon aussi de faciliter l'intégration de MOE, dont les 82 millions d'euros de chiffre d'affaires pèsent peu comparés aux 550 millions d'Artelia. En nombre de salariés, en revanche, cette acquisition fait grimper les effectifs du groupe français de 5.000 à près de 6.000 collaborateurs
Le groupe français voit son chiffre d'affaires grimper de 10,5 % à 485 millions d'euros. Il vise les 570 millions cette année et poursuit son développement international.
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Le groupe d'ingénierie de construction Artelia a connu en 2017 sa sixième année consécutive d'expansion, affichant un chiffre d'affairesde 485 millions d'euros, en hausse de 10,5 %, dont 6 % de croissance organique. En octobre dernier, Artelia rachetait Auxitec , leader français en ingénierie industrielle fort de 900 collaborateurs et d'un chiffre d'affaires de 80 millions d'euros, soit sa plus importante acquisition depuis la constitution de ce groupe né du rapprochement de Coteba et Sogreah en 2010.
Le groupe indépendant annonce ce mercredi l'acquisition d'Auxitec. Il investit aussi en Asie et en Afrique.
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Avec 400 clients dans les domaines du raffinage, de la pétrochimique, de la chimie, de la mécanique, de l’aéronautique, du nucléaire ou encore de la pharmacie, Auxitec Ingénierie ouvre désormais une nouvelle page de son histoire. Le groupe havrais rejoint Artelia. Le rapprochement a été signé hier et l’acquisition par le leader français du secteur de l’ingénierie porte sur 100 % des parts d’Auxitec Ingénierie
Grâce à l’acquisition d’Auxitec Ingénierie, explique pour sa part Benoît Clocheret, le directeur général d’Artelia, nous devenons une ingénierie de référence en Europe avec près de 5000 collaborateurs et un chiffre d’affaires de 520millions d’euros. Nous sommes désormais le seul acteur français à associer de manière équilibrée de fortes compétences en ingénierie du bâtiment, des infrastructures, de l’eau, de l’environnement et de l’industrie.»
ls sont devenus tellement indispensables pour leurs projets à la pointe que l'entreprise a récemment formé deux télépilotes. Les drones sont de plus en plus utilisés par la société d'ingénierie Artélia, implantée depuis près d'un an dans le quartier du Lugo, à Choisy-le-Roi. Les possibilités qu'ils offrent ont été mises en avant, hier, à l'occasion d'une présentation des dernières innovations de l'entreprise.
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Depuis quelques mois, Artélia dédie plusieurs « Artedrones » au secteur du bâtiment. De quoi voir le « non-visible », explique Bernard Mercier, ingénieur et chef de projet chez Artélia : derrière des cloisons, pour détecter ainsi d'éventuels défauts d'isolation, vérifier la performance thermique d'un bâtiment, le tout en fonction de différentes caméras. Ou, par exemple, au niveau des façades qui peuvent être difficilement accessibles.
Autre projet à l'essai : monter un capteur optique sur un drone afin de pouvoir surveiller les cyanobactéries dans les milieux aquatiques, les algues agglutinées à la surface d'un lac par exemple. Objectif : faciliter les premiers prélèvements qui se faisaient jusqu'ici par des techniciens en bateau.
Des flacons sont descendus directement dans l'eau par les drones. La dizaine de paramètres mesurée est ensuite transmise à un ingénieur « à terre ». Un projet « novateur car ça n'a jamais été fait et il y a un besoin réel », se félicite le docteur Catherine Freissinet, responsable recherche, développement et innovation pour la branche environnement d'Artélia. Un test est en cours au lac de loisirs de Champs-sur-Marne, en Seine-et-Marne.
En 2015, Artelia poursuit sa croissance. De 2 500 collaborateurs et un volume d’activité de 250 M€ en 2010, le groupe emploie à ce jour plus de 3 500 personnes pour un chiffre d’affaires dépassant 400 M€ en 2015. Le résultat d’exploitation a continué de progresser pour atteindre 16,8 M€ en 2015. "Artelia est ainsi la première ingénierie indépendante en France, et confirme notamment son leadership dans les domaines de l’eau et du bâtiment", selon le communiqué de la société.
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Artelia poursuit le développement de son activité internationale en conjuguant les compétences apportées par les équipes françaises et les équipes locales très ancrées dans leurs pays d’implantation", poursuit le communiqué. Ainsi, en 2015, le chiffre d’affaires réalisé hors de France représente 32 % de l’activité d’Artelia, dont les 2/3 portés directement par ses 42 implantations internationales. L’année 2015 a notamment permis une progression en Italie, dans les Emirats Arabes Unis et au Vietnam.
"Le niveau d’exigence croissant des métiers de l’ingénierie nécessite un effort d’innovation continu auquel Artelia consacre 3 % de son chiffre d’affaires et en faveur duquel 800 de ses collaborateurs se mobilisent tout au long de l’année, souligne la société. A ce titre, le groupe est en pointe sur les démarches d’amélioration de la performance des bâtiments (avec notamment la généralisation du BIM -Building Information Modeling- sur l’intégralité des projets en 2016), ainsi que sur l’ingénierie de l’eau et de la ville durable au travers d’outils avancés de simulation et modélisation".
Pour accompagner son développement, Artelia s’appuie à la fois sur sa croissance organique mais également sur sa croissance externe. Ainsi, trois nouvelles sociétés ont rejoint le groupe en 2015 : Sher, spécialiste de l’eau et de l’environnement (Belgique et Rwanda), Intertecno, spécialiste italien de l’ingénierie du bâtiment (Italie) et RFR, agence spécialisée dans les structures et enveloppes complexes (France).
Récemment mis en liquidation, le cabinet d'ingénierie RFR cherche un repreneur. Deux projets sont lice : l'un porté par des salariés regroupés en Scop, l'autre par le leader du secteur Artelia.
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Décision du tribunal de commerce attendue jeudi 17 décembre.
Récemment mis en liquidation judiciaire, le cabinet d’ingénierie RFR faisait l’objet de deux offres de reprises. Le leader français de l’ingénierie Artelia a remporté la mise face à 13 salariés de RFR réunis en Scop.
L'entreprise est passée de 2.000 à 3.500 salariés en cinq ans et consacre 3 % de son chiffre d'affaires à l'innovation.
« On parle toujours des architectes, mais les ingénieurs aussi effectuent un acte de création en optimisant le travail de ces derniers », souligne Benoît Clocheret, directeur général. De 364 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2014 (15,6 millions de résultat opérationnel), le groupe devrait passer à 400 cette année, avec des clients à 55 % privés et 45 % publics.
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« L'international représente un tiers de notre activité et 900 personnes. Nous sommes présents dans 37 pays, surtout en Europe et en Afrique, mais aussi à Dubaï et à Oman, au Vietnam, au Laos, au Cambodge, au Brésil et nous réfléchissons à la Colombie », précise le directeur général.
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Ex patron de la fédération des ingénieurs, Syntec Ingenierie, Alain Bentejac préside maintenant le comité national des conseillers du commerce extérieur
Alain Bentejac est un ingénieur qui aime l'international. Ou un ancien haut fonctionnaire qui aime l'entreprise. C'est au choix. Enarque, il a effectué la première partie de sa carrière à la Dree (l'ex-direction des relations extérieures du Trésor) avant de basculer dans le monde de l'entreprise en prenant la direction puis la présidence de Coteba, un groupe d'ingénierie spécialisé dans la construction.
Tout en fusionnant ce groupe avec Sogreah pour donner naissance à Artelia, Alain Bentejac prend la présidence de la fédération Syntec Ingenierie. Ce goût permanent de la chose publique le conduira, à la fin de son mandat chez Syntec Ingenierie, à retrouver sa passion pour l'international en prenant la présidence du comité national des conseillers du commerce extérieur français (CNCCEF). Un réseau composé de 4200 membres cotisants (deux tiers expatriés, un tiers en France) qui connaît une mutation progressive depuis quelques années.
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Ingénierie : les petits cabinets tirent mieux leur épingle du jeu
Surprise au sein du secteur de l'ingénierie et de la R & D : de grandes sociétés comme Altran ou Alten n'apparaissent pas dans notre classement. En revanche, des entreprises plus petites et plus spécialisées ont été mieux notées par leurs équipes, à l'image d'Artelia dans les infrastructures, d'Egis (filiale de la Caisse des dépôts) dans les transports ou encore de Ginger CEBTP dans la construction. Serait-ce un problème de taille ? Dans les structures plus modestes, ingénieurs et consultants ont souvent le sentiment d'être mieux traités et considérés par leurs managers, et de ne pas faire simplement de l'intérim de luxe. Le Commissariat à l'énergie atomique, grand laboratoire public, pourrait sembler un intrus dans ce classement. En réalité, le CEA a une activité grandissante et très réputée de conseil en R & D auprès des entreprises.
Le Groupe Artelia a lancé en 2013, ARTELIA Hospitality, un cluster de centres de compétences dédié à l’hôtellerie. C’est une réponse spécifique apportée aux attentes de plus en plus exigeantes et complexes du monde hôtelier à l’échelle internationale.
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Ce cluster de centres de compétences intervient actuellement sur une quarantaine de projets dans le monde, parmi lesquels la restructuration du prestigieux Palace Hôtel de Crillon à Paris, la construction de l’hôtel IGH Melia à la Défense, la rénovation de l’hôtel Sanderson à Londres, la construction du JWMarriott à Casablanca, la réalisation du Park Hyatt à Marrakech, la construction du MeridienSaigon au Vietnam, le Alila Villas Koh Russey Resort au Cambodge.
Artelia conclut une opération qui pérennise un actionnariat interne à plus de 95%. Elle comporte trois volets essentiels : transmission de 30 % du capital vers les dirigeants et managers, montée en puissance du fonds commun de placement d’entreprise (FCPE Artelia) dont la part au capital dépasse pour la première fois 10 % du capital, entrée au capital de CM–CIC Capital Finance.
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