Atteintes à la réputation ou à la marque, cybercriminalité, risques politiques et terrorisme sont quelques-uns des risques auxquels les organisations privées et publiques, quels que soient leur taille et leur domaine d’activité, doivent faire face de plus en plus fréquemment. La toute dernière version d’ISO 31000, qui vient de paraître, vise à aider à gérer ces incertitudes.
Via Stéphane NEREAU
Il ne s’agit donc pas d’une simple révision de la norme ISO 31000. Cette dernière édition va plus loin, elle approche différemment la façon dont nous allons demain gérer les risques. En ce qui concerne la certification, ISO 31000:2018 établit des lignes directrices, et non des exigences, et n’est donc pas destinée à des fins de certification. Les responsables disposent ainsi de la flexibilité nécessaire pour mettre en œuvre la norme en fonction des besoins et des objectifs de leur organisme.