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La fameuse "pause" du changement climatique ? Un simple biais instrumental démontre une étude un peu trop négligée par la presse. Parue dans le Quarterly Journal of the Royal Meteorological Society, elle est signée Kevin Cowtan (Université de York, Grande Bretagne) et Robert G. Way (Université d'Ottawa, Canada). Elle ne sera pas prise en compte par le rapport 2014 du Giec, car la partie scientifique de ce dernier est déjà close: http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/10/le-rapport-du-giec-disponible-sur-le-web.html.
Via GEN-DP
En septembre 2013, le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a sorti le premier volet de son 5e rapport d'évaluation. C'est un rapport central dans la connaissance de l'évolution de notre climat et dans la construction de la décision politique sur le changement climatique. Le dernier, daté de 2007, soulignait déjà l'urgence à agir et l'importance de maintenir le réchauffement planétaire en deçà de 2°C, seuil de viabilité de nos écosystèmes et de notre climat.
Le changement climatique va nettement peser sur la croissance de plusieurs pays du Pacifique, dont beaucoup sont des archipels, indique une étude de la Banque asiatique de développement (BAsD) publiée mardi, qui demandent aux nations responsables d'apporter leur aide.
La conférence de Varsovie a posé le cadre du futur traité international de réduction des gaz à effet de serre. L'Europe en ressort affaiblie.
Devant l’évidence d’une multiplication des catastrophes climatiques, la réalité du réchauffement de la planète ne peut plus être niée. Le rapport de la Banque mondiale sur le sujet, publié lundi 18 novembre, est accablant. Les conséquences financières des catastrophes naturelles s’élèvent depuis dix ans à près de 200 milliards de dollars par an, soit quatre fois plus que dans les années 80. Les pays pauvres, qui payent le plus lourd tribu, en ont appelé au soutien des pays riches, lors de la conférence des Nations unies sur la lutte contre le changement climatique, à Varsovie.
Le forum national sur le changement climatique organisé au Sofitel de Phnom Penh a laissé un goût insipide dans la bouche de certains panélistes. Serait-ce dû au trop plein de langues de bois ou bien aux buffets trop copieux qui furent servis durant les trois jours ? Quoi qu’il en soit, le bilan est maussade.
Plus de la moitié des efforts que la Belgique fournit pour honorer ses engagements climatiques repose sur l'achat de d'"air frais", c'est-à-dire des quotas d'émission de CO2 à l'étranger, a avancé 11.11.11 dans un rapport dont fait état mercredi "De Morgen".
L’année 2013 est en passe de devenir l’une des dix années les plus chaudes depuis le début des relevés modernes, en 1850, selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Les neuf premiers mois de l’année, janvier à septembre, caractérisés par une température moyenne à la surface des terres et des océans supérieure d’environ 0,48 °C (0,86 °F) à la normale calculée pour la période 1961-1990, se situent, à égalité avec 2003, au septième rang des plus chauds à ce jour. La déclaration provisoire de l’OMM sur l’état du climat mondial en 2013 est publiée alors que se déroule la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques organisée à Varsovie.
Publié ce mardi 12 novembre, le rapport annuel de l’Agence internationale de l’énergie confirme un réchauffement de 3,6°C d’ici la fin du siècle. Si nous ne faisons rien de plus, évidemment.
C'est une lugubre entrée en matière dont la 19e Conférence des Nations unies sur le climat, réunie depuis hier à Varsovie, se serait sans doute bien passée. Mais comment ne pas faire le rapprochement entre le typhon Haiyan et le réchauffement de la planète ? Ce nouveau cataclysme et son impact dévastateur s'ajoutent au « poids de nombreuses réalités qui donnent à réfléchir », a pointé Christiana Figueres, la responsable climat de l'ONU, en ouverture de ce sommet qui réunit plus de 190 pays.
Le changement climatique pose un défi à l'humanité toute entière. La lutte contre le changement climatique représente un enjeu majeur pour l'existence et l'avenir de l'humanité ainsi que pour les intérêts de tous les pays sans aucune exception. Le changement climatique est un problème global, la réponse doit être aussi globale. Il faut une coopération planétaire, une coordination plus étroite des politiques et des actions réelles pour y faire face efficacement, et atteindre par-là le double objectif de la bonne gouvernance de l'écosystème et du développement durable du genre humain.
La "pause du réchauffement climatique" est au climato-sceptique ce que le poumon est au Malade imaginaire. Que vous vous intéressiez ou non au climat,vous avez nécessairement entendu parler de cette énigmatique "pause du réchauffement" (lien abonnés) : depuis quinze ans, la température moyenne mondiale n’augmente plus, en dépit de la quantité toujours plus importante de gaz à effet de serre accumulés dans l’atmosphère. Certains audacieux exégètes de la science climatique assurent même que le thermomètre baisserait... Le réchauffement, donc, c’est fini !
Via Hubert MESSMER
La stratosphère réagit à l’augmentation de la température de l’air à la surface de la Terre. Elle augmente sa quantité de vapeur d’eau, puissant gaz à effet de serre, et contribue donc à l’amplification du réchauffement du climat terrestre.
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Une étude internationale passe en revue les progrès des législations climatiques de 33 pays. Si les pays du Sud affichent de bons résultats, les développements récents dans les pays industrialisés suscitent des inquiétudes.
La 19e Conférence de la Convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique qui a duré deux semaine a achevé son travail à Varsovie tard le soir du samedi 23 novembre, soit une journée de plus que prévue.
84% des Français se disent prêts à utiliser les biocarburants dans leur véhicule, selon le 4e baromètre Ipsos « les Français et le bioéthanol ».
La France a été officiellement nommée vendredi à Varsovie pays hôte de la conférence climat en 2015, date à laquelle doit être conclu le grand accord sur les réductions d'émissions de gaz à effet de serre.
Les grandes ONG environnementales ont quitté jeudi, la conférence internationale sur le climat à Varsovie, qui se termine ce vendredi. Elles dénoncent le manque de progrès vers un accord général réduisant les émissions de gaz à effet de serre.
À l'occasion de l'ouverture du segment de haut niveau de la Conférence de Varsovie sur le changement climatique, Globaïa, un organisme québécois d'éducation aux changements globaux, a mis en ligne hier un tout nouveau court métrage, CLIMATE CHANGE - THE STATE OF THE SCIENCE.
Alors que l’Australie est classée parmi les pays les plus vulnérables aux changements climatiques, une équipe de scientifiques cherche à mesurer l’impact du réchauffement climatique sur la séquestration du carbone par les plantes.
Le Japon devrait allouer 100 milliards de dollars pour les initiatives publiques privées nationales et à l'étranger afin d'aider à la lutte contre le réchauffement climatique durant les 5 prochaines années. L'aide est destinée à favoriser le développement de technologies permettant de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES), telles que les éoliennes offshores, les véhicules à piles à combustibles et l'isolation performante des habitations de particuliers.
La 19ème conférence climatique de l'ONU (COP19**) sur la réduction des émissions mondiales de carbone après 2020, se déroule avec la participation de 192 pays, depuis lundi à Varsovie jusqu'au 22 novembre.
A l'occasion de la conférence sur le climat 2013 à Varsovie, le CGSP publie en exclusivité deux notes d’analyse : Vers un accord climatique en 2015.
Sous la pression d’intérêts extérieurs et industriels, la Commission européenne a présenté, mercredi 16 octobre 2013, une proposition au rabais, modifiant la directive incluant l’aviation dans le marché carbone européen. L’eurodéputé Peter Liese (PEE) a été nommé rapporteur de la mesure.
Le projet Cecile s'est intéressé aux interactions entre le niveau de la mer et le recul du trait de côte. Présentation des premiers résultats avec Gonéri Le Cozannet, chargé de recherche à la direction des risques et de la prévention du BRGM, unité Risques Côtiers et Changement Climatique.
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Faut-il croire les indicateurs et si oui lesquels?