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Pour l'industrie, le boom du pétrole de schiste aux Etats-Unis ouvre une voie capable de repousser sine die le déclin de la production mondiale de brut. Une voie étroite, vu le dernier pronostic publié par l'administration Obama. Tout autour du globe, la course de crête est lancée !
EDF Energies Nouvelles a annoncé l'acquisition de son 6ème parc éolien dans l'Etat du Texas aux Etats-Unis : Spinning Spur 3, une installation d'une puissance de 194 MW dont la mise en service est attendue d'ici la fin de l'année 2015.
Le département américain des Transports (DoT) a prévenu jeudi que le pétrole extrait des gisements de schiste du bassin de Bakken, dans le nord des Etats-Unis, était probablement "plus inflammable que le pétrole brut traditionnel".
L’industriel allemand Siemens a annoncé lundi avoir remporté sa deuxième grosse commande dans l’éolien en dix jours aux Etats-Unis, pour un parc éolien en mer d’une capacité future de 468 mégawatts au large du Massachusetts (nord-est).
L'un des enjeux majeurs de toutes sociétés est l'accès à l'énergie. Dans ce contexte, beaucoup voient les énergies renouvelables jouer un rôle prépondérant dans le futur et cela pour trois principales raisons : la pénurie annoncée à moyen terme des énergies fossiles (conventionnelles et non-conventionnelles), la demande croissante mondiale en énergie et la prise de conscience de la nécessité de préserver la planète. Parmi les différentes ressources d'énergies renouvelables disponibles, l'énergie solaire a le potentiel énergétique le plus important : la quantité d'énergie solaire que la terre reçoit en une heure était en 2002 supérieure à la consommation annuelle mondiale. Cependant, aujourd'hui, l'énergie solaire représente moins de 1% de la production mondiale d'énergie contrairement aux énergies fossiles qui en constituent à elles seules 85% [1]. Différents facteurs expliquent cette divergence : le faible rendement et le coût de production élevé des cellules solaires mais également la nécessité de stocker cette énergie intermittente [2].
L'énergie solaire arrive bonne dernière du mix énergétique aux Etats-Unis mais elle connaît depuis l'an dernier une croissance phénoménale qui devrait se poursuivre dans les 20 années à venir.
Les grands groupes agroalimentaires américains sont souvent présentés comme des machines à profit et, à ce titre, associés à des productions peu respectueuses de leur environnement écologique ou social. Les consommateurs sont sensibles à ces informations, qui se répercutent sur les ventes. Après les premières tentatives infructueuses de greenwashing [1], on observe la naissance d'une tendance durable, où relocalisation des chaînes de production et renforcement des capacités des producteurs permettent concomitamment aux entreprises agroalimentaires de développer leur image et de sécuriser leur chaîne d'approvisionnement. Et les consommateurs apprécient.
Rebondissant sur un récent rapport de l’Agence internationale de l’énergie, les médias dominants ont proclamé que les Etats-Unis connaitraient bientôt l’indépendance énergétique. Une perspective fort incertaine, comme on le constate si on analyse précisément la méthode suivie par ce rapport.
Les Etats-Unis, déjà premier producteur de gaz, pourraient devenir numéro un mondial du pétrole l'an prochain. De quoi bouleverser les grands équilibres. Le point à l'occasion des Journées annuelles des hydrocarbures.
C'est là que le boom des gaz de schiste a commencé. C'est là aussi que le déclin semble s'amorcer. Les champs de Barnett et de Haynesville, dans le Sud des Etat-Unis, ont franchi leur pic de production respectivement en novembre et décembre 2011.
L'Union européenne et les Etats-Unis ont engagé, le 8 juillet dernier, des négociations pour créer la plus grande zone de libre-échange au monde.
Près de la mer de Salton (États-Unis), près de la faille de San Andreas, les centrales électriques à énergie géothermique peinent à renvoyer dans les profondeurs toute l’eau qu'elles en extraient. Résultat : la terre tremble.
Protéger l'environnement est bénéfique pour l'économie et la création d'emplois, comme le démontrent des décennies d'expérience au niveau national. Ce constat, estime la nouvelle haute responsable de l'environnement aux États-Unis, devrait mettre un terme au débat sur le " faux dilemme " qui fait couler beaucoup d'encre dans ce pays, à savoir l'affirmation selon laquelle la protection de l'environnement entrave la croissance économique.
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Les consommateurs américains et européens sont responsables d'une partie de la pollution industrielle en Chine où sont produits un grand nombre des biens qu'ils achètent, conclut lundi une étude.
Le groupe industriel allemand Siemens a annoncé avoir signé un contrat avec le développeur américain Cape Wind Associates, pour la livraison de turbines et la maintenance d'un parc éolien en mer aux Etats-Unis. Baptisé Cape Wind, ce parc éolien offshore, d'une puissance de 468 mégawatts, sera situé sur la côte nord-est du Massachusetts, à 20 km de l'île de Nantucket.
Le producteur d'énergie renouvelable, Akuo Energy, a annoncé le 24 décembre le lancement par sa filiale américaine de la construction de son projet éolien Rocksprings basé aux Etats-Unis.
Le partenariat transatlantique devrait permettre aux investisseurs d'attaquer des Etats sur leur règlementation, selon Karel de Gucht, commissaire au commerce. Une hypothèse qui nuirait sérieusement aux règles environnementales de l'UE.
Avec une production de 547,9 kBep/j1 en 2012, les Etats-Unis sont de loin le premier producteur de biocarburants et représentent 45,4% de la production mondiale2. Alors que le Brésil dominait ce secteur jusqu’en 2006, les Etats-Unis ont mis en place une législation volontariste qui a favorisé l’essor de cette industrie.
Les villes ont un impact environnemental considérable dont les répercussions sont globales. Bien qu'occupant seulement 2% de la surface terrestre, elles mobilisent les deux tiers de l'énergie produite sur notre planète. Le processus d'urbanisation continue de s'accélérer, notamment dans les nations émergentes : les villes accueillent aujourd'hui 50% de la population mondiale, un nombre qui devrait atteindre 66% en 2050. La planification de l'espace urbain, notamment lorsqu'il s'agit de métropoles, apparaît donc comme un levier essentiel dans l'élaboration de sociétés modernes plus durables [1-2]. La réalité économique le rappelle : les villes dépensent 10% à 45% de leur budget dans des secteurs où la durabilité (selon le triptyque classique environnement-économie-équité sociale) est un enjeu majeur (par exemple les transports, le traitement de l'eau et la gestion des déchets) [3].
EDF Energies Nouvelles a annoncé récemment la mise en service de la centrale de Pinelands (Caroline du Sud) par sa filiale américaine, EDF Renewable Energy, produisant une énergie renouvelable à partir de bois de récupération.
L'administration américaine a estimé à 150 milliards de dollars le coût des coupures de courant pour l'économie du pays. De son côté, l'Energy Information Administration a évalué les pertes en ligne annuelles à 270 TWh, soit 8% de la consommation électrique américaine. Selon l'American Society of Civil Engineers, 70% des lignes de transport ont été installées il y a plus de 25 ans. Enfin, le Lexington Institute a publié en janvier 2013 un rapport mettant en exergue que l'âge moyen des transformateurs aux Etats-Unis est de 42 ans alors que leur durée de vie initiale était de 40. [1]
Même en supposant que leur exploitation finisse par être partout autorisée, les gaz et le pétrole de schiste ne provoqueront pas en Europe un choc économique de même ampleur qu'aux Etats-Unis. Les gaz de schiste sont devenus en France l'objet de tous les fantasmes. Et feront encore l'actualité cette semaine, puisque le Conseil constitutionnel doit rendre vendredi un avis très attendu sur la loi interdisant dans l'Hexagone la technique permettant de les exploiter... Lever cette interdiction permettrait selon leurs partisans de réduire notre facture énergétique, de restaurer la compétitivité de notre industrie, de créer des centaines de milliers d'emplois. Car, selon l'US EIA, une administration américaine de statistiques sur l'énergie, l'Hexagone recélerait des réserves de gaz et de pétrole de schiste considérables : 3.870 milliards de mètres cubes de gaz et 4,7 milliards de barils de pétrole. Soit, près de quatre-vingts ans de consommation pour le gaz, et près de soixante ans pour le pétrole. De quoi alimenter les rêves les plus fous. Les Français ne sont pas les seuls à fantasmer ainsi. La Pologne espère réduire sa dépendance à l'égard de la Russie, la Grande-Bretagne compte compenser le déclin de ses champs en mer du Nord...
Au delà des appels attendus à la signature d'un accord en 2015, les commentaires des principaux Etats au rapport du Giec sont dominés par la sobriété. Des réactions a minima qui traduisent une certaine prudence après l'échec de Copenhague.
La construction de Newberry Solar 1, un projet de centrale solaire de 1,5 MW situé dans le Comté de San Bernardino (Californie) qui utilise la technologie de modules photovoltaïques à concentration (CPV) de Soitec a été finalisée récemment.
Malgré l'embellie du secteur, General Electric (GE) fait marche arrière dans l'énergie solaire deux ans après y avoir annoncé des investissements massifs, ayant pris trop de retard dans la course aux baisses de coûts.
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En prenant en compte les agrocarburants, les liquides de gaz naturel et les condensats, la production totale de toutes les formes de carburants liquides aux Etats-Unis pourrait dépasser 14 millions de barils par jour. Ce serait la production la plus élevée jamais atteinte par un pays dans l'histoire. Cette production totale devrait elle aussi plafonner en 2016, et entrer en déclin en 2020 :