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Dans une plaquette datant de juillet 2014, le Commissariat général du développement durable (CGDD) présente 10 indicateurs clés pour décrire la situation de l'environnement en France. Ils étudient la pollution de l'air en milieu urbain, la pollution des cours d'eau, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale brute d'énergie, l'artificialisation des sols, la consommation de matières, la quantité de déchets collectés par les municipalités, les émissions de gaz à effet de serre, la présence d'oiseaux communs, la part de métiers verts dans l'emploi global et enfin la préoccupation des Français sur les questions environnementales.
L’épuisement des terres est enjeu auquel de nombreux pays doivent faire face. Conscients de ce problème des chercheurs du Cirad mettent en avant les techniques vertes qui en plus d’être plus respectueuses de l’environnement pourraient permettre aux agriculteurs d’être moins dépendants de la volatilité des prix des engrais.
Perçue comme une des pistes de mise en place de la transition écologique, l’économie partagée peut aussi avoir des effets néfastes sur l’environnement. Une étude publiée par l’Institut de recherche sur les politiques publiques (Iddri) montre que ces nouvelles pratiques peuvent amener à l’hyperconsommation et ne garantissent pas la production de produits durables.
Cet article propose une réflexion sur le concept de santé environnementale et sur ses rapports avec celui de développement durable. Alors que les deux concepts ont eu des parcours historiques clairement distincts, nous assistons, depuis la fin des années 1980, à un rapprochement marqué se traduisant la plupart du temps par la tentative d’intégration du concept de santé environnementale dans celui de développement durable. Or, ces deux concepts, s’ils partagent certaines caractéristiques, n’en demeurent pas moins irréductibles l’un à l’autre. De ce fait, en se basant sur les particularités du concept de santé environnementale vis-à-vis de celui de développement durable, cet article vise une reformulation qui permette de lui rendre davantage d’autonomie.
Vous êtes-vous déjà demandé si l’argent que vous dépensiez desservait les causes que vous défendez ? C’est à cette question qu’un informaticien américain de 26 ans, Ivan Pardo, a tenté de répondre. En un peu plus d’un an, le jeune programmateur et son équipe ont conçu Buycott, une application pour smartphone qui répertorie les pratiques des sociétés agroalimentaires, afin de permettre aux ménages de faire des choix responsable en termes de consommation.
Le dernier rapport du Giec sur le réchauffement climatique a souligné une fois encore l'urgence d'une problématique planétaire, nécessitant des actions correctives immédiates. Conférences sur le climat et grand-messes environnementales continuent pourtant invariablement, dans l'indifférence générale, de repousser aux calendes grecques toutes mesures significatives, sous l'éternelle prétexte de ne pas entraver la sortie de crise mondiale. Eddy Fougier, politologue spécialiste de la mondialisation et de l'altermondialisme, chercheur associé à l'IRIS, revient pour RSE Magazine sur les principaux enjeux d'une question qui risque de finir par s'imposer de force dans les agendas internationaux.
Dans les dernières années du vingtième siècle, la planète est apparue en danger : changement climatique, épuisement des ressources naturelles, disparition des écosystèmes, risque d'accidents majeurs. Le développement durable, c'est-à-dire le souci des générations futures, s'est imposé comme norme de comportement aux consommateurs, aux entreprises et aux États. En 2004, il devient partie intégrante des textes constitutionnels français. Pourtant, les origines de la notion et les discussions autour de son inscription dans le droit fondamental remontent bien plus loin dans le temps et éclairent le devenir de la notion.
Lassées d’attendre la copie du gouvernement désormais prévue pour fin mars, les associations environnementales publie leur "vrai projet de loi" pour la transition énergétique.
92% des publicités sur les 11 297 étudiées en 2012, sont conformes aux recommandations déontologiques en matière de développement durable de l'Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité (ARPP). Ce taux de conformité est le meilleur atteint en 6 ans. Ce 6e bilan [1], réalisé conjointement comme les précédents par l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (ADEME) et l'Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité (ARPP), témoigne de la stabilité du nombre de publicités ayant recours à un argument environnemental (3,5% en 2012, 3% en 2011). Les quelques manquements relevés, 21 messages, correspondent à 5% des publicités relatives à l'environnement, comme au cours du précédent bilan.
Document adopté en atelier national les 26 et 27 septembre 2013 à Manhattan Suites Hôtel à la Riviera Attoban, Abidjan
Le développement durable est un enjeu majeur du 21e siècle qui exige une approche interdisciplinaire et la confrontation d'experts, afin d'adopter un vrai questionnement et positionnement scientifique, au-delà des préjugés et idées reçues.
Les problématiques liées au développement durable et à l’environnement sont reprises aujourd’hui par de plus en plus de sociétés qui les utilisent à des fins commerciales. Les produits bio et / ou écologiques suscitent de l’intérêt et enregistrent de bonnes ventes. Nous allons nous intéresser ici aux émissions de gaz à effet de serre comme argument de vente.
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Dans un communiqué la société Collectors, spécialiste du tri, s’insurge du manque de volonté des professionnels du secteur de l’impression et des cartouches. Dans le texte, la société s’étonne du peu d’engagement des producteurs qui, mis à part quelques exceptions, oublient leur «l'obligation de s'assurer de l'élimination ou du recyclage de leurs productions en fin de vie. »
En 2014, le budget du mécénat environnemental avec 84 millions d’euros recueille 3% du budget total du mécénat d’entreprise.
Via So H, François GARREAU
Pour remédier au problème de rechargement des véhicules électriques, le projet Telewatt, piloté par le groupe Citelum, propose d’utiliser le réseau d’éclairage public, au moyen d’un ensemble de prises de recharge intelligentes. Le projet doit être expérimenté à compter du 1er octobre 2014 à Aix-en-Provence.
Le député Serge Bardy va remettre les conclusions de sa mission interministérielle.
Depuis trois ans, Ellen MacArthur promeut l’économie circulaire à travers sa fondation. La navigatrice, recordwoman du tour du monde à la voile en solitaire, juge que l’économie actuelle "est finie" et que l’industrie va changer de modèle.
Aujourd'hui, les défis techniques, écologiques, réglementaires et socio-économiques, obligent l'entreprise à sortir des sentiers battus et à réinventer son système de management afin de rester compétitive et durablement performante.
Via Frédéric Brutier
20 Minutes révèle en exclusivité une étude mondiale réalisée par Ipsos pour l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME) auprès de 4.000 jeunes français, chinois, américains et allemands… Inquiets mais fatalistes. Si 50% des 15-30 ans interrogés aux quatre coins du globe par l’Ademe* se disent préoccupés par l’avenir de la planète et si 72% estiment important de contribuer à la protection de l’environnement, le passage à l’acte est encore très loin d’être une réalité pour les jeunes générations.
Dans le cadre de la préparation du rapport Quelle France dans dix ans ?, qu'il remettra au Président de la République et au Premier ministre, le Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) a consulté un panel de citoyens, consultation qui a fait apparaître sans surprise que les Français sont pessimistes quant à l'avenir. Or, "cette vision négative de notre avenir commun amoindrit la capacité des citoyens à s'intéresser à des projets collectifs comme l'écologie, reléguée dans le baromètre du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc) dans les derniers rangs des préoccupations, loin derrière le chômage (14% contre 50%)".
SINIG est un projet de plateforme indépendante de création originale basée à Montreuil. Elle a élaboré un protocole nommé « LAKULA », sorte de bourse de levée de valeurs socialement responsables. Le coté original du projet réside dans la manière de lever des fonds pour les entreprises : il suffit de jouer à « Never Love Alone », un jeu « intelligent » et « socialement engagé » Intégralement conçu par SINIG, ce jeu met en scène une fillette qui doit se sortir d’un environnement hostile dans laquelle elle est plongée.
Via GEN-DP
Le principe de précaution est à nouveau sur la sellette. Qui l'eut cru? Les difficultés de la France en matière de compétitivité industrielle et d'innovation ont enfin trouvé un coupable.
Le développement durable dans le contexte quotidien. Aspects règlementaires, normes applicables à l’environnement, gestion des déchets, lutte contre le changement climatique, lien entre environnement et santé, déplacements
la nouvelle norme iso 14065 complète le dispositif de normes relatives à l'émission des gaz à effet de serre
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Sur ce dernier point, il apparaît qu'entre 2008 et 2013, ce sont la pollution atmosphérique, le changement climatique et la pollution qui inquiètent le plus les Français. On observe également entre 2008 et 2010 une hausse de la crainte des catastrophes naturelles, notamment suite au passage de la tempête Xynthia en février 2010.