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Le Comité sur la Science, l'Espace et la Technologie de la Chambre des Représentants des Etats Unis a organisé une audition (hearing) sur les procédures du Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC) [1], auquel ont assisté de nombreux élus républicains, des attachés parlementaires et des membres d'ONG et de think tanks. Sans surprise, cette session a été l'occasion pour les élus républicains et les intervenants qu'ils avaient choisis (tous climato-sceptiques) de répéter leurs critiques à l'égard du GIEC, dans une atmosphère assez tendue avec les quelques représentants démocrates.
Une taxe américaine sur les panneaux solaires mécontente Pékin. Le département américain du Commerce a jugé mardi que les importations chinoises de cellules photovoltaïques bénéficiaient d'aides publiques indues et a recommandé de taxer ces produits jusqu'à 35%.
Faciliter l'intégration des énergies renouvelables sur le réseau et mieux gérer les pointes de consommation électrique en effectuant du report de charge : voici les deux bénéfices majeurs soulignés par le département de l'énergie américain justifiant l'intégration accélérée de technologies de stockage distribué sur le réseau électrique national [1]. La Californie, le Texas ou l'état de Washington se sont rapidement fait l'écho des autorités fédérales en proposant des cadres locaux de développement du stockage distribué. Au-delà de ces applications propres à la distribution d'électricité, et si l'on regarde du côté de l'électronique grand public et des véhicules électriques et hybrides, les défis liés à la maturité technologique et la rentabilité économique du stockage d'énergie sont toujours d'actualité. Conscients que le chemin est encore long avant d'assurer la compétitivité du stockage électrochimique aux Etats-Unis, les autorités publiques, les industriels et les acteurs de la société civile multiplient les initiatives de soutien à la filière. Rapide tour d'horizon de la régulation actuelle et des programmes en cours.
La Maison Blanche réagit à un rapport d'experts s'alarmant notamment de l'augmentation croissante de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.
C’est en tout cas ce qu’affirme une équipe de scientifiques américains qui se sont penchés sur un phénomène inquiétant qui concerne essentiellement la partie ouest des Etats-Unis.
La Chine a renvoyé plusieurs centaines de milliers de tonnes de maïs américains après y avoir détecté un Organisme Génétiquement Modifié (OGM) non-autorisé. Veille sanitaire ou arme commerciale ? Une chose est sûre, le contrôle des OGM s’invite dans la régulation du commerce agricole international.
Energiestro, entreprise française spécialisée dans la production et le stockage d'électricité, a récemment été primée par le Concours Mondial de l'Innovation. Cette reconnaissance internationale arrive au bon moment pour la société, en plein effort de développement de ses ventes aux Etats-Unis. Rencontre avec son Président lors d'une démonstration à destination du public américain, dans un château promouvant non seulement la gastronomie, mais aussi les hautes technologies françaises.
Exosun, le spécialiste français des trackers solaires, a annoncé la signature d'un contrat de fourniture en Californie (USA) pour un projet photovoltaïque de 30 MVA pour le compte de Abengoa**, un fournisseur espagnol, et EDP Renewables, développeur d'énergies renouvelables**.
Le groupe Solvay a annoncé hier le démarrage de la production de biomasse torréfiée à l'échelle industrielle aux Etats-Unis, une nouvelle activité dont l'objectif est de fournir une source d'énergie alternative et renouvelable.
Si, comme l'a souligné le président de la République française lors de son discours à la Maison Blanche la semaine dernière, "it's cold in Washington [1]", on ne peut pas en dire autant dans le reste du pays. Loin des tempêtes de neige qui ont touché l'Est des Etats-Unis, la Californie et 11 autres Etats de l'Ouest et du Centre du pays, connaissent actuellement l'une des pires sécheresses depuis un siècle.
Selon l'AFP, le Président américain Barack Obama va proposer un fonds d'un milliard de dollars pour réduire l'impact du changement climatique. M. Obama devrait présenter cette mesure dans le cadre du projet de budget 2015 qui sera dévoilé le mois prochain. Ce nouveau fonds sur le climat viserait à financer la recherche afin de mieux comprendre les impacts à venir du changement climatique et de mieux protéger les communautés et infrastructures. Il aurait aussi pour but d'aider les populations vulnérables à se préparer, d'encourager les actions au niveau local pour réduire les futurs risques et de financer de nouvelles technologies et infrastructures pour combattre le changement climatique.
Face au boom du gaz de schiste aux États-Unis, source d'énergie abondante, pas chère et moins polluante que le charbon, les énergies renouvelables ne s'avouent pas vaincues et continuent vaille que vaille à protéger leur pré carré.
Alstom a annoncé récemment avoir signé avec Tri Global Energy un contrat pour la fourniture de 4 éoliennes ECO110 et 25 éoliennes ECO122 à destination du projet de parc éolien Fiber Winds Energy de 80 MW, situé près de Lorenzo et Ralls, au Texas.
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Les dernières annonces du Président Obama sur la réduction des émissions des centrales électriques américaines montrent que les Etats-Unis ont pris la mesure de l'importance de lutter contre les changements climatiques.
Comme prévu depuis la fin de l’année 2013, le groupe Bolloré a posé ses valises à Indianapolis et son service d’auto-partage 100% électrique a été inauguré le 19 mai. D’ici au 30 juin 2016, la capitale de l’Indiana verra 500 Bluecar circuler dans ses rues, des voitures qui pourront être rechargées sur l’une des 1 000 bornes réparties sur 200 stations. Nommée Bluendy, il sera le plus grand service d’auto-partage 100% électrique des Etats-Unis.
La Maison-Blanche vient de publier et de donner une large publicité à un rapport qui synthétise les recherches menées pendant quatre ans par 300 scientifiques sur les conséquences du changement climatique pour le territoire américain. Il s'agit ni plus ni moins que d'un exercice politique, qui vise à anticiper et démonter à l'avance les critiques des « climatosceptiques », qui ne manqueront pas de remonter au front, le mois prochain. L'Agence de protection de l'environnement (EPA) doit alors édicter de nouvelles normes contraignantes pour les centrales thermiques existantes.
Les rejets d'hydrocarbure dans la mer et les eaux contaminées par des métaux lourds représentent un risque écologique important dont l'une des conséquences est la disparition de faunes et de flores marines. Ces pollutions des eaux ne sont pas aussi rares que l'on pourrait le penser ; par exemple, près de 20.000 marées noires sont reportées chaque année aux Etats-Unis [1]. La dépollution d'une zone contaminée est très coûteuse. Elle pèse sur l'économie de manière significative tant sur les entreprises du secteur que sur la société en général. Un exemple marquant de marée noire récente est la fuite de pétrole sous-marine de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon suite à son explosion. Cette fuite a déversé près de 4,9 millions de barils de pétroles dans le Golfe du Mexique et a coûté à la firme qui exploitait le site plus de 12,5 milliards de dollars en amendes et frais de dépollution.
Des chercheurs américains ont trouvé que les puits d’exploitation des gaz de schiste libèrent du méthane à des niveaux plus importants que ce qu’ils pensaient auparavant.
La politique de libéralisation du secteur électrique amorcée par la Californie au milieu des années 1990 plonge en 2001 l'état dans une crise énergétique sans précédent. Envolées des prix de l'électricité sur les marchés de gros, coupures de courant à répétition et instabilités financières des trois grandes utilities (énergéticiens) californiennes (SCE, PG&E et SDG&E) font prendre conscience aux autorités locales de la nécessité de faire machine arrière. En conséquence, l'état californien instaure un cadre réglementaire strict où la tarification de l'électricité est scrupuleusement encadrée par le régulateur de l'énergie, la California Public Utility Commission (CPUC).
La start-up américaine Altaeros Energies s’apprête à lancer son premier projet-pilote : une éolienne volante totalement autonome.
Via Hélène Bédon-Rouanet
Une nouvelle façon intéressante de produire de l'énergie sur Terre : envoyer des panneaux solaires dans l'espace.
Depuis plusieurs mois les lobbies américains multiplient les initiatives pour influencer la politique de l’agence en charge de l’environnement et de la santé humaine, l’Environmental Protection Agency (EPA). En jeu, le niveau de biocarburants que les raffineurs et distributeurs devront incorporer aux carburants vendus aux Etats-Unis en 2014.
Cela faisait longtemps. Longtemps que les scientifiques ne s’étaient écharpés sur le très sensible sujet de l’empreinte carbone du gaz naturel. Une problématique d’abord mise sur la place publique avec les articles publiés, ces dernières années, sur les taux de fuite des puits américains de gaz de schiste. La problématique étant simple: plus ces fuites sont importantes, plus le bilan carbone de l’industrie gazière est lourd. Certains scientifiques, tel Robert Howarth, n’hésitent pas à affirmer que l’utilisation du gaz de schiste est aussi nocive pour le climat que le charbon. Estimation combattue avec force par l’industrie gazière.
La libération de l'énergie, issue du processus de fusion, égale ou supérieure à la quantité d'énergie utilisée pour confiner le carburant - a longtemps été considéré comme le "Saint Graal" de la science de la fusion inertielle par confinement.
Une équipe de scientifiques de Harvard a reçu un financement pour développer un nouveau type de batterie qui peut stocker efficacement l’électricité sous forme de produits chimiques.
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L'audition a principalement abordé les problèmes administratifs et méthodologiques concernant les rapports du GIEC. Sur l'aspect administratif, le comité et les professeurs Tol et Botkin ont avancé l'idée que les nominations des scientifiques qui participent au GIEC seraient influencées par des motivations politiques. Richard Tol a aussi noté que la façon d'assembler le rapport donne priorité à l'opinion de la majorité et rejette les opinions de la minorité. Certains républicains ont également regretté que la majorité des scientifiques du GIEC soient convaincus de la réalité du réchauffement climatique et de son origine anthropique et estimé que "cette croyance" influence leurs recherches ainsi que les résultats publiés dans ce report. D'autres élus républicains du comité ont dénoncé des problèmes méthodologiques. Selon Roger Pielke, les modèles utilisés ne sont pas assez précis et ont tendance à exagérer les effets potentiels du changement climatique. Il estime que d'autres modèles plus précis existent mais qu'ils sont écartés car ils ne donnent pas des résultats aussi "spectaculaires".