Chanvre, cellulose, coton ou lin, les isolants végétaux prennent de l’essor. Aussi performants et faciles à mettre en oeuvre que les laines minérales ils sont souvent plus sains et stable, mais coûtent également plus chers.
Face aux préocupations environnementales, les isolants naturels, dits également biosourcés, suscitent de plus en plus l’intérêt. Bien qu’issus de matières premières renouvelables, ils doivent respecter un certain nombre de conditions, à l’instar des autres produits d’isolation, pour être compétitifs: faible consommation d’énergie pendant leur fabrication, leur transport et leur mise en oeuvre, performances thermiques et acoustiques, être recyclables ou réutilisables en fin de vie… et sans impact nocif sur la santé!
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Une diversification assez singulière dans le domaine des biosourcés. Bravo Thierry !