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Dans le cadre de l'Accord de Paris, tous les pays signataires se sont engagés à revoir leurs contributions climatiques à la hausse d'ici 2020. Selon l'ONU, 80 pays sont prêts à le faire. C'est déjà presque la moitié du chemin à parcourir.
La sortie des Etats-Unis de l’Accord de Paris, annoncée en juin, a lancé un premier signal négatif. Depuis, de nombreux rapports font état d’un écart inquiétant entre les objectifs collectivement acceptés à Paris et les actions réellement entreprises. Les pays riches pèchent par frilosité sur le plan financier tandis que les pays en développement sont très en retard dans l'élaboration de politiques climatiques susceptibles de leur permettre d'atteindre leurs engagements. Un écart que l’ONU juge "catastrophique" entre actions et besoins. Comme toujours, ce sont les financements qui posent problème. En l’état, l’Accord de Paris semble compromis. Faut-il alors changer de paradigme et réfléchir à un plan B ? Taxer les extractions et les externalités du carbone plutôt que ses émissions : voilà une alternative intrinsèquement plus incitative et opérationnelle pour dépasser les blocages et les limites à la transition énergétique. C’est le résultat d’une analyse de Jacques de Gerlache, (éco)toxicologue, membre actif du Club de Rome, manager de GreenFacts et Romain Ferrari, Président de la Fondation 2019, think tank sur les liens entre écologie et économie. Démonstration et explications.
Il n'a perdu espoir de «convaincre» son homologue américain Donald Trump de réintégrer ce
Via Hubert MESSMER
125 villes, 9 États, 902 entreprises et 183 universités ont envoyé un message au monde ce lundi 5 mai. Bien que le gouvernement fédéral ait quitté l’Accord de Paris, la société civile et les acteurs économiques feront en sorte que les promesses de réduction des émissions de la première puissance mondiale soient respectées. Pour cela, ils se sont réunis sous l’initiative "We Are Still In" (Nous sommes toujours dans l’Accord de Paris).
La COP22 se tient du 7 au 18 novembre à Marrakech. Comme chaque année depuis 1995, les États parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) vont se réunir pendant 2 semaines pour parler climat. Novethic vous donne les clés pour comprendre ces négociations essentielles pour espérer limiter le réchauffement climatique dans les prochaines années.
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Jusqu’au 14 décembre, les 197 parties à la Ccnucc, la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, se retrouvent à Katowice, en Pologne, pour la COP24. L’enjeu est de taille puisque trois ans après l’adoption de l’Accord de Paris, il s’agit d’adopter officiellement les règles de son application. Les États du monde entier devront aussi envoyer le bon signal pour une relève des ambitions en 2020, alors que les alertes des scientifiques se multiplient.
Dans la perspective du bilan mondial des efforts accomplis par les Etats en matière de lutte contre le réchauffement fixé en 2023, le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat annonce une série de publications.
Via Hubert MESSMER
Augmentation de l’amplitude des marées, blanchiment des coraux, érosion des côtes : le gouverneur d’Hawaï a rappelé combien le réchauffement climatique est une réalité quotidienne dans l’archipel de 137 îles.
Via Hubert MESSMER
Tours, ponts, bâtiments administratifs... bon nombre de lieux emblématiques de New York et d’autres villes américaines ont été illuminés en vert. Une façon de marquer l’opposition à la décision de Donald Trump de quitter l’Accord de Paris.
L’aviation civile internationale (OACI) a adopté, jeudi 6 octobre, un système de compensation de ses émissions de CO2. Un accord jugé historique par de nombreux observateurs... et décevant pour d'autres. Se pose maintenant la question de son application concrète. Cette annonce reste de bon augure à un mois de la COP22 et quelques jours après la ratification de l’Accord de Paris par l’Inde, l’Union européenne et le Canada.
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